alors que la Tunisie en débourse 185 $
Malgré les subventions financières estimées à 178. 322 milliards de dinars dans la loi de finances 2009, contre 143. 966 milliards de dinars dans la loi de finances complémentaire 2008, toujours est-il que les indications présentées par les instances internationales font état que l’Algérie est en dessous du niveau du nos voisins Tunisiens
Les estimations de la banque mondiale ont indiqué, pour la dernière décennie, que la valeur des dépenses globales dans le secteur de la santé, par personne, sont estimées à 157. 7 dollars en 2008, contre 141. 7 dollars en 2007 et 125. 7 dollars en 2006.
Sous le thème « amélioration de l’efficacité des dépenses de la santé », le rapport a indiqué qu’un nombre de médecins et de spécialistes qui sont passé du secteur public au privé dépasse 110 % en une décennie, car le nombre de médecins et de spécialistes et de travailleurs dans le secteur privé a dépassé les 15 milles en 2007, contre 7240 en 1991, c’est ce qui explique l’évolution dans le domaine de la présence de cliniques et de centres de soins privés, dont le nombre a atteint 115 en 2008, comme alternative à cause de la défaillance du secteur public.
Le rapport a estimé environ 44 % de médecins spécialistes et 34 % de médecins généralistes exercent dans le secteur privé et que ce taux augmente davantage.
El Khabar
Malgré les subventions financières estimées à 178. 322 milliards de dinars dans la loi de finances 2009, contre 143. 966 milliards de dinars dans la loi de finances complémentaire 2008, toujours est-il que les indications présentées par les instances internationales font état que l’Algérie est en dessous du niveau du nos voisins Tunisiens
Les estimations de la banque mondiale ont indiqué, pour la dernière décennie, que la valeur des dépenses globales dans le secteur de la santé, par personne, sont estimées à 157. 7 dollars en 2008, contre 141. 7 dollars en 2007 et 125. 7 dollars en 2006.
Sous le thème « amélioration de l’efficacité des dépenses de la santé », le rapport a indiqué qu’un nombre de médecins et de spécialistes qui sont passé du secteur public au privé dépasse 110 % en une décennie, car le nombre de médecins et de spécialistes et de travailleurs dans le secteur privé a dépassé les 15 milles en 2007, contre 7240 en 1991, c’est ce qui explique l’évolution dans le domaine de la présence de cliniques et de centres de soins privés, dont le nombre a atteint 115 en 2008, comme alternative à cause de la défaillance du secteur public.
Le rapport a estimé environ 44 % de médecins spécialistes et 34 % de médecins généralistes exercent dans le secteur privé et que ce taux augmente davantage.
El Khabar
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