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Debout pour résister ensemble au viol de la Constitution !

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  • #16
    Ce qu'il faut c'est une union dérriére un candidat démocrate commun
    Un nom ? ...

    une seule manifestation pacifique, de quelques heures, bien organisée, dans les rues de la capitale
    Ou ca ? en Algérie ? ... tu sais très bien que ça va viré dans les" riots " dé la premiere heure ...ont est tres loin de la culture peace & love .
    وقد طوَّفتُ في الآفاق حتى رضيتُ من الغنيمة بالإيابِ

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    • #17
      pas d'accord l'ami, on peut dire que le peuple est le seul sauveur c'est vrai mais on n'aboutira a rien sans qu'il y ait un ou plusieurs vrai meneurs pour canaliser cette force qu'est le peuple.

      Les meneurs ça finit toujours par soit se corrompre, soit se diviser, et chez nous c'est généralement très rapide. Il y a qu'à voir le dernier exemple en date: les mouvement citoyen dit des aarouches. C'est pour ça que je reste dubitatif face aux "représentants du peuple" de tout bord. L'élite Algérienne a toujours trahie son peuple.

      Rien ne vaut un mouvement de base qui n'a ni meneur ni rien. Comme une gréve générale pacifique ou tout le monde reste à la maison pendant une semaine: le pays vide. Et ensuite un vote massif pour un candidat démocrate unique le 8éme jour. Il n'y a aucun besoin pour un meneur là.

      ∑ (1/i²) = π²/6
      i=1

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      • #18
        Un nom ? ...

        N'importe lequel fera l'affaire pour moi. Said Saadi fera un bon président. Ait Ahmed aussi, bien qu'il soit vieux. Hamrouche pourrait faire un bon président pour le changement aussi. Ce sont tous des hommes capables de diriger l'Algérie à mes yeux, d'une façon différente et probablement meilleure que Boutef.

        L'essentiel étant d'obtenir un changement pacifique, sans effusion de sang et que ceux qui sont au pouvoir aujourd'hui soit renvoyé par le peuple dans l'opposition.

        ∑ (1/i²) = π²/6
        i=1

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        • #19
          Ou ca ? en Algérie ? ... tu sais très bien que ça va viré dans les" riots " dé la premiere heure ...ont est tres loin de la culture peace & love.

          Pas besoin de manifester ya sidi. Juste rester à la maison. Regarde la TV, joue aux échecs, prend un livre, ... Laissez le pays vide en somme. Des villes fantomes comme Santa Fé dans les Westerns.

          ∑ (1/i²) = π²/6
          i=1

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          • #20
            Y'en a qui veulent que ça explose dans le pays, 10 ans de terrorisme, de meurtres de misère ça ne leur a pas suffit ??

            qui veut la paix prépare la guerre !
            Ne soyez point en peine de moi, j'ai retrouvé mes ailes.

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            • #21
              Zaki (encore lui!):
              Bouteflika ou moi ?

              Ya si Laari1 je ne fait que donner mon avis Ce que je dit, je le dit sincèrement, loin de tout régionalisme et de haine ...

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              • #22
                Ya si Laari1 je ne fait que donner mon avis Ce que je dit, je le dit sincèrement, loin de tout régionalisme et de haine ...

                Je n'en doute pas, rassure-toi.

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                • #23
                  j'ai peur pour l'algerie et les algeriens. faut arreter de jeter de l'huile sur le feu. une revision constitutionelle n'est pas un viol constitutionnel, ce sont deux choses differentes. il y aurai eu viol si boutef aurait passé en force. cela veut dire en fait que tous ces partis, tous ces gens qui gravitent autour du pouvoir, font qu'une course au koursi, personne ne semble préoccupé de lavenir de l'algerie et des algeriens

                  on assiste à une guerre d'influence pour le fauteuil.
                  ni le RCD, ni Hanoun n'est en réalité capable, ils mangent tous dans le même gobelet, celui de lutte pour le pouvoir, la course au koursi !

                  l'algerie a besoin d'une personne volontaire et qui pense au pays avant de penser au koursi

                  pour moi tous bonnets blancs et blancs bonnets !
                  l'algerie ne merite pas une nouvelle destabilisation et surtout pas pour une connerie de revision constitutionelle, les partis en algerie prouvent encore une fois qu'ils sont peu mûrs, que c'est juste des officines affairistes et de lutte pour le pouvoir !

                  on comprends pourquoi Zeroual reste loin de ces chacals, ils pensent qu'à leur ventre, pas au bien du pays !
                  Dernière modification par absent, 15 novembre 2008, 05h59.

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                  • #24
                    Le Président de la LADDH à El Khabar
                    La non limitation des mandats présidentiels est une transition vers une République Royale
                    Le président de la Ligue Algérienne pour la Défense des Droits de l’Homme, Mustapha Bouchachi, a déclaré que les modifications apportées à la constitution, dans son volet relatif à la non limitation, au président, du nombre de mandats présidentiels, ont pour but de faire de l’Algérie, petit à petit, une « République Royale ». Bouchachi a déclaré dans une interview accordée à El Khabar que « la révision, par le parlement, de la constitution est illégitime ce qui veut dire que la modification, elle-même, est illégitime ».
                    El Khabar : Les autorités ont présenté des justificatifs multiples pour amender les articles de la Constitution, la création de plus de coordination entre les autorités, et elles ont signifié que la modification est nécessaire et n’a pas à être retardée. Selon vous, est ce qu’on a besoin d’une révision de la Constitution durant cette étape ?

                    Bouchachi :Je ne pense pas, du tout, qu’on a besoin d’une révision de la Constitution au vu des conditions actuelles que traverse l’Algérie, c'est-à-dire que la révision n’est pas un problème. Ajoutant à cela, le mandat du président n’arrivera à terme que dans six mois, donc s’il y a une volonté d’un changement, le sujet aurait été soumis, depuis longtemps, à un débat national, et ce avec la participation de la classe politique, la société civile, les partis politiques et les institutions officielles, ce qui n’est pas le cas.
                    El Khabar : La Constitution a été révisée, le Parlement a voté et on dit que ce dernier est illégitime. Un commentaire ?

                    Bouchachi : La constitution de 1996 a été approuvée par le peuple Algérien, sur referendum, c’est pour cela qu’il fallait faire appel, encore une fois, au peuple. Pour ce qui s’est produit avec le parlement, beaucoup pensent qu’il est dépourvu d’une légitimité. Le pouvoir lui-même disait que le vote durant la précédente élection législative n’a pas dépassé 35%, et quelques partis politiques disaient que le taux était beaucoup plus maigre. Alors, la révision de la Constitution par un parlement, ne jouissant pas d’une légitimité populaire, rendrait la révision elle-même illégitime.

                    El Khabar : Les protagonistes de la révision de la constitution ont salué l’ouverture des mandats présidentiels qu’ils ont qualifiés de fond démocratique, se faisant sur le principe du choix du peuple. Qu’en pensez vous ?
                    Bouchachi :Il faut voir la question dans le sens contraire. La limitation des mandats présidentiels en Algérie et dans toute la région Arabe est considérée, réellement, comme l’un des mécanismes de transition vers un système démocratique, mais l’inverse, c'est-à-dire l’expérience de la région Arabe avec des constitutions ne limitant pas les mandats, a donné naissance à des Républiques Royales, c’est à dire que la limitation de la période de gouvernance présidentielle, dans la constitution de 1996, à deux mandats consécutifs aura créée une lueur d’espoir de transition vers un système démocratique non maîtrisé par le pouvoir exécutif, mais ce qui s’est passé, c’est qu’on n’assiste pas souvent aux opérations de transition vers ce type de système et peut être celle vers un système Républicain royal.


                    15-11-2008
                    Par A. K / Traduit par H. By

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                    • #25
                      L' FIS (dissous) refuse la révision de la Constitution


                      Benhadj appelle à une « Assemblée Constituante » pour l’élaboration d’une nouvelle
                      Le FIS refuse la révision de la Constitution

                      Ali Benhadj, l’ex numéro deux du Front Islamique du Salut dissous a appelé à la création d’une « Assemblée Constituante élue », qui se chargera de l’élaboration d’un nouveau projet de constitution, issu d’un large débat au sein de la société.
                      Il a déclaré que « la manière par laquelle le président de la République a amendé la constitution reflète combien il méprise ce peuple ».
                      Dans un communiqué, Benhadj a indiqué que toutes les forces politiques agréées et non agréées participeront à la formulation du projet de la Constitution auquel il appelle, qui sera ensuite présenté aux députés du peuple, qui décideront.
                      Ali Benhadj a annoncé le refus de l’ex FIS dissous de la révision de la constitution de 2008 « comme il a refusé celle de 1996, tout en indiquant que cet amendement est la consécration du mépris et de la dictature ».
                      Benhadj, qui a été exempt, en juillet dernier, des peines complémentaires, a expliqué que le but recherché de la révision de la constitution n’est pas la protection des symboles de la révolution, qui est assuré par le code pénale. Il a, toutefois, indiqué que la vraie raison, non dévoilée de cette révision est la légitimation de l’autocratie et la marginalisation des autres institutions, pour qu’elles deviennent de simples outils servant à exécuter la volonté du Président ».
                      Ali Benhadj a comparé le président de la République à Napoléon Bonaparte qui a enfreint la constitution de la France en 1802 et « qui a trouvé le philosophe juriste Français pour justifier son acte ignoble ».

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                      • #26
                        Les initiateurs de l’appel au respect de la constitution (ICRC) nous ont fait parvenir cette déclaration publique :

                        La constitution algérienne a subi la violation annoncée. La voie est ouverte à la présidence à vie en Algérie. Vingt années de pluralisme formel et plus d’une décennie de violence politique n’ont pu mettre le pays à l’abri d’une si terrible régression. Désormais le contenu des institutions s’adapte aux hommes et non l’inverse. Si la limitation du nombre de mandats présidentiels ne garantit pas l’alternance démocratique, sa non limitation est la voie garantie vers la dictature. Comment un tel forfait a-t-il été possible ?

                        Les Algériens ont choisi de laisser faire. Ils se sont, dans leur écrasante majorité, détournés des combines, petites et grandes, du régime autoritaire qui les humilie. La défense civique de l’Algérie méritait plus d’engagement et de résistance de ses élites intellectuelles, politiques et de sa presse dite indépendante.

                        C’est sur les âmes de dizaines de milliers de morts depuis 1988, cendres d’une vie politique algérienne éteinte, que se sont élevés 500 bras le 12 novembre dernier au palais des Nations. Les amendements constitutionnels, la possibilité d’un troisième mandat, partagent l’illégitimité du parlement, décriée au sein même du camp présidentiel.

                        La présidence à vie est instituée par la corruption du premier collège, celui des « élus » du pouvoir et non par la conviction du peuple. Ce retentissant échec n’est pas sans conséquence pour le régime. Sans référendum populaire – promis à un boycott historique –, toutes les remises en causes souhaitées du texte constitutionnel ont été reportées à plus tard.

                        La question de la succession mécanique du président de la république n’a pas été réglée. La prolongation du mandat d’un président de la république de 71 ans, diminué physiquement, et d’une gestion gouvernementale productrice de désespoir national, de kamikazes et de harraga, résume l’avenir.

                        L’Algérie, congestionnée sous une gouvernance ni légitime ni efficace, entre en crise politique majeure. La « stabilité » recherchée est un acharnement générationnel qui fait fi de demain et d’hier.

                        L’interdiction formelle de l’alternance est le dernier acte de retour à la configuration autocratique d’avant octobre 88 et des ères pré politiques dans le monde. Elle ne laisse de recours qu’à la violence populaire. Elle réhabilite l’alternance millénariste, islamiste par essence en Algérie.

                        Nous, initiateurs de l’appel au respect de la constitution (ICRC) et de ses principes démocratiques, avons pu prendre, durant de longs mois de discussion avec des acteurs politiques nationaux, la mesure de la misère morale dans laquelle le pays a été plongé. Notre interpellation des consciences, portée par plusieurs centaines de signataires au sein des franges les plus impliquées dans la reconstruction de l’Algérie, n’a pas réveillé le système sur sa déchéance. Tout changement étant interdit, le progrès démocratique et social passera en Algérie par de nouveaux affrontements, de nouveaux chaos.

                        Notre conviction demeure qu’il peut être obtenu par la libération de la vie politique, la levée d’écrou sur les aspirations des Algériens à la liberté et à la dignité.

                        Pour l’ICRC :
                        - Ihsane El Kadi, Fodil Boumala, Baya Gacemi, Abed Charef, Nasseredine Lezzar, Yassine Temlali, Hakim Addad

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                        • #27
                          une revision constitutionelle n'est pas un viol constitutionnel, ce sont deux choses differentes. il y aurai eu viol si boutef aurait passé en force
                          je me pose une question ...... pourquoi il n'as pas revu la constitution lors de son premier mandat ??.....pourquoi il a attendu la derniere année??



                          tous ces gens qui gravitent autour du pouvoir, font qu'une course au koursi, personne ne semble préoccupé de lavenir de l'algerie et des algeriens
                          malheureusement c'est le cas .... celui qu'on a cru mort il y a une année ..on ne pensais même pas qu'il terminerai son deuxieme mandat se retrouve a revoir la constitution pour un troiseme ....Pffffffff
                          Qui veut noyer son chien l'accuse de la rage

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                          • #28
                            "Il n'y a personne pour nous sauver à part nous meme. Le jour ou on aura compris ça on aura enfin compris l'essentiel. Il n'y a pas d'homme providentiel, pas de parti miraculeux, pas de comité salvateur qui peut sauver le peuple. Il n'y a que le peuple qui peut se sauver lui meme."
                            _________________
                            oui; toute ta reflexion est juste sauf que c'est de l'utopie vu du bled.
                            le peuple c'est le dindon de la farçe , un peuple sans des guides c'est quoi ?
                            "sauvons la liberté , la liberté sauve le reste"

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                            • #29
                              Moha

                              Oh arrêtez de chercher un nom, un nom, dabord se débarasser de celui qui veut nous diriger à vie, à ce que je sache, les candidatures ne sont pas clauses, il y aura quelqu'un face à boutef, comme même, alors attendons le, et soutenons le, car tout sauf boutef devrait être une vérité à graver dans les têtes. Une fois que ce dictateur sera parti, même si on a élu un président dont on ne sait pas grand chose, à la limite said saadi qui se présente face à lui, on lui donne 5 ans, mais au moins on respire, c'est une nouvelle politique, un coup d'air aux institutions toutes sous les ordres du roi jusque là, 5 années différentes des 10 années noires précédantes, et puis c'est tout, si on trouve que le président qu'on a élu est mauvais, on le changera en 2014, ou on exigera sa démission, mais en tout cas, on ne sera plus diriger par quelqu'un qui a pour but de priver les algériens de leur droit de choisir.
                              Il faut sortir de la dictature pour construire la démocratie, et non attendre la démocratie en pleine dictature.:22:

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                              • #30
                                A qui donc profite cette révision??certainement pas a ce grabataire de boutef,a mon avis un autre attend sagement tapis derriere pour s'asseoir a vie sur le fauteuil présidentiel.L'histoire nous diras pour qui l'on trace cette voie "royale"...
                                Je suis responsable de ce que je dit.Je ne suis pas responsable de ce que tu comprends !

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