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L'Algérie veut tourner la page des années noires

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  • #31
    Et pour la plupart, ils ont une peur bleue du makhzen ! Et je sais ce que je dit !
    Bof de la science fi, je ne te crois pas. T'es sur que c'est des marocains a qui tu parles?

    Leur Roi qui s'est accaparé à vie toutes les richesses des Marocains avec une toute petite minorité de privilégiés reniant à la majorité ses droits les plus élémentaires.
    Du blabla d'une chanson connue.

    Mais, toute discussion avec ces forumeurs marocains n'est plus rationnelle. C'est de la pure perte de temps !
    C'est a l'image de l'ingerence irrationnelle de l'algerie dans les affaires du Maroc. Une fois l'Algerie ne se mele plus des affaires de son voisin de l'Ouest je parie avec toi que tu ne verras des marocains si jamais ici ne discuter que du foot et de la musique. Et j'en serais le premier.

    Mais question a toi, c'est quoi cette haine de blabla compare a celle réelle et devastatrice d'heberger et d'armer toute une guerrilla contre son voisin?

    C'est quoi cette haine de clavier comparée a celle d'exproprier et de mettre a la frontiere violement 45000 d'ames innocentes, un jour de l'Aid en plus?

    Tu veux une liste de haines, reelles qui ont detruits la region? Tu devrais en avoir celle qui a ravage ton pays meme, de l'interieur et continue de le faire. Alors de grace ouvre un peu tes yeux!!

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    • #32
      "J'ai lu le livre de Perrault et je ne me souviens nullement que Ben Barka traitait Hassan II de pas intelligent. tu peux citer un passage, dire le nr d'une page?" (deser rose)

      J'en prends acte et te promets de te signifier le numéro de la page où le cas de l'handicap intellectuel de feu Hassan II fut relaté par son professeur de mathématiques.
      ____________________________

      Comment en est-on arrivés là ? D’abord, il faut revenir sur la décennie 90. Celle-ci avait commencé avec deux coups de tonnerre et un séisme. Les deux coups de tonnerre sont d’un côté la sortie du livre de Gilles Perrault, «Notre Ami Le Roi», et surtout le refus en 1992 du Parlement européen de valider l’aide destinée au Maroc pour raison de violations des droits de l’Homme. Le séisme, c’est bien évidemment la chute du mur de Berlin et la fin officielle de la guerre froide. Les deux premiers événements avaient mis à nu les travers du régime de Hassan II au moment où le troisième lui enlevait sa “protection”. Hassan II ne pouvait plus se prévaloir de son combat contre les rouges pour faire oublier son mode de gouvernance. Sur le plan économique, le point d’inflexion a sans doute été la crise financière de 1983 qui allait obliger le Maroc à faire de la place à une véritable classe des affaires et aussi aller vers plus de transparence économique. Hassan II avait compris que la survie de la dynastie alaouite passait par une libéralisation politique.

      Une libéralisation qu’il fera évidemment tout pour maîtriser : multiplication des réformes, loi bancaire, loi sur les marchés financiers, loi comptable en sont des exemples. Les dérapages, et même pire, ne manqueront pas. La campagne d’assainissement, bien sûr, et puis aussi des deals pas toujours très clairs comme l’a montré l’affaire Lydec. Paradoxalement, ces affaires vont permettre au patronat de s’affirmer. C’est dans son combat dans l’affaire Lydec, et surtout contre l’administration Basri que la communauté des affaires gagnera ses galons d’interlocuteur crédible. Hassan II permettra ce nouveau statut.

      Source: Le journal-Hebdo.

      Par Aboubakr Jamaï,
      Fédoua tounassi
      & Amélie Amilhou

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      • #33
        reste dans Gilles Perrault et "Notre Ami le Roi" écrit en 1988 , Ben barka Hassan II, urss, Mur de Berlin...

        Reste dans tes rêves, si ça peut te réconforter.

        En aparté, ils critiquent ouvertement leur roi. Et pour la plupart, ils ont une peur bleue du makhzen ! Et je sais ce que je dit !
        La preuve que tu mens est qu'un marocain n'ira jamais critiquer son roi devant "el barrani" l'étranger, et ça ca exacerbe énormément nos amis algériens.

        Entre nous, on parle du roi comme de n'importe quel dirigeant, on l'analyse et anticipent ses décision, traitons des rumeurs a son endroit...

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        • #34
          on l'analyse et anticipent ses décision,
          Les sondages d'opinion à son égard en sont témoins !

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