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  • #31
    un president dans un jeune pays comme le notre n'est que carotte sur un couscous. la presidence et le parlement sont devenue un tableau accroché sur un mur alors qu'au font de l'algerie la destruction le detournement l'injustice bas son plein.


    il faut laisser de coté la presidence et le gouvernement et renforcer l'etat de droit en renforçant le role et l'action de la gendarmerie nationale.

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    • #32
      il faut laisser de coté la presidence et le gouvernement et renforcer l'etat de droit en renforçant le role et l'action de la gendarmerie nationale.
      et voilà monsieur de la mekerra a tout compris !!!
      hihihihi
      Dernière modification par ARROUBI, 16 novembre 2008, 14h02.

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      • #33
        il animait la cellule de l'Istiqlal, le parti nationaliste marocain d'Allal el-Fassi
        Il y a dans ces paroles un zeste de verité !
        Dernière modification par ARROUBI, 17 novembre 2008, 12h46.

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        • #34
          Allal el-Fassi
          il a pas encore ete fusillé lui

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          • #35
            c'est un marocain ça ne m'interresse pas !
            mm s'il est mort dans son lit (allah yarhamou).
            POUR toi tolkien
            je donne cette biographie de
            Encyclopedia of World
            (en chinois pour ceux qui ne comprennent pas l'english ) .
            Biography on Mohamed Allal al-Fassi

            The Moroccan nationalist leader Mohamed Allal al-Fassi (1910-1974)
            was one of the founders and later the president of the Istiqlal party, an erudite Islamic scholar, and an author.

            Mohamed Allal al-Fassi was born in Fez on January 10, 1910,
            into a family which descended from a companion of the prophet Mohammed
            (Hihihihihih! rire )
            and included hundreds of famous Islamic scholars, as well as the first governor general of Moslem North Africa.
            Allal al-Fassi's father was a doctor of divinity and curator of the famous library of Qarawiyin University in Fez. His mother also belonged to a famous family with considerable influence in northern Morocco.

            As a youth, Allal al-Fassi was one of the most fervent, gifted, and revolutionary theologians and nationalists in Morocco. Beginning as a lean boy with piercing blue eyes and blond hair, he developed into a stout spokesman for Morocco's traditional middle class.

            His personal evolution accurately reflected the transformations of Moroccan nationalism. His eloquence stirred small businessmen, artisans, and traders, who helped support him and the movement. His profound knowledge of Islamic traditions and his writings made him one of the most respected scholars in the Arab world.

            But his early puritanical drive and his desire to reform and revitalize Islam alienated him from many Moroccan political leaders.
            In 1930, five years after he had published his first book of poems, Allal al-Fassi completed his examinations for a divinity diploma at the University of Fez. In the same year he led the attack against France's Berber policy, which appeared designed to intensify divisions in Morocco's population; arrested, he spent 13 months in prison.

            After he was freed, he became the president of the Movement of Moroccan Action, then of the Nationalist party. By 1937, as a result of his political activities, he was exiled to Gabon and the Congo, where he remained until 1946.

            During these years he learned French. After nine years of exile he returned to Morocco only to clash with Istiqlal leaders and Sultan Mohammed V. Forced into exile again, he moved to Cairo. In addition, he traveled to Europe, Asia, sub-Saharan Africa, and America, attempting to solidify his position as a Moroccan nationalist spokesman. For several years until 1953, Allal al-Fassi lived in the international city of Tangier, then moved back to Cairo.

            There, he championed the cause of armed resistance against the French in Morocco.
            In 1953 when other politicians turned against the armed Moroccan terrorists who attempted to wrench their country free from France by employing urban guerrilla tactics, Allal al-Fassi became the only important Istiqlal leader to ally himself with them.

            When France granted Morocco its independence in March 1956, the Istiqlal needed Allal al-Fassi to negotiate with terrorist leaders and win them over to the party.

            After independence, therefore, he was reintegrated into the Istiqlal. By 1959 he became president, after more radical elements led by the trade unions split off. On June 2, 1962, he became minister of Islamic affairs, a post he resigned on January 5, 1963. In May 1963 he was elected to the parliament, which was disbanded in 1965.
            As titular head of the Istiqlal, he then commanded the loyal opposition to King Hassan II. He and his followers campaigned for seven years against Hassan and constitutional reforms that ended parliamentary government, and he remained an outspoken proponent of Morocco's territorial claims to Spanish Sahara and Tindouf. Before Allal al-Fassi could see any real results of these years of work, however, he died of a heart attack May 19, 1974, during a visit to Romania to meet with President Nicolai Ceaucescu
            Dernière modification par ARROUBI, 16 novembre 2008, 14h14.

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            • #36
              fussillez le !

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              • #37
                fussillez le !
                tu crois que c'est facile de fusiller un dinausore !
                regarde le notre (boutef) il renait de ses cendres.
                Hihihihi
                Dernière modification par ARROUBI, 17 novembre 2008, 10h05.

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                • #38
                  MOHAMMED ALLAL EL- FASSI

                  Universitaire indépendantiste marocain, Allal el-Fassi (1906-1974) prend la tête du Parti national en 1937. Son militantisme lui vaudra de nombreuses années d'exil, avant qu'il puisse se consacrer à son projet de libération du Maghreb colonisé.

                  avec un rayonnement intellectuel particulièrement brillant à Fès, Allal el-Fassi (‘Allal al-Fassi) a fortement marqué la vie sociale et politique du Maroc pendant près d'un demi-siècle.

                  À peine entré à l'université de la Qarawiyyin en 1927, il forme, avec quelques fils de famille, une association de jeunesse contestataire.

                  Nourri de la pensée de mystiques et de politiques musulmans, il ambitionne de devenir le prophète du mouvement nationaliste.

                  Entre 1920 et 1930, il publie des poèmes, participe à la propagation des écoles arabes libres, fait de la propagande en faveur d'Abd el-Krim, manifeste contre le Dahir berbère (1930) et connaît à deux reprises l'internement.

                  Après deux années d'enseignement à la Qarawiyyin, il renonce à sa chaire.

                  Toujours suspect, il échappe aux autorités françaises locales et gagne Paris, où il rencontre l'émir Chekib Arslan, le prestigieux partisan du panarabisme, en exil (1933).

                  Il suit alors le mouvement national naissant et son animateur Hassan el-Ouazzani. Revenu à Fès en 1934, il participe, au sein du Comité d'action marocaine, à l'élaboration du Plan de réforme qui sera proposé à Paris sans succès.(...)

                  cherche toi meme la suite CHER TOLKIEN .....



                  Dernière modification par ARROUBI, 16 novembre 2008, 15h15.

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                  • #39
                    ben un dinosaure non, mais un os comme el fassi...

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                    • #40
                      Allal El Fassi

                      (de son nom complet Mohamed Allal El Fassi ; en arabe : علال الفاسي) (né le 10 janvier 1910 à Fès au Maroc, mort le 19 mai 1974 à Bucarest, en Roumanie) est un homme politique marocain, il est le fondateur du parti indépendantiste marocain, l'Istiqlal. Allal El Fassi a fortement influencé la vie politique et sociale du Maroc pendant plus d’un demi-siècle.
                      Dernière modification par ARROUBI, 16 novembre 2008, 15h11.

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                      • #41
                        je connaissais deja un peu arroubi, mais j'éprouve pas un sentiment tres haut pour lui, enfin à mon sens c'est un homme politique de second ordre, mais je t'accorde qu'il etait plus interessant qu'H2

                        Commentaire


                        • #42
                          mais j'éprouve pas un sentiment tres haut pour lui
                          MOI AUSSI
                          meme pour les miens !!!sauf les martyrs .
                          allah yarhamhoum bi rahmatih







                          http://img113.imageshack.us/img113/9837/ecran098cj4.jpg
                          Dernière modification par ARROUBI, 16 novembre 2008, 16h48.

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                          • #43
                            "La Cour des comptes instruit le dossier et le transmet à la justice. Le procès n'aura jamais lieu, mais Bouteflika est exclu du Comité central du FLN."
                            il faut préciser aussi qu'il était ministre conseiller au premier gouvernement de CHADLI.jusqu'au 1982 ; son exil ou sa fuite n'as duré que 6ans .car aux événement de 88 il y'etait avec les marionnettistes ; avec un rôle de figurant bien sur.il as même fait des meetings lors de la campagne électoral pour le FLN EN 91.
                            "sauvons la liberté , la liberté sauve le reste"

                            Commentaire


                            • #44
                              je connaissais deja un peu arroubi, mais j'éprouve pas un sentiment tres haut pour lui, enfin à mon sens c'est un homme politique de second ordre, mais je t'accorde qu'il etait plus interessant qu'H2

                              C'était un pauvre clochard intellectuel qui a appris la politique chez les Algériens comme Al Amir Khaled et Messali Hadj avant de nous sortir son délire sur le Grand Maroc et l'Empire des Babouches... Bref, un misérable politicien à classer dans la meme catégorie que le voyou Hassan 2.

                              ∑ (1/i²) = π²/6
                              i=1

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                              • #45
                                Alryib3je connaissais deja un peu arroubi, mais j'éprouve pas un sentiment tres haut pour lui, enfin à mon sens c'est un homme politique de second ordre, mais je t'accorde qu'il etait plus interessant qu'H2

                                C'était un pauvre clochard intellectuel qui a appris la politique chez les Algériens comme Al Amir Khaled et Messali Hadj avant de nous sortir son délire sur le Grand Maroc et l'Empire des Babouches...
                                bonsoir monsieur Alryib3
                                je m'excuse pour el amir khaled et messali hadj : ce n sont pas des "clochards intellectuels" mais des precurseurs de la revolution de novembre 1954.
                                Et ils militaient pour l'indépendance de l'algérie (leur pays) et pas en délirant .
                                Donc! evitez svp l"amalgame .
                                voiçi leur parcours :

                                Emir khaled :

                                Le mouvement nationaliste algérien qui s’est formé en 1920 en Algérie, a eu pour précurseur l’Emir Khaled, un personnage fascinant et intrigant à la fois.
                                Il était le petit fils de l’Emir Abdelkader, celui qui avait réussi près d’un siècle plus tôt, à imposer le concept de Nation algérienne, libérée de la tutelle ottomane.

                                Lui Khaled, a fait de ce concept le fondement d’un combat politique, qui s’organisera contre la colonisation française.

                                Un combat qui mènera plus tard à l’indépendance de l’Algérie.
                                L’Emir Khaled est né le 20 février 1875 à Damas.
                                Fils d’El-Hachemi Ben Abdelkader, il a vécu l’exil de son grand-père. Son éducation a été très religieuse auprès de l’Emir Abdelkader, et tout comme ses frères et ses cousins, il profite et s’imprègne de la science de son grand-père.

                                Mais celui-ci décède en 1883, alors que Khaled n’a que huit ans. Le jeune Khaled poursuit alors ses études à Damas, auprès de grands savants de l’époque. Jusqu’au jour où, en 1892, son père El-Hachemi, obtient l’autorisation de rentrer en Algérie.

                                Et d’Algérie, son père l’envoie à Paris poursuivre ses études au lycée Louis Le Grand.
                                Une année plus tard, son père insiste encore pour qu’il entre à Saint-Cyr, l’école militaire réputée.

                                Lui, n’en voit pas l’intérêt et il s’insurge contre cette décision. Mais, il semblerait que c’est l’Emir Abdelkader lui-même qui avait conseillé à ses fils d’apprendre l’école des armes à leurs enfants.

                                Khaled se résigne mais cause beaucoup de soucis à son père. Il refuse sa naturalisation et n’intègre Saint-Cyr, et plus tard l’armée française, qu’en qualité de soldat indigène.

                                C’était un soldat remarquable et remarqué puisqu’il obtiendra au bout de quinze années, le grade de Capitaine.

                                Mais les autorités coloniales se méfiaient de lui et le tenaient à chaque fois à l’écart.
                                Il faut dire que lui non plus ne cachait pas son hostilité à l’égard de la colonisation française.
                                Il manifestait sa fierté de descendant de l’Emir Abdelkader, et affichait son refus des humiliations de l’administration française envers les algériens.
                                C’était un vrai «personnage» et selon la sympathie, la jalousie ou bien la haine qu’il suscitait, il a été décrit de diverses façons contradictoires.

                                C’était pour certains un agitateur, un provocateur et un ambitieux.

                                Pour d’autres un vrai nationaliste, un homme averti et un fin politicien.

                                Il a su profiter de sa double culture, de l’éducation arabo-musulmane profondément religieuse, et de la pensée française orientée à son époque, vers le respect des droits de l’Homme et des libertés.

                                C’est ainsi qu’il maniait à la perfection la langue arabe et française. Il avait le don d’émouvoir les foules quand il prenait la parole. Physiquement, c’était un bel homme : grand aux yeux clairs et à la barbe noire, il portait élégamment et fièrement le costume de ses ancêtres : Guennour et Burnous.

                                Mais, avant de se lancer dans une carrière politique, il essaie à plusieurs reprises et dès 1912 de se détacher de l’armée française.

                                Il dépose sa démission que les autorités refusent.
                                Il participe à la 1ère guerre mondiale mais, est évacué en 1915 à cause d’une tuberculose.

                                En 1919, il réussit à prendre définitivement sa retraite et entreprend alors de poursuivre une carrière politique.
                                Il a 44 ans.
                                Son combat passe par deux étapes. Dans la première, il lutte dans la légalité coloniale.
                                Dans la seconde, il entreprend un véritable combat révolutionnaire.

                                Mais, dans les deux, son combat dérange sérieusement les autorités coloniales qui comprennent vite le danger qu’il représente.
                                Il est élu aux élections municipales d’Alger le 30 novembre 1919, avec 925 voix sur 1073 votants.

                                Il était hostile à la naturalisation mais combattait aussi pour l'égalité entre indigènes (algériens) et français. Il faut dire que le contexte était très difficile.

                                Le code de l’indigénat avait plongé les algériens dans la misère. Ils étaient la proie d’une injustice sociale et pénale flagrante, à une imposition excessive, à l’inaccessibilité à l’emploi, et bien sur à l’absence de libertés. Telle, la liberté de culte, puisque l’administration coloniale exerçait directement son autorité sur le personnel des mosquées et zaouïates. Et la liberté d’instruction, de circulation et de réunion.

                                L’Emir Khaled dresse un programme pour combattre les mesures répressives coloniales et gagne l’adhésion d’une large majorité populaire. Il dirige le journal «Al-Iqdam» dès 1920, et y publie des articles virulents. Il fonde aussi la Fraternité Algérienne, une association qui aura beaucoup de succès à travers tout le pays.

                                L’Emir Khaled ne lésine pas sur les efforts.
                                Il organise des meetings à Alger et à l’intérieur du pays.
                                C’était un fait nouveau dans le paysage politique algérien, et il en a été l’initiateur.
                                Lorsque le «Danger» Khaled est devenu sérieux, la France coloniale décide de l’expulser d’Algérie. En 1925, il part pour l’Egypte, puis s’installe en Syrie en 1926.

                                Partout où il passe, il est acclamé et respecté, il est considéré comme un leader, un symbole de la «Nahda», l’éveil arabe.

                                Il décède en 1936, à l’âge de 58 ans, en ayant su porter la question algérienne devant l’assemblée de la Société des Nations, à Paris, en 1919 déjà. Il avait à cette époque, demandé la protection du peuple algérien par la SDN.

                                Il avait réussi à émouvoir le président américain Wilson, en lui rappelant son principe de «liberté des peuples à disposer d’eux-mêmes». Un principe que l’Emir Khaled a défendu jusqu’à la fin de sa vie.


                                le prochain post sera consacré à messali hadj !

                                Dernière modification par ARROUBI, 17 novembre 2008, 13h11.

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                                Chargement...
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