Le mouvement d’Ennahda a décidé de mené une action judiciaire contre la ministre de la culture, Khalida Toumi, après que cette dernière les a qualifiés de « fascistes », en réaction à leur critiques envers le PANAF.
Le député d’Ennahda, Mhamed Hadibi, a déclaré à El Khabar, que le groupe parlementaire tiendra, demain, une réunion pour mettre les dernières retouches sur les chefs d’inculpation contre la ministre Toumi.
La même source a ajouté que les chefs d’inculpation, comprend entre autres, « atteinte à l’état algérien, violation du devoir de réserve, atteinte au parlement, en étant une institution constitutionnelle et dommage moral à l'égard du peuple algérien, qui a choisi ses représentants pour défendre ses intérêts. »
Ennahda a engagé un panel de juristes, constitué d’avocats professeurs de droits, pour formuler ces chefs d’inculpation, avant de les déposer au niveau des autorités compétentes.
Pour rappel, de graves altercations ont été déclenchés entre la ministre de la culture et des députés d’Ennahda, après que ces derniers ont formulés une question écrite au parlement adressée à la ministre, « sur le sort du budget consacré pour le PANAF » qui s’est tenue du 5 au 20 juillet.
Les députés ont affirmés que la ministre les a qualifiés « d’intégristes », de «fascistes » de « néo nazis » et « d’anti culture ». Ils ont considéré de telles propos comme inacceptables de la part du la ministre, qui n’a pas appréciée les accusations d’avoir gaspillé de grandes sommes d’argent sur le PANAF.
El Khabar
Le député d’Ennahda, Mhamed Hadibi, a déclaré à El Khabar, que le groupe parlementaire tiendra, demain, une réunion pour mettre les dernières retouches sur les chefs d’inculpation contre la ministre Toumi.
La même source a ajouté que les chefs d’inculpation, comprend entre autres, « atteinte à l’état algérien, violation du devoir de réserve, atteinte au parlement, en étant une institution constitutionnelle et dommage moral à l'égard du peuple algérien, qui a choisi ses représentants pour défendre ses intérêts. »
Ennahda a engagé un panel de juristes, constitué d’avocats professeurs de droits, pour formuler ces chefs d’inculpation, avant de les déposer au niveau des autorités compétentes.
Pour rappel, de graves altercations ont été déclenchés entre la ministre de la culture et des députés d’Ennahda, après que ces derniers ont formulés une question écrite au parlement adressée à la ministre, « sur le sort du budget consacré pour le PANAF » qui s’est tenue du 5 au 20 juillet.
Les députés ont affirmés que la ministre les a qualifiés « d’intégristes », de «fascistes » de « néo nazis » et « d’anti culture ». Ils ont considéré de telles propos comme inacceptables de la part du la ministre, qui n’a pas appréciée les accusations d’avoir gaspillé de grandes sommes d’argent sur le PANAF.
El Khabar
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