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Ce que cache la sortie de Chadli

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  • Avatar de « Invité »
    Invité a répondu
    Moha

    Ce qu'elle cache???
    Elle cache que les algériens sont peut être trop bête pour pouvoir choisir un président, et reconnaitre le bon du mauvais!!!!!
    Allez y restez ici à critiquer chadli, qui est parti il y a 20 ans, et à laisser au dessus de vos têtes, le pire des présidents qu'a jamais connu l'algérie.:22:

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  • taurus
    a répondu
    ceque cache la sortit de chadli ?????

    hihihihi a mon avis ca doit etre parcequ'il a demander un truc a bouteflika (genre villa a Club des Pins, morrettit ou un truc dans le genre) et qui lui a ete refusée hihihih ca parait bete mais c'est comme ca en algerie
    ce n'est que mon avis hihihi

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  • Avatar de « Invité »
    Invité a répondu
    En octobre 88, elle a été instrumentalisée dans le cadre d'un complot d'islamistes et d'affairistes.
    chadli voulait se debarassé des elements genants du multipartisme et des monopoles

    Sinon, comment expliquer qu'en si peu de temps, le FIS s'est organisé et a pu mobiliser des centaines de milliers d'adhérants à travers tout le territoire national et même à l'étranger et failli emporter les élections.
    chadli voulait finir avec le FLN a poussé ses miliants à pousser des barbes et le tour est joué pour assoir une republique islamiste soft genre iran .

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  • Laari1
    a répondu
    Le désespoir de la population a été tel qu’elle a été poussée à la révolte.

    Je n'en crois rien.

    De tout temps, et jusqu'à aujourd'hui, la jeunesse est désespérée, mais incapable de se révolter seule sous un régime policier très vigilant.

    En octobre 88, elle a été instrumentalisée dans le cadre d'un complot d'islamistes et d'affairistes.

    Sinon, comment expliquer qu'en si peu de temps, le FIS s'est organisé et a pu mobiliser des centaines de milliers d'adhérants à travers tout le territoire national et même à l'étranger et failli emporter les élections.

    De même, comment expliquer les immenses fortunes qui se sont érigées dans une Algérie socialiste depuis sa "démocratisation"?

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  • Zacmako
    a répondu
    Histoire et règlements de comptes.

    Histoire et règlements de comptes

    Pour sa première sortie publique, Chadli Bendjedid n’y est pas allé de main morte. Il a égratigné le président Bouteflika, attaqué Khaled Nezzar et Tahar Zbiri et réglé ses comptes avec Ben Bella. L’allusion au premier est claire lorsqu’il dit : « On fait le serment sur le Coran de respecter la Constitution et on fait autre chose. Je ne suis pas de ceux-là. » Assurément, Chadli Bendjedid n’apprécie pas le triturage actuel de la Constitution devant permettre un troisième mandat au président Bouteflika, comme il n’aime pas que l’écriture de l’histoire ait été confiée à l’Etat par un des nouveaux amendements constitutionnels.

    « J’appelle, dit-il, les historiens, les vrais, à travailler en faisant preuve de neutralité et d’objectivité. » Ces deux critiques sont apparues suffisantes à l’ENTV pour qu’elle censure toute l’intervention (de trois heures) de Chadli Bendjedid, se contentant de diffuser quelques furtives images de la rencontre sur Amara Bouglez, fondateur de la base de l’Est. Mais en s’aventurant à donner sa propre version des faits sur les rivalités qui ont marqué la Guerre de libération et les lendemains de l’indépendance, l’ex-président de la République s’est mis en porte-à-faux avec sa propre recommandation sur l’écriture de l’histoire. N’étant pas historien lui-même, il ne pouvait qu’être subjectif.

    Selon lui, Saïd Abid a été liquidé alors que la version officielle de l’époque, celle de Boumediène, évoquait un accident de voiture. Mohamed Chaâbani a été mis à mort par Ben Bella afin d’éviter ses révélations. Quant à Khaled Nezzar, qui fut pourtant son ministre de la Défense après les événements d’Octobre 1988 avant d’être chef d’état-major de l’ANP, il est carrément accusé d’avoir été « un espion » pour le compte de l’armée française. Chadli Bendjedid ressort le procès fait de manière récurrente aux déserteurs de l’armée française. Khaled Nezzar qui, maintes fois, a eu à s’expliquer sur ce dossier, ne manquera pas de réagir et peut-être d’autres encore sur les révélations et les critiques de l’ex-chef d’Etat.

    Comme de tradition dans le pays, les règlements de comptes tiendront lieu d’écriture de l’histoire. Chadli ne devra pas s’étonner si, dans la lancée, ressortira la critique de son règne de dix années à la tête du pays, une « décennie noire », selon l’expression consacrée tant la corruption et la gabegie ont régné en maîtres. Le désespoir de la population a été tel qu’elle a été poussée à la révolte.

    Le 5 octobre 1988 fit vaciller le système Chadli Bendjedid qui se résigna à réformer la Constitution en instituant le multipartisme. L’erreur fatale a été la recherche du compromis avec l’islamisme politique, lequel ne pouvait que réduire à néant la velléité de l’ex-chef de l’Etat d’instaurer, ainsi qu’il l’affirme, « un régime parlementaire par un retour à la souveraineté populaire ». La sortie de Chadli Bendjedid n’est pas innocente.

    Elle s’expliquerait autant par le climat politique actuel (l’affaire Mecili entre autres ?) que par sa colère contenue depuis des années : il dit que depuis qu’il a quitté le pouvoir, il a été « insulté, diffamé, calomnié ». Apparemment, il a décidé de passer à l’offensive contre ses détracteurs, y compris contre le président Bouteflika qui ne l’a pas épargné au début de son règne.
    El Watan

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  • Zacmako
    a crée une discussion Ce que cache la sortie de Chadli

    Ce que cache la sortie de Chadli

    L’ANCIEN PRÉSIDENT S’EST EXPRIMÉ DANS LES MÉDIAS
    Ce que cache la sortie de Chadli



    Il a réussi la prouesse médiatique de faire la promotion de son livre bien avant sa sortie.

    Que veut-il, que vise-t-il? Quels sont les mystères de cette sortie largement relayée par les quotidiens de la presse nationale après un si long silence d’un homme connu pour ne pas avoir la faconde facile?
    Il n’ y avait pas que la presse indépendante qui a fait écho des propos de l’ancien président. Même la Télévision nationale s’est crue obligée de souligner sa présence sans pour autant lui accorder plus d’intérêt.
    Le timing de cette sortie médiatique est trop flagrant dans un contexte politique particulier. Cette sortie n’est-elle pas à relier avec les rumeurs qui circulent au niveau de la capitale, faisant état d’une probable candidature à la présidentielle d’avril prochain, de l’ancien président Liamine Zeroual? Les propos tenus par l’ancien président Chadli sont en réalité à recadrer dans un contexte non d’ambition politique, sa carrière étant derrière lui, mais d’ordre purement éditorial.
    L’on a appris, en effet, qu’il est en train de mettre les dernières retouches à ses «Mémoires» relatant «les péripéties» des 12 années qu’il avait passées à la tête de la présidence de la République. La sortie de Chadli n’est, selon les observateurs avertis de la scène politique algérienne, qu’un effet d’annonce pour son ouvrage auquel il espère voir le public réserver un très large succès. Une «oeuvre» ou un essai politique que certains n’hésitent pas à ériger en promesse de best-seller.
    Pour cette tâche historique, Chadli a recours à ce que tous les hommes politiques dans le monde font quand ils «écrivent». Se faire assister, ni plus ni moins, par des «nègres». A savoir les scribes, ces collaborateurs qui ont la fibre de l’écriture et dont nous préférons taire les noms. C’est l’une des rares fois où il s’exprime depuis son départ de la tête de l’Etat en 1992.
    Il a choisi d’observer un mutisme total aussi bien sur la vie politique nationale et ses aléas que sur les véritables conditions qui l’ont conduit à abandonner le pouvoir à un moment très particulier de l’histoire de l’Algérie indépendante. C’était le moment où le FIS dissous, qu’il avait agréé, avait gagné les élections législatives et était à deux doigts d’installer un Etat islamique.
    Un quotidien national arabophone a même titré: «Je jure par Dieu que je dévoilerai toutes les vérités.» Quels secrets donc va-t-il dévoiler 12 ans après avoir quitté le pouvoir? Profitant du Colloque national sur Amara Bouglez, fondateur de la Base de l’Est, qui s’est déroulé jeudi dernier au centre universitaire d’El Tarf, l’ancien président de la République de 1979 à 1992, Chadli Bendjedid, a retrouvé sa «verve» d’orateur et s’en est donné à coeur joie pendant plus de deux heures pour sortir d’un long mutisme. Il affirme avoir compris, à la veille d’Octobre 1988, que «le régime était arrivé à sa fin». Aussi fallait-il se défaire de la «légitimité historique» et remettre le pays entre les mains de jeunes. Il dit qu’il préférait un régime parlementaire et tout le reste. Mais la question qui taraude les esprits est de savoir pourquoi l’ancien président a choisi de parler maintenant et à partir d’El Tarf au milieu de ses anciens compagnons d’armes? Il faut reconnaître que Chadli Bendjedid a réussi la prouesse médiatique de faire la promotion de son livre.
    L'expression
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