tout le monde en parle bouteflika viole la constitution
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video aljazeera debat (bouteflika viole la constitution)
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Pour une autre Algérie !
Pour ma part je dirais que Benbitour ferais un bon président : c un économiste compétent, malgré le fait qu'il maitrise pas trop la langue arabe !
Pour Boutef : je dirais que c un tyran, un despote, qui a instauré un pouvoir inique !:22:
Ps: je ne suis pas un kabyle, je suis de l'ouest, parce que tt opposant doit etre forcemment un kbaylije sais quelle pense que nous sommes sauvées de l'Algerie,mais sauvées dequoi?J'était bien la ba, j'etait moi,j'était entre mes mains, dans mon visage, prés de mon corp,avec ma voix,j'était au coeur d'une vie...
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"elkhanzira qui remet çà,qu'elle s'occupe des roitelets du moyen orient."
La qualité de l'information sur El Jazeera, ya Si Smairi, est meilleure que dans beaucoup de chaines occidentales! Quand à une comparaison avec l'ENTV, la question ne se pose même pas.Le sage souffre dans le bonheur du savoir... L’ignorant exulte dans les délices de l’ignorance
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tu te trompe de personne ya Si ETTARGUI, j'ai pas pas parl d'Aljaz, regarde plus haut !:22:je sais quelle pense que nous sommes sauvées de l'Algerie,mais sauvées dequoi?J'était bien la ba, j'etait moi,j'était entre mes mains, dans mon visage, prés de mon corp,avec ma voix,j'était au coeur d'une vie...
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Bonsoir,
Débat inéquitable, tous les trois invités étaient contre Bouteflika et pourtant ils n'étaient pas convaincants ! Benbitour disait qu'il n'y a pas de liberté d'expression et que l'Algérie est classée 129 ... (Si dans ce classement la Tunisie et le Maroc sont mieux classés c'est que c'est du n'importe quoi !!) et pourtant il est en Algérie, ces derniers temps on lui lit souvent dans les journaux nationaux et étrangers, il s'exprime comme il veut mais en fait il n'a rien à dire, il ne convainc personne ...
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Elkhanzira
si tu adores elkhanzira,je n'ai rien contre,par contre MR benbitour était ministre des finances je crois dans les précédents gouvernements,pourquoi n'a t il rien fait quand il occupait le poste,et maintenant c'est devenu une mode chez nous,tous les ex ministres se mettent à critiquer alors qu'ils faisaient parti du système et cautionnaient tous les programmes de leurs chefs du gouvernement et maintenant ils viennent donner des leçons de démocratie sur les plateaux d'une chaine quatarie où je te signale ,la démocratie est kofr.
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,pourquoi n'a t il rien fait quand il occupait le poste,
En fait c'est parce qu'il a fait ou voulu faire qu'il a quitté le poste en question!"La chose la plus importante qu'on doit emporter au combat, c'est la raison d'y aller."
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Si je comprends bien sur cette chaine qatari on considère ça comme un viole, or la constitution lui autorise de l'amender, mais c'est pas ça qui m'intéresse c'est que la leçon nous vienne de ces mauvais élèves.
Si note constit s'aprête à être violé la leur, enfin s'ils en ont une, est née déjà violéAinsi va le monde
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Pour l’Algérie, le 12 novembre restera comme un funeste anniversaire. Une négation de plus du 1er Novembre. Le pouvoir peine à dissimuler l’intention autocratique de cette régression, la plus explicitement rétrograde parmi celles, nombreuses, subies depuis 1962, du fait qu’elle s’en prend à un principe démocratique formellement consigné dans la Constitution.
L’énormité du recul et la flagrance de l’intention se mesurent déjà à la longue hésitation, aux “multiples consultations” et à l’incohérence de l’argumentation politique.
Les élections ne font pas la démocratie. Plus que la Tunisie ou le Zimbabwe, l’Algérie le confirme depuis au moins une décennie. Mais il y avait ce verrou constitutionnel que constituait l’article 74, aujourd’hui chassé comme une prescription intruse dans la Constitution d’un système prêt à souffrir la norme devenue universelle de l’élection, à condition qu’elle serve à légitimer l’arbitraire.
Le Chef du gouvernement, chargé de dire la messe, a été très clair : “L’opposition ne prendra pas le pouvoir.” Une telle sentence, scandaleuse dans le principe, exprime la réalité de la situation politique : de l’aveu même du pouvoir en place, le “débat” sur l’article 74 ne concerne que lui. Le maintien de l’article 74 n’aurait pas menacé la survie du régime qui contrôle aussi la modalité d’alternance aux fonctions politiques.
C’est justement là que le bât blesse : la Constitution a été modifiée pour des raisons pratiques. La question étant non pas de maintenir le régime, mais de maintenir le même Président. Mais il se trouve que ce qui est une formalité pour mettre en œuvre un choix autoritaire, il fallait violer un acquis démocratique incontournable en l’état de la Constitution d’avant le 12 décembre.
C’est donc bien une nouvelle constitution, dépourvue de toute limite à l’absolutisme régnant, que nous avons hérité du vote parlementaire d’hier.
En troquant la voie référendaire tant affectionnée jusqu’ici contre un vote maison, le régime abandonne le césarisme des dernières années pour un absolutisme assumé. Il accentue ainsi ses dispositions discrétionnaires, preuve qu’il a bien enregistré sa rupture avec le peuple, annoncée par l’’abstention massive aux dernières élections législatives et par les divers mouvements, étouffés ou non, de protestation populaire. Pour imposer ses choix, le pouvoir a été contraint à une trituration à huis clos et pratiquement à la sauvette du texte fondamental. Pour être ainsi contraint à gérer par successifs faits accomplis, c’est qu’il ne doit pas être rassuré sur sa politique, et encore moins sur sa popularité.
La confusion du discours officiel sur les motivations réelles de cette révision ajoute à ce sentiment que le doute est plus du côté du régime que de ses détracteurs.
Le 28 novembre 1996, le peuple avait fait un grand pas à la démocratie en votant l’article 74 de la Constitution. Le 12 novembre 2008 aura vu le Parlement, élu aux termes de la Constitution de 1996, faire un bond en arrière de treize ans à la démocratie algérienne.
Il est peut-être utile d’enregistrer le fait accompli. Pour mémoire.
M. H.
in Liberté"La chose la plus importante qu'on doit emporter au combat, c'est la raison d'y aller."
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Code HTML:La democratie est kofr
Je suis pas trop fan de El Jazira, car elle donne la parole aux terroristes, mais je prefere un excceeeeeee de liberte qu'un deficite de parole.
El Yatima vs El Jazira ....... Perso El Jazira possede au moins 30 ans d'avance.
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