La romancière Tristane Banon accuse DSK pour des faits qui remonteraient à 2003. Celui-ci réplique par une plainte en dénonciation calomnieuse.
Il ne manquait plus qu’un rebondissement supplémentaire pour compléter le tableau du dossier Strauss-Kahn. Le voici: par la voix de son avocat parisien, David Koubbi, la romancière française Tristane Banon (32 ans) a annoncé, hier, qu’elle porte plainte pour tentative de viol contre Dominique Strauss-Kahn. A peine l’affaire se dégonfle-t-elle à New York qu’elle se regonfle à Paris.
Mais la réaction de DSK a aussitôt fusé. Il a chargé l’une des consciences du Barreau français, Me Henri Leclerc, de répliquer en déposant à son tour plainte en dénonciation calomnieuse contre Tristane Banon.
Les faits allégués par la jeune femme ont été rapidement évoqués après l’arrestation de l’ex-patron du Fonds monétaire international (FMI). Mais Tristane Banon et son avocat avaient refusé de participer à la procédure américaine. Pourquoi déposer cette plainte maintenant? «Nous avions arrêté notre décision dès la mi-juin. J’ai pris le temps nécessaire parce que je ne voulais pas être instrumentalisé par la justice américaine», explique, en substance, Me Koubbi au magazine L’Express.
En outre, Mme Banon assure que François Hollande «connaissait l’histoire». Le candidat socialiste à la présidence conteste avoir été au courant de faits aussi graves.
Les faits allégués remonteraient à février 2003. Tristane Banon interviewait Dominique Strauss-Kahn lorsque celui-ci aurait tenté de la violer. Cette tentative aurait échoué du fait de la résistance opposée par la jeune femme aux assauts de DSK. Elément troublant, la romancière n’a pas déposé plainte à cette époque. Sa mère, Anne Mansouret – conseillère régionale socialiste de Haute-Normandie – affirme aujourd’hui l’avoir dissuadée de poursuivre DSK en justice, afin d’épargner la fille de Strauss-Kahn, une amie de Tristane Banon.
Source: TDG
Il ne manquait plus qu’un rebondissement supplémentaire pour compléter le tableau du dossier Strauss-Kahn. Le voici: par la voix de son avocat parisien, David Koubbi, la romancière française Tristane Banon (32 ans) a annoncé, hier, qu’elle porte plainte pour tentative de viol contre Dominique Strauss-Kahn. A peine l’affaire se dégonfle-t-elle à New York qu’elle se regonfle à Paris.
Mais la réaction de DSK a aussitôt fusé. Il a chargé l’une des consciences du Barreau français, Me Henri Leclerc, de répliquer en déposant à son tour plainte en dénonciation calomnieuse contre Tristane Banon.
Les faits allégués par la jeune femme ont été rapidement évoqués après l’arrestation de l’ex-patron du Fonds monétaire international (FMI). Mais Tristane Banon et son avocat avaient refusé de participer à la procédure américaine. Pourquoi déposer cette plainte maintenant? «Nous avions arrêté notre décision dès la mi-juin. J’ai pris le temps nécessaire parce que je ne voulais pas être instrumentalisé par la justice américaine», explique, en substance, Me Koubbi au magazine L’Express.
En outre, Mme Banon assure que François Hollande «connaissait l’histoire». Le candidat socialiste à la présidence conteste avoir été au courant de faits aussi graves.
Les faits allégués remonteraient à février 2003. Tristane Banon interviewait Dominique Strauss-Kahn lorsque celui-ci aurait tenté de la violer. Cette tentative aurait échoué du fait de la résistance opposée par la jeune femme aux assauts de DSK. Elément troublant, la romancière n’a pas déposé plainte à cette époque. Sa mère, Anne Mansouret – conseillère régionale socialiste de Haute-Normandie – affirme aujourd’hui l’avoir dissuadée de poursuivre DSK en justice, afin d’épargner la fille de Strauss-Kahn, une amie de Tristane Banon.
Source: TDG
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