Communication entre Sellal et Haddad diffusée sur Internet (vidéo)

[Absent]

Nous aimons tous notre pays et nous voulons que ça change.

Dans ce cas.. nous devons tous changer.. du haut vers le bas !

Le mariage des politiques aux hommes d'affaires doit cesser !

Les fausse facturation, les évasion fiscale des commerçants, des importateurs, des entrepreneurs.. tout ça doit s'arrêter !

L’administration algérienne doit cesser son racket.. plus de blocage, plus de tchipa, plus de commissions !

ou zid ya bouzid..

Je m'arrête là.. la liste est trop longue.. les magouilles sont devenues un sport national

[Absent]

meksa

Non merci.. je bouge rien.. chui bien comme je suis !
Ouyahia est tombé !.. mon combat s'arrête

[OKHAYYAM]

avant de commencer à parler en mal des absents qui ont fait le choix de vivre algériens ailleurs, il y a quoi faire, l'algérien qui vit ailleurs ne cause aucun tort à son pays, il a laissé sa place à qui veut bien la prendre sa part du pétrole dans le package… il faut ne rien avoir à faire pour se prendre aux algériens qui vivent ailleurs alors qu'une mafia est en train de sucer le sang des algériens... pendant ce temps l'algérien de l'étranger en rage

[OKHAYYAM]

Capo

Non merci.. je bouge rien..

même pas pour fêter la chute de Ouyaha... puisque semble être ta cible favorite

[Absent]

okhayam

mazal chouia pour fêter.. Ouyahia colle au système comme un morpion.. au sens propre du terme !

La dernière fois que le Haut Conseil de Securité s'était réuni il avait levé l'état d'urgence..

Cette fois-ci.. va savoir !

Le 1er Ministre a encore une dernière p'tite carte à jouer.. selon la constitution.. et demeure chef de l’exécutif jusqu'à nouvel ordre

Art. 104.3 — Le Gouvernement en fonction au moment de l'empêchement, du décès ou de la démission du Président de la République, ne peut être démis ou remanié jusqu'à l'entrée en fonction du nouveau Président de la République.

Dans le cas où le Premier ministre en fonction, est candidat à la Présidence de la République,il démissionne de plein droit. La fonction de Premier ministre est assumée par un autre membre du Gouvernement désigné par le Chef de l'Etat.

Pendant les périodes prévues aux articles 102 et 103 ci-dessus, il ne peut être fait application des dispositions prévues aux alinéas 7 et 8 de l'article 91 et aux articles 93, 142, 147, 154, 155, 208, 210 et 211 de la Constitution.
Pendant ces mêmes périodes, les dispositions des articles 105, 107, 108, 109 et 111 de la Constitution ne peuvent être mises en œuvre qu'avec l'approbation du Parlement siégeant en chambres réunies, le Conseil constitutionnel et le Haut Conseil de Sécurité préalablement consultés.

Art. 105.1 — En cas de nécessité impérieuse, le Haut Conseil de Sécurité réuni, le Président du Conseil de la Nation, le Président de l'Assemblée Populaire Nationale, le Premier ministre et le Président du Conseil constitutionnel consultés, le Président de la République décrète l'état d'urgence ou l'état de siège, pour une durée déterminée et prend toutes les mesures nécessaires au rétablissement de la situation.

La durée de l'état d'urgence ou de l'état de siège ne peut être prorogée qu'après approbation du Parlement siégeant en chambres réunies.

Art. 106. — L'organisation de l'état d'urgence et de l'état de siège est fixée par une loi organique.

[mekssa]

Maalich allah ghaleb au moins il a le culot de reconnaître la chute de sa bête noire par ses compatriotes courageux.Tu peut leurs dire Merci. Tu es libéré Capote.

[Absent]

Mdrr... c'est Bouhadja l'ex président de l'APN qui a ébranlé l'avenir de Ouyahia !
Le reste était un jeu d'enfant

[Pomaria]

Si cette teigne d'OUYAYA avait un millième de gramme de dignité,

il se devait de démissionner, lui et son gouvernement !


Mais vu qu'il n'en a même pas un atome de dignité,
eh ben, il ne le fera que si le peuple le chasse comme un malfrat.


Ainsi soit-il

[OKHAYYAM]

Capo,

La dernière fois que le Haut Conseil de Securité s'était réuni il avait levé l'état d'urgence..

Dans quels cas notre constitution prévoit-elle la réunion du HCS?

De mon point de vue, ils ne se décourageront pas ou plutôt n'ont pas d'autre choix tout fait. Ils n'ont pas prévu de scénario qui intègre l'inconnue "peuple"; ils sont pris de court et de panique je pense, dans ce cas en général tu continues à dérouler ton plan initial à la façon Maduro au Venezuela

Mekssa,
Pour Capo, tout ce qui n'est pas fruit d'une théorie, d'un plan établi par une personne ou un groupe de gens … ne vaut pas grand chose pour lui, je risque de me tromper

.

[xenon]

Mdrr... c'est Bouhadja l'ex président de l'APN qui a ébranlé l'avenir de Ouyahia !

c'est le peuple capo,ni bouhadja ni sidi zekri .

[Absent]

Okhayam


Mdrr.. le sujet n'est pas moi.. on discute du pays.. yek ?

A mon avis.. le système va se partager entre 2 factions... menant à deux guerres juridiques !

D'abord la guerre des articles 102 VS 103 !
Ensuite une autre guerre ayant trait aux articles 104, 105 et 106

Soulignons que les deux guerres mèneront à un pourrissement de la situation. Le moins pire des scénario aura l'appui de l'ANP... qui ne joue plus quand il s'agit de la stabilité du pays

[Absent]

oooups..

J'oublie.. la 1ère guerre durera le temps de demain (Samedi).. et puis on passe directement à la 2ème !

A moins que.. Boutef soit intercepté dès sa descente d'avion Dimanche matin.. et ramené à la raison.. et dans ce cas.. on rentre dans un imbroglio juridique un peu moins complexe

Bref.. tout semble calculé.. Dimanche sera un jour fatidique pour TOUT le monde !!

[Absent]

Pour Capo, tout ce qui n'est pas fruit d'une théorie, d'un plan établi par une personne ou un groupe de gens … ne vaut pas grand chose pour lui, je risque de me tromper

Je voulais pas répondre à cela tout de suite.. mais je vais le faire.. lol

Si le diable voulait organiser sa propre transition (dans le sens démission) il ne s'y prendrait pas aussi bien que Boutef !!!.. et si Boutef s'en va en laissant derrière lui un système déchiqueté (sans crainte de poursuites judiciaires évidemment) c'est parce que ça l'arrange bien !.. Et si Boutef remet le pouvoir au peuple pour éviter qu'il ne tombe entre les mains de ses ennemis.. c'est parcequ'il est un fin stratège.. et s’appelle Machiavel

Donc.. oui.. il y a quelque chose qui fait bouger l'univers politique algérien !
Ce Big Bang n'est pas le fruit du hasard

Souvenez-vous de cela.. et on en reparlera

[Arbia]

A moins que.. Boutef soit intercepté dès sa descente d'avion Dimanche matin.. et ramené à la raison.. et dans ce cas.. on rentre dans un imbroglio juridique un peu moins complexe

En Suisse, ils ont du lui injecter des cellule souches de chauve souris centenaire de Tasmanie, pour réveiller la bête qui est en lui

[ott]

@Capo

Tu as l'air fasciné par Machiavel et son disciple Bouteflika, mais enfin sortir par la petite porte comme ça ne me semble pas de son fait mais du fait de ceux qui avaient un compte à régler, et c'est ce que tu veux masquer... Bouteflika a toujours été l'arbre qui cachait la forêt, il est tellement raptissé, que c'est vraiment compliqué pour tes amis de se cacher derrière ... maintenant, ils utilisent la constitution comme une feuille de vigne, comme si elle avait la moindre importance pour eux depuis 43 ans.

Allez, puisque tu affectionnes Machiavel :

ALGÉRIE, DÉCLIN KHALDOUNIEN ET CELLULES DORMANTES (CONTRIBUTION)
Othmane BENZAGHOU - PAR MAGHREB ÉMERGENT - 30 NOVEMBRE 2018


Une construction qui n’a aucun autre attribue civilisationnel que celle d’une originalité anachronique de bric et de broc qui à force de retouches, liftings, replâtrages, veut donner l’illusion d’une modernité architecturale.


Nous avons vécu lors d’une rencontre entre la haute direction du pays et son bras local, les walis, extension militaire d’une organisation napoléonienne de l’état central dans ses provinces reculées, elle-même d’essence romaine, un drôle d’énième épisode d’une gouvernance incapable de regarder son externalité, au sens le plus intimiste d’un système autocentré, autrement que comme une menace maladive contre non son existence, celle d’une minorité administrative ayant pris en otage le destin du pays, mais comme une menace pour le pays, le peuple, et pourquoi pas le monde libre, enfin le monde révolutionnaire, enfin ce qu’ils considèrent d’universel de ce qu’ils se voient d’être. Au fond, ils sont tellement nombrilistes, qu’ils se moquent de leur universalité, dans ce monde vu comme hostile.

Au-delà de la paternité d’un message d’une violence inouïe qui est un vrai sujet de questionnement, tant son messager était balbutient, et le ton utilisé est en décalage avec l’œuvre politique publique de celui qui a manifesté un art reconnu de la subtilité diplomatique et politique, nous avons eu affaire plutôt à un art inconnu d’une martialité telle, qu’il est plus le produit d’école du KGB que celle d’une toute autre école civilement reconnue.

Réflexe pavlovien

Que se passe-t-il d’aussi grave pour que notre supposé message paternaliste soit un ramassis d’incongruités politiques, de menaces martiales, digne d’une vision éradicatrice plutôt vécue à partir de juin 1991, qu’on dit celle d’un Ataturk national qui a fait de la réconciliation et le machiavélisme politique, même si d’essence messianique, sa marque de fabrique.

Voudrait-on préparer un nouveau janvier 1992, réflexe pavlovien des thuriféraires du système comme réponse à la vague démocratique qui bourgeonne à 6 mois d’une échéance que des millions d’Algériens souhaitent voir. Celle d’un nouveau départ pour leur pays, afin de construire par la force des bras et de l’esprit le maison commune sur la base de fondation d’une solidité redoublée, et non juste sur la base d’une colonne vertébrale qui à force d’agressions sur le corps national risque de devenir squelettique, tellement dépourvue de chaire et de muscles qu’elle risque de s’effondrer comme une expression Khaldounienne de la vie des civilisations tellement accélérée, que de civil, pardon, de civilisation, elle en est atrophiée à l’expression d’un instinct de survie d’un système autocentré.

Une construction qui n’a aucun autre attribue civilisationnel que celle d’une originalité anachronique de bric et de broc qui à force de retouches, liftings, replâtrages, veut donner l’illusion d’une modernité architecturale, d’une touche universelle qui n’a d’originalité que celle d’un engineering de la rente vers l’allocation politique la plus optimale, dans l’objectif auto-immune du système, et non comme une allocation optimale des ressources nationales pour favoriser la meilleure croissance possible et le bien-être des concitoyens.

Comment peut-il en être autrement, quand de concitoyen, on ne perçoit que l’obligation des géniteurs à protéger leurs progénitures, au sens le plus sécuritaire du terme, avec les histoires de Bouloulou interne et externe, et non permettre aux enfants de ce pays de consacrer leur ambition au service de la collectivité, la collectivité étant privatisée par une caste de bureaucrates dirigés par des stabilocrates et des mains invisibles qui donnent au mouvement des mains une apparence de velours dans une main de fer.

Entre contemplation et participation

A-t-on si peur de la prochaine échéance électorale, qu’on prépare à annuler par un cinquième mandat d’un homme diminué qui à force de refuser d’être un 3/4 président, accepterait d’être un 1/100 président. Peut-on croire que c’est le même homme qui nous avait annoncé son retrait en 2012 pour favoriser de nouvelles générations décide de son propre chef d'aseptiser l’élection future et attendrait la mort pour permettre à une progéniture qui a trop manifesté son ambition d’enfin s’approprier l’héritage dans les 60 jours, déchirer tout testament s’il avait été rédigé et se présenter aux Algériens comme le digne héritier, Le prince, au sens de Machiavel, ou c’est plutôt le vizir au sens d’Ibn Khaldoun, qui va sauvegarder le royaume par un coup d’Etat médical en février 2019 qu’on nous demandera de chaudement applaudir, tant le cinquième mandat est vécu comme une humiliation épouvantable pour des millions d’Algériens.

Au lieu de faire de la future échéance une formidable occasion pour remobiliser le peuple autour d’une œuvre nationale participative, on veut mobiliser le peuple dans une œuvre nationale contemplative qui n’a d’esthétique, qu’un cubisme que savoure les affidés du système et ses clientèles et précipiter ce beau pays dans les abysses de l’histoire comme l’a vécu l’histoire millénaire de cette région.