@Charaf, il n'y a pas hors sujet. Tout est imbriqué. Un fait social n'existe pas en lui même mais comme produit de faits antérieurs à lui, et il devient à lui même produit efficient. On ne peut pas traiter la repentance comme une simple rondelle de saucisson. Elle est partie d'un long processus historique que très justement soulève Chicha; que l'on peut résumer par : les peuples des deux côtés de la Méditerranée ont eu des relations anciennes avec des destinées diverses et parfois divergentes, mais ils ont une solidarité de fait pour s'être apporté quelque chose. Faut faire l'inventaire. Dans l'histoire du Maroc, il y a continuité dans les fondamentaux d'Al Andaluz, en Algérie ils ont été plus atténués. De la présence française on peut noter l'émergence d'une frange importante d'une population éclairée nourrie des idéaux des Lumières du XVIII et qui a été maître d'oeuvre de l'Indépendance. A l'opposé il y a la permanence d'un islamisme radical rempart à l'Occidentalisation, et qui dépouillé du pouvoir gagné par les urnes, cherche à le gagner par les armes et la pression sur la société l'exemple du hijab et de la burqa est là pour le démontrer.
Au Maroc, il ya toujours eu un islamisme radical que les différentes dynasties ont su mettre au pas.
Il n'empêche qu'en Algérie, il y a ces deux tendances fortes que Boutef essaie de négocier au mieux. Mais sur le terrain avec le travail sur les masses je voudrais être certain qu'il ne perde pas de terrain.
La rependance dans tout celà ? En aucune manière elle ne peut précéder l'inventaire.
Au Maroc, il ya toujours eu un islamisme radical que les différentes dynasties ont su mettre au pas.
Il n'empêche qu'en Algérie, il y a ces deux tendances fortes que Boutef essaie de négocier au mieux. Mais sur le terrain avec le travail sur les masses je voudrais être certain qu'il ne perde pas de terrain.
La rependance dans tout celà ? En aucune manière elle ne peut précéder l'inventaire.

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