Algérie : des émeutiers condamnés à des peines de prison ferme à la veille de l’Aïd
Par TSA ,
Neuf personnes ont été condamnées, dimanche 7 décembre veille de la fête de l'Aïd El Kébir, à deux ans de prison ferme par le tribunal criminel d'Oran pour dégradations de biens au cours d'émeutes qui avaient éclaté en avril 2008 à Gdyel, selon une source judicaire. Trois autres accusés ont été acquittés au cours du même procès.
Les neufs condamnés ont été reconnus coupables d'attroupement non armé et incendie volontaire. En revanche, le tribunal n'a pas retenu l'accusation d'incendie volontaire de biens de l'Etat et incendie de véhicule, mais les a reconnus coupables.
Ces douze personnes avaient été arrêtées par les services de sécurité après des émeutes qui avaient secoué le 15 avril 2008 cette petite ville située à quelques km d'Oran. Le siège du tribunal, l'agence postale et la Caisse nationale des assurances sociales (CNAS) notamment avaient été la cible des émeutiers contre lesquels le ministère public avait réclamé 20 ans de réclusion. La défense avait plaidé l'acquittement arguant "l'absence de preuves".
Par TSA ,
Neuf personnes ont été condamnées, dimanche 7 décembre veille de la fête de l'Aïd El Kébir, à deux ans de prison ferme par le tribunal criminel d'Oran pour dégradations de biens au cours d'émeutes qui avaient éclaté en avril 2008 à Gdyel, selon une source judicaire. Trois autres accusés ont été acquittés au cours du même procès.
Les neufs condamnés ont été reconnus coupables d'attroupement non armé et incendie volontaire. En revanche, le tribunal n'a pas retenu l'accusation d'incendie volontaire de biens de l'Etat et incendie de véhicule, mais les a reconnus coupables.
Ces douze personnes avaient été arrêtées par les services de sécurité après des émeutes qui avaient secoué le 15 avril 2008 cette petite ville située à quelques km d'Oran. Le siège du tribunal, l'agence postale et la Caisse nationale des assurances sociales (CNAS) notamment avaient été la cible des émeutiers contre lesquels le ministère public avait réclamé 20 ans de réclusion. La défense avait plaidé l'acquittement arguant "l'absence de preuves".
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