un avis interessant que je partage avec vous
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Il faudrait savoir si réellement Ferhat est interdit de séjour en Algérie et là nous sommes en droit de nous demander comment un journal algérien peut publier librement ses propos. Alors que les journalistes sont sous haute surveillance. Il faut croire que les journaliste d’El Watan n’ont rien d’autre à faire ou ne peuvent pas aborder d’autres sujets.
Qu’est-ce qu’on en a à faire qu’il veuille rendre visite à sa mère "âgée". Une mère ne peut pas être plus jeune que son enfant. Donc la mère de Ferhat le messie ne peut pas être plus jeune que lui et il n’est plus ado depuis longtemps, même s’il en a le comportement !
Sinon qu’il aille voir qui il veut où il veut en quoi cela nous regarde ? on s’en tape. Son interview serait plus approprié sur un journal “pipeaule”. Oui vous avez bien lu, “pipeaule”, car tout cela c’est du pipeau.
Arrêtons ce délire, si Ferhat a envie d’aller voir sa mère il n’a qu’à aller lui rendre visite, là où elle est en Kabylie, puisqu’il est censé se dévouer corps et âme pour la Kabylie.
Quant aux réponses de Ferhat, qui ne semble pas savoir que Ben Ali a fait un coup d’Etat, en 1987, donc bien avant que Boutef ne soit propulsé président par les généraux. Il ne fait qu’accentuer le fait qu’il devrait se retirer de la politique. Selon ses déclarations Ben Ali serait le pantin dont Boutef tire les ficelles. Il y a de quoi rire ou pleurer… Ferhat se discrédite complètement en tenant de tels propos.
Sinon mis à part parler de lui, de ses affaires privées, qui ne nous regardent pas du tout. Que fait-il et qu’a-t-il fait pour la Kabylie ?
Rien, juste des "communiqués" ou "déclarations" pour se remettre sur le devant de la scène dans le but de se faire inviter afin de raconter encore et encore les mêmes choses en faisant du sur place. A force de piétiner au même endroit il creuse de plus en plus son mouvement en le vidant.
Les propos de Ferhat sont profonds dans le sens du creux et il n’est pas compréhensible qu’il aille donner rendez-vous à sa mère en Tunisie, il aurait pu aussi lui donner rendez-vous chez Khadafi, République aussi démocratique que la Tunisie. De plus son ami Belkacem Lounès, président des brobros et ami de Khadafi, lui aurait obtenu une tente pour le recevoir, lui et sa suite... ou alors chez le roi du Maroc, aussi démocrate que Khadafi, Ben Ali et Boutef, Belkacem Lounès y a aussi ses entrées.
Ferhat c’est MOIJE. Si réellement un “mandat d’amener”, était lancé à son encontre, la police tunisienne l’aurait conduit, illico presto manu militari vers les geôles algériennes. Les dictateurs se serrent les coudes et il n’aurait pas pu repartir librement, sur les soi-disant confidences d’un douanier. Le problème est que Ferhat est persuadé qu’il est tellement important qu’il risque de chambouler les rapports amicaux entre les dictateurs arabo-musulmans qui dirigent l’Afrique du Nord.
A quand une interview sur son programme ? car il a toujours librement circulé en Algérie, il a collé des affiches, organisé et participé à des marches, tenu des conférences dans des locaux administratifs algériens, sans être inquiété. Alors dès que l’on ne parle plus de lui, cela fait bobo à son égo aussi démesuré que le trou dans la couche d’ozone.
D’ailleurs Ferhat n’a jamais pris position clairement vis-à-vis de l’islam puisque selon ses dires cela fait parti des traditions kabyles, qu’il reproduit lors des festivités qu’il organise autour de sa famille. Les personnes qui ont du endurer l’imam qui a lu le Coran pendant le repas, lors du mariage de son fils, ne pourront pas nous dire le contraire. Je lui ai personnellement posé plusieurs fois la question il m’a toujours répondu « Ce n’est pas le moment d’en parler, cela fait parti des traditions ».
Issue d’une famille maraboutique (on ne choisit pas sa famille) je n’ai jamais eu à endurer d’imam qui traditionnellement va, dans un coin, lire la sourate niquah aux parents des mariés, sans l’imposer aux invités qui mangent ou dansent sans avoir à subir les coraneries arabuesques instaurées par l’Etat arabo-musulman.
Qu’inventera-t-il d’autre pour que la presse algérienne parle de lui ? Ira-t-il jusqu’à saboter sa voiture pour faire croire à un attentat ? Je vais m’arrêter là car je risque de lui donner des idées.
Sa jalousie morbide à l’égard de Matoub Lounès le poursuivra jusqu’à la fin de ses jours et il fait tout pour se mettre en avant de n’importe quelle manière par n’importe quel moyen, afin de le remplacer dans le cœur des Kabyles.
Il devrait commencer par faire corriger la profession inscrite sur son passeport en remplaçant « chanteur » par « dramaturge ». Un dramaturge qui joue seul ses scenarii en inventant au fil du temps des situations pour être la seule et unique vedette de situations ubuesques… Un chanteur qui ne peut plus piquer les chansons écrites par Mohia le dramaturge… Un chanteur qui a le culot de chanter, toute honte bue, pour commémorer l’assassinat de Lounès Matoub qu’il a tant critiqué, dénigré et trainer dans la boue de son vivant…
Par Sophie Lozoff
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Il faudrait savoir si réellement Ferhat est interdit de séjour en Algérie et là nous sommes en droit de nous demander comment un journal algérien peut publier librement ses propos. Alors que les journalistes sont sous haute surveillance. Il faut croire que les journaliste d’El Watan n’ont rien d’autre à faire ou ne peuvent pas aborder d’autres sujets.
Qu’est-ce qu’on en a à faire qu’il veuille rendre visite à sa mère "âgée". Une mère ne peut pas être plus jeune que son enfant. Donc la mère de Ferhat le messie ne peut pas être plus jeune que lui et il n’est plus ado depuis longtemps, même s’il en a le comportement !
Sinon qu’il aille voir qui il veut où il veut en quoi cela nous regarde ? on s’en tape. Son interview serait plus approprié sur un journal “pipeaule”. Oui vous avez bien lu, “pipeaule”, car tout cela c’est du pipeau.
Arrêtons ce délire, si Ferhat a envie d’aller voir sa mère il n’a qu’à aller lui rendre visite, là où elle est en Kabylie, puisqu’il est censé se dévouer corps et âme pour la Kabylie.
Quant aux réponses de Ferhat, qui ne semble pas savoir que Ben Ali a fait un coup d’Etat, en 1987, donc bien avant que Boutef ne soit propulsé président par les généraux. Il ne fait qu’accentuer le fait qu’il devrait se retirer de la politique. Selon ses déclarations Ben Ali serait le pantin dont Boutef tire les ficelles. Il y a de quoi rire ou pleurer… Ferhat se discrédite complètement en tenant de tels propos.
Sinon mis à part parler de lui, de ses affaires privées, qui ne nous regardent pas du tout. Que fait-il et qu’a-t-il fait pour la Kabylie ?
Rien, juste des "communiqués" ou "déclarations" pour se remettre sur le devant de la scène dans le but de se faire inviter afin de raconter encore et encore les mêmes choses en faisant du sur place. A force de piétiner au même endroit il creuse de plus en plus son mouvement en le vidant.
Les propos de Ferhat sont profonds dans le sens du creux et il n’est pas compréhensible qu’il aille donner rendez-vous à sa mère en Tunisie, il aurait pu aussi lui donner rendez-vous chez Khadafi, République aussi démocratique que la Tunisie. De plus son ami Belkacem Lounès, président des brobros et ami de Khadafi, lui aurait obtenu une tente pour le recevoir, lui et sa suite... ou alors chez le roi du Maroc, aussi démocrate que Khadafi, Ben Ali et Boutef, Belkacem Lounès y a aussi ses entrées.
Ferhat c’est MOIJE. Si réellement un “mandat d’amener”, était lancé à son encontre, la police tunisienne l’aurait conduit, illico presto manu militari vers les geôles algériennes. Les dictateurs se serrent les coudes et il n’aurait pas pu repartir librement, sur les soi-disant confidences d’un douanier. Le problème est que Ferhat est persuadé qu’il est tellement important qu’il risque de chambouler les rapports amicaux entre les dictateurs arabo-musulmans qui dirigent l’Afrique du Nord.
A quand une interview sur son programme ? car il a toujours librement circulé en Algérie, il a collé des affiches, organisé et participé à des marches, tenu des conférences dans des locaux administratifs algériens, sans être inquiété. Alors dès que l’on ne parle plus de lui, cela fait bobo à son égo aussi démesuré que le trou dans la couche d’ozone.
D’ailleurs Ferhat n’a jamais pris position clairement vis-à-vis de l’islam puisque selon ses dires cela fait parti des traditions kabyles, qu’il reproduit lors des festivités qu’il organise autour de sa famille. Les personnes qui ont du endurer l’imam qui a lu le Coran pendant le repas, lors du mariage de son fils, ne pourront pas nous dire le contraire. Je lui ai personnellement posé plusieurs fois la question il m’a toujours répondu « Ce n’est pas le moment d’en parler, cela fait parti des traditions ».
Issue d’une famille maraboutique (on ne choisit pas sa famille) je n’ai jamais eu à endurer d’imam qui traditionnellement va, dans un coin, lire la sourate niquah aux parents des mariés, sans l’imposer aux invités qui mangent ou dansent sans avoir à subir les coraneries arabuesques instaurées par l’Etat arabo-musulman.
Qu’inventera-t-il d’autre pour que la presse algérienne parle de lui ? Ira-t-il jusqu’à saboter sa voiture pour faire croire à un attentat ? Je vais m’arrêter là car je risque de lui donner des idées.
Sa jalousie morbide à l’égard de Matoub Lounès le poursuivra jusqu’à la fin de ses jours et il fait tout pour se mettre en avant de n’importe quelle manière par n’importe quel moyen, afin de le remplacer dans le cœur des Kabyles.
Il devrait commencer par faire corriger la profession inscrite sur son passeport en remplaçant « chanteur » par « dramaturge ». Un dramaturge qui joue seul ses scenarii en inventant au fil du temps des situations pour être la seule et unique vedette de situations ubuesques… Un chanteur qui ne peut plus piquer les chansons écrites par Mohia le dramaturge… Un chanteur qui a le culot de chanter, toute honte bue, pour commémorer l’assassinat de Lounès Matoub qu’il a tant critiqué, dénigré et trainer dans la boue de son vivant…
Par Sophie Lozoff
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