La situation des intellos algériens me rappelle un poème rimbaldien,intitulé "Poème de la plus haute tour" :
Oisive jeunesse
à tout asservie
par délicatesse
j'ai perdu ma vie
o que le temps vienne
où les coeurs s'éprennent
je me suis dit : laisse
et qu'on ne te voie
et oublie la promesse
de la plus haute joie
que rien ne t'arrête
auguste retraite etc
A méditer Hiemsal
Oisive jeunesse
à tout asservie
par délicatesse
j'ai perdu ma vie
o que le temps vienne
où les coeurs s'éprennent
je me suis dit : laisse
et qu'on ne te voie
et oublie la promesse
de la plus haute joie
que rien ne t'arrête
auguste retraite etc
A méditer Hiemsal
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