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La taxe sur les vehicules neufs vise à l'installation d'usines automobiles sur place

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  • La taxe sur les vehicules neufs vise à l'installation d'usines automobiles sur place

    Taxes sur la vente de voitures neuves
    Un traitement d’exeption pour les constructeurs automobiles

    L’Etat réserve un traitement de faveur aux potentiels investisseurs dans le secteur de l’automobile, connstructeurs et usines de montages notamment. En effet, le ministre des Finances, Karim Djoudi, a déjà annoncé l’exception des deux charges stipulées par la LFC 2008, évoquant «la possibilité d’une étude des conditions fiscales», pour faciliter l’installation d’industriels automobiles. Ces deux charges, dont seront allégés les industriels, consistent, pour rappel, en la contribution des concessionnaires automobiles, en leur qualité de vendeurs de voitures neuves, au soutien des prix des transports publics en commun, décidée par la loi de Finances complémentaire (LFC). La taxe en question variera entre 50.000 à 150.000 dinars pour chaque véhicule neuf vendu selon sa carburation et sa cylindrée. Aussi, la contribution à hauteur de 1% du chiffre d’affaires des vendeurs. Les deux ressources seront versées dans un fonds spécial dit d’affectation. Et cette mesure ne serait, donc, pas valable pour les constructeurs qui souhaiteraient s’installer en Algérie. Karim Djoudi a déclaré: «si des investisseurs dans le secteur de l'automobile manifestent un intérêt pour une présence sur le marché national, en produisant et en créant de l'emploi et de la valeur ajoutée en Algérie, nous pourrons étudier des conditions fiscales avantageuses», ceci sans faire référence à un éventuel candidat dans le secteur. Pour motiver, le ministre ajoutera que «les investissements doivent se faire en Algérie et nous ne devons pas uniquement nous limiter à la consommation de produits finis». En gros, la politique de l’Etat est bien définie et se veut d’assainir le parc automobile du pays. Finie la consommation et seul l’invesstissement industriel est biennevenu. D’ailleurs, expliquant l’intérêt des nouvelles dipositions fiscales, le ministre ajoutera que «cette mesure pourrait, par conséquent, atténuer la demande de véhicules suite au renchérissement prévu de leur prix».

    Transport pour tous!
    En outre, il y a lieu de rappeler que les deux nouvelles charges sur les concessionnaires automobiles, instituées par la loi de Finances complémentaire de 2008, sont destinées à soutenir les prix de transport public en commun et à réguler le marché de l'automobile en Algérie, comme l’a indiqué le ministre. L'application de ces nouvelles charges va contribuer au soutien des prix de ticket de transport qui sera plus cher à la faveur des «gros investissements» qui ont été engagés par l'Algérie (métro et tramway) et qui nécessitent un soutien très fort de l'Etat (sur le prix du ticket) de manière à ce que «la majorité de la population puisse accéder à ces moyens de transport, explique Karim Djoudi. La contribution des concessionnaires au titre des deux charges sera conjuguée à d’autres moyens financiers que mobilisera l’Etat à travers le compte d'affectation spéciale pour soutenir les prix de transport public en commun.

    Par ailleurs, après l’épisode Renault, l’Algérie décide d’exprimer clairement sa politique, via la LFC2008 par exemple, et se tourne, donc, vers les vrais investissements (l’industrie) et ne veut plus être le «vidoir» des constructeurs. Sur ce point, il y a lieu de rappeler que nous avons importé 151.194 véhicules au premier semestre de l'année en cours, soit une hausse de 11,97% par rapport à la même période de 2007 (135.032 véhicules), selon le Centre national de l'Informatique et des Statistiques (CNIS).
    La valeur totale des véhicules importés a atteint 121,40 milliards de dinars, précisent les données du CNIS. Les importations effectuées par les concessionnaires étaient en augmentation de plus de 11,9%, soit 139.290 véhicules pour un montant de 106,32 milliards de dinars, comparativement au premier semestre 2007. Les importations réalisées par les particuliers se sont inscrites en hausse (+12,08%) avec 11.904 unités pour une somme de 15,07 milliards de dinars. Une trentaine de concessionnaires automobiles pour des marques étrangères activent actuellement sur le marché national. En 2006, l'Algérie a importé 188.006 véhicules pour une valeur globale de 142,5 milliards de dinars, contre 251.576 unités (181,9 milliards de dinars) en 2005.

    Le Financier

  • #2
    L'arnaque de 2008

    [QUOTELa taxe en question variera entre 50.000 à 150.000 dinars [/QUOTE]
    Monsieurs le ministre & le président de tous les algériens; pensez vous que le citoyen à revenu moyen(ie la majorité du peuple & le peu qui reste chaume!!) est en mesure de verser une telle somme pour l'achat d'un véhicule à crédit qu'il ne soldera qu'aprés 5 ans de son acquisition?!!!

    les deux nouvelles charges sur les concessionnaires automobiles
    Plutot dire les nouvelles charges qui péseront sur les pauvres citoyens qui ne revent que d'un moyen comode de transport en attendant les tramways, & qui se véront encore une fois pénalisé par des lois en majorité fondées sur la vue des esprits de nos sages dirigents

    Depuis cette fameuse loi je me pose un tas de questions, est_ce_qu'il y'aurais une alternative pour cette arnaque de l'annéé; N'aurais_t_il pas été plus sage et plus juste de taxer les grosses fortunes ou plutot d'utiliser les rentes du pétrol pour financer ces projets?!! & s'ils voulaient encourager l'investissement pourqoui avoir refuser un crédit à fandi motors algérie pour leurs projet de montage de véhicules qu'ils ont réalisé avec leurs propres moyens?!!!!!!!!!! & en fin pourquoi un citoyen d'adrar se trouverait contraint de financer le métro d'alger
    comme le dit si bien laalam fumez du thé, restez éveillé le cauchemar continue:22:
    Dans la vie il faut savoir compter....Mais jamais sur les autres

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    • #3
      L’Etat réserve un traitement de faveur aux potentiels investisseurs dans le secteur de l’automobile, connstructeurs et usines de montages notamment.
      Bien vu Mr Djoudi, il faut encourager ceux créent des emplois et taxer à mort les professionnels de l'import-import.
      L'Algérie ne peut pas etre ad viternam un marché pour les produits fabriqués ailleurs; nos ressources naturelles ne sont pas eternelles...
      pensez vous que le citoyen à revenu moyen(ie la majorité du peuple & le peu qui reste chaume!!)
      Le citoyen à revenu moyen n'a pas à se saigner aux quatres veines pour un tas de ferraille; il faut moderniser le transport public et l'etat fait de grands efforts à ce niveau.
      L'Algérien vit au dessus de ses moyens, tout est subventionné et un jour la vérité sur les prix à la consommation se fera d'elle meme, a trop vouloir tirer sur la corde,on finira par la casser.
      en fin pourquoi un citoyen d'adrar se trouverait contraint de financer le métro d'alger
      Oui le citoyen d'Adrar doit financer le métro d'Alger tout comme le citoyen de Bab El Oued doit financer l'eau d'Adrar, c'est dans notre loi fondamentale, l'Algérie est une république sociale sinon comment expliquer qu'on arrive à mettre plus d'1 milliard d'Euros pour moins de 100 km d'autoroute juste pour désenclaver une région!!!

      En conclusion,je suis à 100% en accord avec Mr Djoudi; c'est la première action sensée faite par un gouvernement algérien depuis l'instauration de l'économie de bazar par Chadli.

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      • #4
        J’ignore quelle économie ont-il étudié ou pratiqué

        L’Etat réserve un traitement de faveur aux potentiels investisseurs dans le secteur de l’automobile, connstructeurs et usines de montages notamment.
        & s'ils voulaient encourager l'investissement pourqoui avoir refuser un crédit à fandi motors algérie pour leurs projet de montage de véhicules qu'ils sont en train de réaliser avec leurs propres moyens & le concour des chinois_zonda bus industry_?!!!!!!!!!!

        Pareil pour foton algérie qui se saigne pour réaliser son unité de montage local depuis presque 2ans, Je vous souligne qu'is n'ont bénéficiés d'aucun traitement de faveur!!!
        Le citoyen à revenu moyen n'a pas à se saigner aux quatres veines pour un tas de ferraille

        Vraiment n'importe quoi!!!bufff Soyez réaliste sans ces tas de ferrailles le qutidien serait bien dure pour tous le monde
        Dans une note d’Auto-Utilitaire paru sur son site Internet, pour M Karim Djoudi il s’agit de réguler le marché de l’automobile et imposer aux constructeurs à produire en Algérie.
        Autrement dit la matière grise et brillante de notre gouvernement souhaite diminuer les ventes de l’importation, certainement pour faire baisser la facture de l’import, qui elle aurait dû être dès le départ fixée comme un objectif économique légitime, et donc le second objectif, excusez moi je n’ai pas pu me retenir de crier de rire, consiste à pousser les constructeurs à produire en local .
        Comme je m’y attendais, et je l’ai compris depuis longtemps, notre pays brille également par des économistes incompétents et archaïques , qui ont trouvé le champ libre pour tenter de valoriser certaines de leurs idées poussiéreuses qui ont déjà marquées les échecs de nos entreprises publiques.
        ces nouvelles mesures sanctionneront en premier lieu le consommateur désireux d’acquérir un véhicule neuf.
        Avant de faire des prévisions stupides et grotesques, il faudrait d’abord se renseigner sur le profil et le pouvoir d’achat de l’acheteur Algérien, et les offres qui lui sont suggérés par les constructeurs
        Les taxes ne feront pas baissser l'importation, c'est le consommateur qui sera l'amortisseur final à travers les formules de financement qui seront proposés par les vendeurs, et comme toujours, le client final sera exposé dangereusement à ces décisions qui méritent le qualificatif de stupides !!!
        Dans la vie il faut savoir compter....Mais jamais sur les autres

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        • #5
          Transport pour tous!

          ce que je ne comprends pas aux nouvelles orientations des décideurs dz, c'est le manque de cohérence. Il n'ya pas si longtemps j'avais dénoncé sur un sujet traitant de la situation du parc automobile dz, la fin des imports de vehicules de moins de 3 ans et la main mise du lobby des concessionnaires sur le vehicule neuf. maintenant que le citoyen est obligé d'acheter du neuf chez le concessionnaire maison, on continue à le déplumer par l'instauration d'une taxe injuste puisque'elle frappe de la même façon les bas revenus et les hauts revenus. Dire que cette argent va au transport collectif est une aberration, par contre utiliser une partie de cet argent pour financer le budget des communes est une autre aberration bien plus grave.
          Bon les communes présentent un déficit, peut-on au moins connaitre leur budgets: recettes et dépenses. la dotation de l'etat est -elle bien utilisée, le budget de fonctionnement est-il exagéré par rapport aux normes admises? Qui est-ce qui audite les comptes des communes et comment les administrés jugent la gestion de leurs communes. La commune n'est pas une etp, c'est une administration locale qui a une mission de service public, à ce titre elle doit pouvoir équilibrer ses comptes et oeuvrer pour le bien etre de ses habitants. Un petit sondage dans la rue vous donne l'ampleur du phénomène de rejet et de méfiance des administrés vis à vis des élus de leurs communes: clientélisme, combines, pratiques mafieuses etc...
          il est clair que le citoyen qui va payer cette taxe ne verra pas d'un bon oeil une utilisation malveillante de cette manne qui financera des communes mal gérées et manquant de transparence
          Dernière modification par zmigri, 11 août 2008, 14h39.

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          • #6
            Je lance un defis a ce Ouyahia, si seulement une seule firme europeene de voiture s'installe en algerie je voterais pour lui a vie. Faut par contre qu'il se reveille car aucune firme n'a envie et n'a la confience de venir dans un pays ou la mafia regne en maitre.

            Donc, je lance mon defis, Il y aura ni Metro en 2008 encore moins en 2009 (Sources des employees du Metro) .... allez visiter et dites nous, il n'aura aucune firme de voiture europeene qui s'instalera, il ferons mouches avec des jouet made in china/Iran, que l'algerien n'achetera jamais.

            Il n' aura pas de securite tanque la politique Bouteflekienne de reconciliation entre tueurs continue.

            Il n 'aura rien ds ce bled tanque les algeriens ne se reveillerons pas, et ne feront pas comme les braves Ukreniens.


            PS: Il y a un mec ds ce forum, qui m'a dit que nous algeriens ont a la reputation d'etre des Guerriers, je dirais la reputation des Maghrebains est d'etre des incapable et de casseurs et des bras casser ..... voila la reputation en France/europe du moins, si le mec parle de l'image des algeriens en Georgie, ca je ne sais pas.
            Dernière modification par racdavid, 11 août 2008, 16h57.

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            • #7
              Dix bonnes raisons pour critiquer M. Ouyahia

              M. Ahmed Ouyahia adore les taxes.Après avoir introduit la vignette automobile, il impose une nouvelle taxe sur les véhicules neufs.

              La décision est aussi cynique qu'un bureaucrate, aussi sèche qu'un fonctionnaire en fin de carrière. Elle révèle mieux M. Ahmed Ouyahia que son programme politique, programme qu'il s'est, du reste, abstenu de présenter et de faire voter à l'Assemblée nationale, comme le prévoit la Constitution.
              Présentée comme une mesure destinée à encourager le transport public, la décision d'imposer de nouvelles taxes pour l'achat de véhicules neufs, prise par le gouvernement en pleine canicule, est aussi improductive qu'inutile. Elle confirme aussi une tendance qui s'est installée dans le pays : le penchant des hauts responsables à prendre des décisions sans étude ni réflexion préalable sur les conditions à réunir et l'impact de leur choix. Pire encore, ces « études » se limitent souvent à de simples argumentaires destinés à justifier des choix parfois absurdes.
              La décision de M. Ouyahia présente au moins dix raisons d'être critiquée :
              1. La décision a été prise de manière brutale. Du jour au lendemain, le prix des véhicules augmentent de dix pour cent pour les moins chers, ce qui constitue une marge énorme. Dans la catégorie sociale intéressée, celle acheteurs des véhicules à 500.0000 dinars, cela représente deux à trois mois de salaire.
              2. Des décisions d'un tel impact sur le budget familial déstabilisent les ménages concernés, et discréditent le gouvernement qui les prend. Elles installent la méfiance envers les gouvernants, et contribuent à éliminer le peu de visibilité encore possible. Qui garantit que le même gouvernement ne prendra pas des décisions similaires sur le logement, sur le prix du carburant, celui du pain ou du lait, des prix dont le niveau actuel est contestable ? Ce manque de visibilité constitue un handicap central pour tout investisseur, qui a besoin de savoir où il va, à quel rythme y aller, et dans quelles conditions.
              3. Officiellement, l'argent collecté à la faveur de la nouvelle taxe serait destiné au financement du transport public. L'objectif est noble. Mais il contredit tout ce qui se fait par ailleurs. On ne peut affirmer vouloir relancer le transport public quand le principal projet du pays est une autoroute, quand tout équipement public est délabré, et quand un gouvernement n'arrive pas à faire démarrer un train : le nouvel autorail Alger-Chlef devant être mis en service cette semaine n'a pu prendre le départ. Quelle que soit la raison avancée, augmenter le prix de la voiture avant la mise en service du train et du bus est une erreur.
              4. Un gouvernement peut augmenter la fiscalité, à trois conditions : il doit avoir besoin de ces nouvelles ressources, avoir la capacité de les utiliser, annoncer au préalable, dans une campagne électorale, ses intentions en la matière. Le gouvernement algérien n'a pas besoin de recettes supplémentaires. Il a de l'argent à ne savoir qu'en faire, et les institutions susceptibles de transformer l'argent en richesses ou en bien-être n'existent pas. Au pire, le gouvernement va collecter ces nouvelles taxes pour les gaspiller, ou les transférer au profit d'une clientèle du pouvoir. Au mieux, il va les déposer en bons du trésor américain, et contribuer à alléger le déficit budgétaire des Etats-Unis.
              5. Le gouvernement affirme que la taxe sera répartie entre l'acquéreur du véhicule et le concessionnaire. L'affirmation est évidemment fausse. Le concessionnaire va simplement répercuter la valeur de la taxe sur le prix, et conserver intégralement sa marge bénéficiaire. Il va même gagner davantage : en introduisant la nouvelle taxe dans le prix, et en gardant la même marge bénéficiaire, il va gagner davantage !
              6. La décision vise a priori tous les véhicules, mais ce sont les voitures d'entrée de gamme qui sont visées. La nouvelle mesure n'aura aucun effet sur l'acquéreur d'un véhicule 4x4 à un demi-milliard. Par contre, les ménages à bas revenu devront faire des sacrifices supplémentaires pour accéder à la voiture.
              7. Le propriétaire d'un véhicule est surtaxé. Il paie la vignette, le droit de stationner, avec toutes les rues du pays qui sont squattées, et la nouvelle taxe.
              8. Le gouvernement est incapable d'améliorer la rentabilité fiscale, en s'attaquant à la fraude et à la corruption. Il préfère donc avoir recours aux méthodes primaires, les plus faciles : taxer à la source. L'abondance de ces taxes va détourner l'administration fiscale de l'effort qu'elle serait amenée à faire pour assurer une meilleure collecte des impôts.
              9. La nouvelle taxe aurait pour objectif d'inciter au lancement d'une industrie automobile en Algérie. L'argument est recevable, mais M. Ouyahia, au pouvoir depuis plus de dix ans, n'a pas réussi à convaincre les firmes automobiles à investir en Algérie. Pourquoi réussirait-il aujourd'hui après avoir échoué tant d'années ? Le gouvernement a-t-il seulement fait le nécessaire pour qu'une compagnie étrangère puisse acquérir un lot de terrain ?
              10. Le gouvernement avait une possibilité de pénaliser les propriétaires de véhicules en s'attaquant à un autre chantier, celui du prix des carburants, encore très bas si on les compare à ce qui se passe sur le marché international ou si on se réfère à la flambée du prix du pétrole. Mettre à niveau ces prix est une opération nécessaire, pour rationnaliser la consommation, lutter contre les trafics, notamment aux frontières, et amener l'économie algérienne aux standards internationaux. Corriger les prix des carburants exige toutefois des compensations, ce qui constitue une opération complexe, hors de portée de l'administration algérienne.

              Dernière modification par YAQEEN, 11 août 2008, 22h05.
              Dans la vie il faut savoir compter....Mais jamais sur les autres

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              • #8
                L’Etat réserve un traitement de faveur aux potentiels investisseurs dans le secteur de l’automobile, connstructeurs et usines de montages notamment.
                Si c'est celà le vrai but de cette taxe, la vision de la chose est bien simpliste.
                Ce n'est pas un geste pareil qui incitera les investisseurs à construire des usines automobiles en Algérie.
                Le problème est ailleurs et les décideurs le savent.
                C'est tout simplement une raison évoquée pour amortir la giffle sur la joue du petit peuple que nous sommes...
                Mieux vaut un cauchemar qui finit qu’un rêve inaccessible qui ne finit pas…

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                • #9
                  moi je pense qu'il n'est jamais trop tard pour bien faire, feu H2 en 56 avait fait de même et ça a aboutit par la création de la SOMACA, si cette mesure s'accompagne par d'autres incitations, telles les avantages fiscaux et la formation qualifiante dans le domaine ainsi que le cout de la main d'œuvre, je pense qu'il n'y pas droit à un producteur de voiture de refuser une telle aubaine

                  Commentaire


                  • #10
                    La taxe qualifié d'impopulaitre_impot.pue.l'air

                    Lors d’une conférence de presse organisée après une réunion du bureau de l’association, dimanche, le président de l’AC2A, M. Mohamed Bairi a fait remarquer que les mesures prises par les pouvoirs publics l’ont été « sans que les opérateurs du secteur, l’un des plus importants de l’économie, n’y soient associés ». Pis, ajoute la même source, la mise en œuvre de la décision relative à la taxe sur les transactions de véhicules neufs « manque de clarté » ou a été
                    « précipitée »,
                    estime l’AC2A, non sans demander aux autorités concernées de
                    « reporter l’application »
                    de cette taxe, comme elle demande de
                    « reconsidérer son montant jugé trop élevé par les concessionnaires ».
                    En outre, le bureau de l’association revient sur la taxe de 1% sur le chiffre d’affaires des concessionnaires et s’interroge sur cette mesure appliquée
                    « aux seuls concessionnaires automobiles, contrairement aux autres secteurs des services ».
                    Comme il regrette que
                    la décision des pouvoirs publics à réduire l’IBS (impôt sur le bénéfice des sociétés) de 25% à 19% ne concerne pas le secteur de l’automobile à l’instar des autres activités de services.

                    Par ailleurs, l’association ne manque pas de constater le
                    « le caractère discriminatoire »
                    des dispositions instituées par la LFC et qui vont, estime-t-elle « porter préjudice aux clients, à l’emploi et aux opérateurs du secteur automobile dans sa globalité, mais également à toutes les activités annexes et connexes, etre transport, bâtiment et construction, communication, tourisme... ».

                    Ces mesure, poursuit l’AC2A « sont de nature à remettre en cause les plans d’investissements et de développement établis par les concessionnaires » à la suite du décret du 12 décembre relatif à l’activité de commercialisation de véhicules automobiles neufs ».
                    QUELLE JUSTICE DANS CE FOUTU PAYS...LE PEUPLE MONSIEUR OUYAHIA VEUT VIVRE AUSSI ET CONDUIRE DES VEHICULES PERSONNELS COMME VOUS ET VOS ENFANTS...NOUS NE VOULONS PAS PRENDRE VOS AUTOBUS...VOUS NOUS AVEZ TELLEMENT IMPOSES DES MEDIOCRITES...FIHA BARAKA
                    Dans la vie il faut savoir compter....Mais jamais sur les autres

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                    • #11
                      En conclusion,je suis à 100% en accord avec Mr Djoudi; c'est la première action sensée faite par un gouvernement algérien depuis l'instauration de l'économie de bazar par Chadli.
                      +1
                      VOUS VOULEZ profiter d un marche de deux milliards de dollars
                      c simple
                      il faut les fabriquer en algerie et le plus reactifs sera le gagnant

                      pour l instant il faut interdir toutes importations(sauf utilitaires)
                      oui c du chantage
                      The truth is incontrovertible, malice may attack it, ignorance may deride it, but in the end; there it is.” Winston Churchill

                      Commentaire


                      • #12
                        On s'en fout de ces concessionnaires (qui n’ont de ca que le nom), moi je suis contre cette taxe mais uniquement en pensant a l'intérêt des consommateurs a faible et moyen revenu, et s'il y avait un system de transport en commun adéquat dans toute l'algerie, j'aurais applaudi cette augmentation, et voir même réclamé plus de taxe. si les patrons de ces concessions était ou sont des vrais professionnels, et qui pense au peuple comme ils le prétendent, ils aurait depuis longtemps engagés eux mêmes de mesures afin d’attirer des boites internationales pour fabriquer ces véhicules en algerie, mais en de suceurs de sang qu'il sont, ils ont tous fait en usant de leur relais au pouvoir pour faire arrêter l'import des véhicules moins 3 ans ( qui dépassait de loin les tacots qu'ils importent en terme de qualité), je dirais même qu’il y sont pour quelque chose en ce qui concerne la fuite des investisseurs en la matière, pour pouvoir se partager aisément la somme de 2,5 milliards $ de chiffre d'affaire par an sans ce casser la tête, et sans aucune initiative, ni dans les services après vente ni dans une future délocalisation.

                        Commentaire


                        • #13
                          pour pouvoir se partager aisément la somme de 2,5 milliards $ de chiffre d'affaire par an sans ce casser la tête, et sans aucune initiative, ni dans les services après vente ni dans une future délocalisation.
                          VOUS COMPRENEZ MAINTENANT LEURS PLEURNICHERIES
                          The truth is incontrovertible, malice may attack it, ignorance may deride it, but in the end; there it is.” Winston Churchill

                          Commentaire


                          • #14
                            On s'en fout de ces concessionnaires
                            Ces concessionnaires dont vous vous _en foutez_ emploient plus de 80.000 personnes dont 50.000 se verront menacés par le licenciement aprés l'imposition de cette taxe car ils ne mettront pas la main à la poche pour courir un vol étatique & excusez moi de ces 50.000 familles personne ne peut s'en foutre sauf Mr Boutef & ses _executants_

                            VOUS COMPRENEZ MAINTENANT LEURS PLEURNICHERIES
                            Au moins ils ont eu le mérite de réagir contrairement au peuple soumis aux décrets présidentiels peuple soumis=peuple crèèèèèèèève

                            Il faut souligner aussi que ce n'est pas cette taxe qui va les ruiner au fond ils n'ont absolument rien à cirer que leurs ventes baissent de 10% chose peu probable & trop soluble
                            Dans la vie il faut savoir compter....Mais jamais sur les autres

                            Commentaire


                            • #15
                              Il y a les nostalgiques aveugles comme Solas qui parle de chantage en s'excusant ... alors que le pays le plus fragile du Maghreb est l'Algérie, le pays le facile a déstabiliser est bien sur l'Algérie..... il suffit d'une pénurie de batata le pays s'écroule....
                              On s'excusera le jour ou les firmes européennes de voiture se bousculerons pour faire les usines, a ce jour pas un seul n'a fait l'intention.
                              Bref, solas comme d'autre songent qu'il y a aura des firmes qui vont venir, alors que Personne ne métra le pied dans un pays anarchique comme le notre.

                              Faut interdire l'importation du blé, de la pomme de terre canadienne, ... pour que l'algérien bougera et travaillera sa terre alors.


                              La taxe n'a jamais été un symbole d'incitation, la question est pkoi Renault a t'elle choisi le Maroc ?
                              - le foncier et le lieu d'implantation
                              - la main d’œuvre bon marchée
                              - facilitation fiscale de Jetou
                              3 ans de négociations avec Belkhadem, Q-dale alors qu'il fallait donner le foncier et tt ce que Renault demande, ca aurait créé directement 3000 emploi directe et surtout un vrai appel a tt les investisseurs.

                              Voila lorsqu'on a rien dans la tête, et surtout lorsqu'on se prend pour je ne sais qui alors qu'on est l'un des pays les moins utiles sur cette planète............ Consomateur Ghir Lmakla
                              Dernière modification par racdavid, 12 août 2008, 17h40.

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