Ne pas partager les opinions d'un homme (dont au fond, on ne connaît pas grand chose), juger de façons critiques ses choix et son parcours est une chose mais ce n'est pas très élégant de se réjouir de sa mort et de rire de la douleur d'une famille.
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Larbi Belkheir est mort
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nostravostra
Il porte à son débit la mort de plus de 200000 innocents
quant à belkheir il a passé toute sa vie à casser du jeune intello. il vivait dans un monde fait de réunions, de commissions, de comité central, de téléphone trois chiffres, de coups bas, de bons d'essences, de lots de terrains, de biens vacants... il baignait dans ces symboles d'injustice sociale.
Oser destituer et placer des présidents avec des procédés flous c'est une grande responsabilité devant Dieu. Il est en grande partie responsable du sous développement économique et social de notre pays puisque c'est lui qui tenait les ficelles dans l'ombre. Je ne sais pas s'il en était conscient.
Certains disent qu'il travaille pour les services d'espionnages français et qu'il appartient à une promotion de militaires appelée lacoste dont le but est de semer la discorde et toute sorte de d'incohérences dans la machine étatique algérienne pour en faire la risée du monde entier. cet objectif est largement atteint et même dépassé, on nage en plein délire. Lacoste a gagné et belkheir n'a rien gagné car il est au fond du trou.
tout change rien ne dure longtemps les fameuses mercedes 500 noires de la présidence symbole de pouvoir sont des épaves aujourd'hui. quand la mort va frapper il vaut mieux etre du bon coté. celui du peuple en faisant un bon travail et servir humblement le pays. j'espère que c'est une leçon pour ceux qui se cachent juste en dessous de bouteflika et qui empechent le pays d'avancer.
Allah yarham Houari Boumédienne
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Désolé pour sa famille de ne pouvoir sortir la célébre formule de circonstance, ça ne sort pas.
par ailleurs, tout ce que je souhaite, c que la clique au pouvoir, aussi bien celle qui tire les ficelles dans l'ombre que celle a visage découvert médite sur le sort reservé a tous les tyranneaux.أصبحنا أمة طاردة للعلماء مطبلة للزعماء
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ben et le prizidane ????? il te suffit pas ? tu en veut peut etre plus lol hihihi non mais serieusement mis a part l'education qui m'oblige a dire in lillah ou ina ilayhi radji3oun je n ai rien a rajouter sur ce monsieur ni eloge ni autre chosePARLER EST UN BESOIN,ECOUTER EST UN ART.
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il part avec beaucoup de secrets mais je pense qu il a laisse quelques petites fiches embarrassantes pour la caste qui l a trahie
attendez vous a de nouvelles "bombes"The truth is incontrovertible, malice may attack it, ignorance may deride it, but in the end; there it is.” Winston Churchill
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Bonsoir
Le grand chambellan", "le cardinal de Frenda", "le parrain" ou "l'imam caché...". Il n'a pas manqué de surnoms pour évoquer la toute-puissance du général Larbi Belkheir dans le système algérien. Même "exilé" à partir d'août 2005 à l'ambassade d'Algérie à Rabat, où il s'ennuyait, Larbi Belkheir restait - plutôt à tort qu'à raison - crédité d'une grande influence dans les jeux opaques du pouvoir algérien
Il avait été un "DAF", un de ces déserteurs de l'armée française qui avaient rejoint l'Armée de libération nationale (ALN, bras armé du FLN) à Tunis entre 1958 et 1961 et qui se retrouveront ultérieurement, par les effets de l'âge et de l'avancement, aux commandes de l'armée algérienne.
En Algérie, il est de tradition d'opposer un pouvoir réel, non visible, à un pouvoir formel incarné par le gouvernement. Larbi Belkheir a longtemps été un homme du pouvoir réel, et même le chef du "cabinet noir", selon la formule en usage chez les opposants en Algérie. Celui qui aimait se présenter comme un "serviteur de l'Etat" aura bien été au coeur du fameux "système" algérien entre 1979 et 2005.
Né en 1938 à Frenda, dans l'Ouest algérien, Larbi Belkheir obtient le grade de sous-lieutenant dans les rangs de l'armée française. Il rejoint l'ALN en 1961. Ce fils de caïd de Tiaret a fait sa carrière politico-militaire dans l'ombre du colonel Chadli Bendjedid, qui sera désigné en 1979 par l'armée algérienne comme successeur de Houari Boumediène à la tête de l'Etat. Le "conclave" de l'armée qui a pris cette décision s'étant tenu à l'Enita (Ecole nationale des ingénieurs et techniciens d'Algérie), dont Larbi Belkheir était alors le commandant, l'épisode lui vaudra la réputation de faire partie du cercle restreint des faiseurs de président.
Quand Chadli Bendjedid arrive au pouvoir, Larbi Belkheir est élevé au grade de colonel et dirige le Haut Conseil de défense. Il devient secrétaire général de la présidence, puis directeur de cabinet du président. Il est l'éminence grise du régime durant toute cette période.
De cette époque naît l'image de l'homme de l'ombre qui tire toutes les ficelles, prend toutes les décisions, procède à toutes les nominations au sein du système. En septembre 1991, à l'approche des élections législatives, il prend le poste de ministre de l'intérieur dans le gouvernement de Sid Ahmed Ghozali. A ce titre, il lui revient d'annoncer, le teint livide, le raz-de-marée du Front islamique du salut (FIS) au premier tour des élections législatives du 26 décembre 1991.
Dans les jours qui suivent, Larbi Belkheir fait partie des généraux "janviéristes" qui poussent Chadli Bendjedid à la démission pour créer une situation de vide institutionnel, et justifier ainsi l'interruption du processus électoral.
L'Algérie bascule dans la violence. Larbi Belkheir est encore ministre de l'intérieur quand, le 29 juin 1992, Mohamed Boudiaf, devenu président du Haut Comité d'Etat, est assassiné par un sous-lieutenant du Groupe d'intervention spécial (GIS).
Larbi Belkheir se retire pour se consacrer à ses affaires. Une simple minoterie pour laquelle il a, dit-il, contracté un emprunt auprès de la banque saoudienne Al Baraka. Les Algériens n'en croient rien, pas plus qu'ils ne croient que les généraux à la retraite demeurent oisifs.
En 1999, Larbi Belkheir confirme qu'il est toujours actif. C'est lui qui promeut la candidature d'Abdelaziz Bouteflika à ses pairs généraux. Et devient directeur de cabinet du nouveau président ; il sert de tampon entre le nouvel élu et l'armée. Mais les choses se passent mal. Larbi Belkheir ne s'entend pas avec Said Bouteflika, le frère du président, et tombe vite en disgrâce.
"Exilé" dans son poste marocain, se sentant inutile, Larbi Belkheir se morfond. Malade des poumons, il finira par rentrer à Alger, mais seulement pour y mourir.
http://www.lemonde.fr/carnet/article...8579_3382.html
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Larbi Belkheir est mortKindness is the only language that the deaf can hear and the blind can see - Mark Twain
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il s'agit d'un monstre qui s'est enrichi sur le dos des necessiteux.
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