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Les assassinats politiques en Algérie

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  • #76
    La construction du Maghreb

    Il convient ici d’insister sur le caractère prioritaire que revêtait aux yeux de HB la construction du Maghreb. Mais dans l’esprit de HB, il s’agissait de construire le Maghreb des peuples, celui des Etats n’ayant jamais suscité son engouement parce qu’il avait la conviction que les gouvernants maghrébins n’incarnaient pas suffisamment les aspirations de leurs peuples. L’affaire du Sahara occidental met en cause le principe du droit des peuples à disposer d’eux-mêmes. Mais était- il impératif de sacrifier la construction du Maghreb (autre nécessité historique) sur l’autel de la légitime libération du peuple sahraoui du joug colonial, alors qu’ aux yeux de Rabat, ce peuple eût pu trouver son polygone de sustentation dans un ensemble maroco-sahraoui puissant, viable et proche de l’Algérie? Toujours est-il que HB s’inquiète des visées expansionnistes du roi Hassan II, pourtant prêt à permettre à l’Algérie d’avoir un accès direct sur l’océan Atlantique. Mais HB estimait qu’il était normal qu’au regard de la tragédie de son passé, des sacrifices consentis pour son indépendance, de l’immensité de son territoire et de la richesse de ses ressources humaines, l’Algérie s’érigeât, peu à peu, en puissance régionale et même qu’elle se préparât à prendre le relais du Caire, comme directeur de conscience du monde arabe. Toutefois, en 1978, HB éprouve le besoin de transcender le contexte géostratégique du conflit qui relève, selon lui, de l’affrontement Est- Ouest, pour lui conférer un caractère strictement sous-régional, sinon même bilatéral. HB qui constitue un authentique non-aligné comme cela ressort de la doctrine qu’il a lui-même élaborée, en septembre 1973, à Alger, n’entend pas être l’otage de quelque grande puissance que ce soit. De son côté, le roi Hassan II, qui estime avoir soldé toute forme de contentieux avec Alger est plein de bienveillance pour notre pays dont il recherche le soutien. HB envisage alors d’entamer des négociations sérieuses avec le monarque chérifien, par l’entremise du conseiller de Hassan II, Ahmed Réda Guédira (confident du roi depuis alors plus de 20 ans). HB n’avait pas encore désigné son représentant, mais tout donne à penser que cette tâche allait revenir naturellement à Ahmed Taleb Ibrahimi qui connaissait parfaitement le dossier. Hélas pour le Maghreb, ce projet se trouvait encore dans les limbes lorsque HB tombe malade.

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    • #77
      Les relations algéro-françaises

      Eu égard à ce que fut la colonisation et aux circonstances dans lesquelles l’Algérie s’est séparée de la France, il était inévitable que les relations algéro-francaises, au lendemain de 1962, fussent très marquées par ce double contentieux historique. Leur normalisation s’est toujours heurtée à la résistance, ici du courant islamo-conservateur qui a toujours été influent, là aux groupes sociaux français nostalgiques de l’époque coloniale. La visite d’Etat effectuée, en avril 1975, par le président Giscard d’Estaing suivie par la visite en février 1976 de F. Mitterrand, alors 1er secrétaire du PS, témoignait de la volonté de HB de tourner définitivement la page du passé tumultueux des relations algéro-francaises, voire même de le solder. HB ne cessait de rappeler dans ses discours que l’Algérie comptait de nombreux amis en France (peut-être visait -il la gauche en particulier?) et que les relations algéro-francaises avaient vocation à se développer et à se densifier à travers la multiplication des échanges et des contacts. Il ne lui serait certainement pas venu à l’esprit de subordonner la relance des relations bilatérales à quelque repentance que ce soit, bien qu’il fût un nationaliste ombrageux. Ceci pour deux raisons: d’abord, il n’a jamais été quémandeur de rien vis-à-vis de qui que ce soit, trop fier pour solliciter la conscience des autres. Ensuite, il était pénétré de la certitude qu’en donnant lui-même une prime au renouveau des relations algéro-francaises, le temps viendrait où la totalité des historiens et plus tard des politiques français eux -mêmes admettraient que la période coloniale fut non seulement une succession de violences faites aux Algériens mais que les prétendus apports positifs de la colonisation (routes, barrages, écoles, ponts, hôpitaux, services publics,etc.) avaient été conçus en faveur de la minorité européenne, même si certaines catégories d’Algériens, au travers des luttes sociales, avaient pu arracher certains droits.

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      • #78
        Pour un nouvel ordre économique international

        C’est le président HB qui va concevoir et élaborer la doctrine du Nouvel ordre économique international. Si l’ancien président algérien mérite bien le qualificatif de visionnaire, c’est à propos du Noei. On peut encore aller plus outre et considérer que HB est le père fondateur du courant altermondialiste le plus constructif, celui qui inspire actuellement à certains Etats capitalistes quelques révisons déchirantes. C’est en 1974, c’est-à-dire 33 ans avant la fameuse crise des prêts hypothécaires consentis par les banques US à des emprunteurs impécunieux, que HB avait mis à nu les incohérences et les contradictions du système capitaliste dans sa prétention à aller toujours plus loin dans sa logique libérale et déclinait même le modus operandi d’une refondation des relations économiques internationales qui serait basée sur une meilleure régulation des flux économiques et financiers. Le discours prononcé par HB, lors de la session des NU, d’avril 1974 sur les matières premières, est un modèle du genre. Ce texte devrait être distribué à tous les élèves des sciences sociales du monde pour qu’ils puissent méditer sur la vision prémonitoire de HB de l’évolution des relations internationales et se poser la question suivante: s’il y avait eu une volonté politique à cette époque de concrétiser certaines seulement des recommandations de HB, le système économique mondial serait-il aussi désordonné qu’aujourd’hui? Le président HB n’avait-il pas eu raison trop tôt? (V. surtout l’analyse prophétique du Doyen A. Mahiou au Colloque d’Alger d’Octobre 1976 sur le Noei).

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        • #79
          L’aggiornamento d’avril 1977 et la place de l’Algérie dans le monde

          Il y a en réalité deux HB: le HB de la période 1965-1977 et le HB qui entame, à partir d’avril 1977 jusqu’à sa maladie, un impressionnant aggiornamento de sa politique destiné à permettre à l’Algérie de tenir son rang et sa place dans le monde, de façon à pouvoir continuer à peser sur un certain nombre de sujets. Douze ans après avoir engagé le pays dans un modèle de développement dont l’Etat était le principal agent d’impulsion, HB décide, en avril 1977, que le moment est venu de changer de cap. Pour ne prendre que l’exemple de la stratégie de développement des industries industrialisantes, HB ne peut que prendre acte que la rareté d’une main-d’oeuvre qualifiée, le niveau élevé des coûts d’acquisition des investissements et l’effet d’éviction des autres activités économiques et sociales (logements, équipements sociaux, couverture sanitaire, infrastructures socioculturelles, etc.) ont conduit à une impasse. Par ailleurs, la révolution agraire ne peut accéder à un niveau supérieur de son développement que si les fellahs y adhèrent ainsi que les appareils politico-administratifs en charge de son application. Quant à la généralisation de l’utilisation de la langue arabe (qui s’accomplit au détriment des langues étrangères), elle ne peut que faire obstacle à l’émergence d’une élite intellectuelle capable d’assimiler l’évolution sans cesse plus rapide des techniques et de la connaissance. Pour autant, ni la stratégie d’industrialisation par substitution aux importations ni celle de la valorisation des exportations, pourtant expérimentée avec un certain succès mais aussi des faiblesses évidentes par la Corée du Sud, Hong-Kong et le Brésil ne trouveront grâce à ses yeux Sa prédilection semble vouloir aller à une stratégie de développement endogène qui mettrait en tête de ses priorités la satisfaction du marché intérieur, une industrialisation maîtrisée (grâce à l’utilisation de technologies appropriées) et le développement de l’agriculture. Mais une année et demie seulement après son lancement, le président H.Boumediene décède sans qu’une évaluation objective de la fiabilité de cette nouvelle politique ait pu être établie. Ses successeurs entretiendront, quelque temps, dans l’opinion publique, l’illusion qu’un modèle de développement endogène serait le mieux adapté aux structures économiques et sociales du pays (Cf. Congrès extraordinaire du FLN des 15-19 juin 1980) mais très rapidement, devait prévaloir le pilotage à vue de l’économie qui s’étendra jusqu’à l’ajustement structurel imposé par le FMI à notre pays en 1994-1995. HB a cherché à faire jouer à l’Algérie un rôle international important qui était à la mesure de son histoire, des sacrifices consentis par sa population pour son indépendance et de la place géostratégique objective qu’elle avait vocation à exercer. Toutefois, cette conception n’était pas exempte de certaines illusions ni d’une sorte de pari pascalien sur l’unité du monde arabe. Elle n’en était pas moins farouchement attachée à l’indépendance nationale et à la volonté de valoriser les ressources humaines et matérielles du pays pour la prospérité du peuple algérien.

          (*) Professeur d’Université
          [email protected]

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          • #80
            il ya que chez nous q'on aime les dictateur racistes .en aime sadame avec les kurdes et boumedienne avec les kabyles ..

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            • #81
              voila une preuve qui démontre que boumediene est un malade montal
              :22:
              http://www.youtube.com/watch?v=iRANIbAjRLQ
              oui tu as raison moi j'ai l'occasion d'avoir une cassette simple j'ai voulu l'écouter au cour d'une réunion du conseil de la révolution je t'assure tellement qu'il dit des grossiertés en s'adressant aux membres du conseil seul je n'ai pu continué a l'écouté des mots de rue et de voyous au sens propre du mot
              donc pour la vidéo que tu as posté rien ne m'étonne de lui son image actuel el guedaffi
              Dernière modification par le sage, 13 septembre 2010, 16h18.

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              • #82
                il ya que chez nous q'on aime les dictateur racistes .en aime sadame avec les kurdes et boumedienne avec les kabyles ..
                on ne pourra jamais aimé un criminel celui qui aime un criminel il lui ressemble et peut etre plus pire que lui

                Commentaire


                • #83
                  voila un autre extrait des crimes depuis 1965

                  19 juin 1965 : Coup d'Etat du colonel Boukharouba contre Ben Bella. Certains citoyens se hasardent à manifester dans l'Est Algérien : 40 morts. Ben Bella sera séquestré durant 14 années sans jugement. On ne lui permettra même pas d'assister à l'enterrement de sa vieille mère.
                  15 mars 1966 : Vaste campagne de répression contre les militants et sympathisants du FFS. Des dizaines de citoyens seront arrêtés et torturés par la sécurité militaire.
                  Octobre 1966 : Nombreuses arrestations au sein de l'organisation des étudiants (UNEA) dominée par le PAGS.
                  4 janvier 1967 : Mohamed Khider, membre fondateur du FLN est assassiné par la sinistre police politique à Madrid. Hocine Aït Ahmed désigne un certain Youcef Dakhmouche, comme étant le tueur .
                  14 décembre 1967 : Tentative de coup d'Etat du colonel Zbiri contre le colonel Boukharouba. De violents accrochages ont lieu à El Affroun. Des Migs pilotés par des soviétiques bombardent les colonnes blindées des putschistes. Près d'un millier de morts dont de très nombreux civils. Ceux qui dirigeaient les troupes du colonel Boukharouba ne seraient autres que d'anciens sous-officiers déserteurs de l'armée française, selon Tahar Z'biri.
                  16 décembre 1967 : Le colonel Saïd Abid est "suicidé " dans son quartier général de Blida. Des rumeurs font état de son élimination par deux ex-sous-officiers de l'armée française.
                  Janvier 1968 : Le colonel Abbés meurt mystérieusement sur la route Cherchell-Alger. Des rumeurs font état de sa liquidation suite au coup d'Etat manqué de Zbiri.
                  27 avril 1968 : Tentative d'assassinat du colonel Boukharouba au palais du gouvernement. L'attentat est perpétré par d'anciens compagnons du colonel Zbiri.
                  7 avril 1969 : La Cour "révolutionnaire " d'Oran (tribunal d'exception) condamne à mort par contumace, Krim Belkacem, membre fondateur du FL N.
                  18 octobre 1970 : Krim Belkacem, membre fondateur du FLN est étranglé dans un hôtel de Francfort (Allemagne) par des tueurs à gage de la sinistre police politique d'Alger. Aït Ahmed cite parmi les tueurs un certain commandant H'mida Aït Mesbah, chef du service opérationnel de la SM.
                  1971 : Youcef Dakhmouche, ancien membre du MALG, impliqué par certains opposants politiques dans l'assassinat de Mohamed Khider à Madrid est arrêté et emprisonné à El Harrach par la SM. Il sera porté "disparu " depuis cette date.
                  Juin 1974 : Affrontements entre gendarmes et population à Larbaâ Nath Irathen, suite à l'interdiction de chanteurs kabyles de se produire sur scène : 3 morts.
                  25 décembre 1975 : une machination orchestrée par la police politique (affaire des bombes d'El Moudjahid) aboutira à l'arrestation d'opposants au pouvoir. Parmi eux se trouvaient Medjeber Mohamed Ousmaïl et Mohamed Haroun, fils de martyr de la guerre de libération. Ils seront accusés d'activités "berbéristes " et subiront les affres de la torture. Medjeber et Haroun seront condamnés le 4 mars 1976 par la Cours de sûreté de l'Etat (tribunal d'exception) respectivement à la peine capitale et à la réclusion perpétuelle. Ils seront incarcérés à la prison de Lambèse. Mohamed Haroun sera soumis à un "traitement psychiatrique ". Ils seront graciés en 1987 et 1988.
                  Janvier 1976 : Ouarab Madjid, militant pour la culture Amazigh est kidnappé par des éléments de la sécurité militaire. Il sera porté disparu jusqu'en 1977, où son cadavre, en état de décomposition avancée sera découvert.
                  10 mars 1976 : Ferhat Abbas, Benyoucef Benkhedda, Hocine Lahouel et Mohamed Kheireddine sont mis en résidence surveillée et leurs biens confisqués par le colonel Boukharouba pour avoir publié un manifeste dénonçant le pouvoir personnel et les risques de guerre fratricide avec les marocains. Ils y resteront jusqu'au 13 juin 1977.
                  Juillet 1976 : Plus d'une centaine de jeunes citoyens de la région de Larbaâ Nath Irathen sont arrêtés suite à la découverte de textes sur la culture Amazigh.
                  Décembre 1978 : la sécurité militaire infiltre et pilote un parachutage d'armes organisé par des opposants (Benyahia) en Kabylie (affaire du Cap Sigli). De nombreux opposants seront arrêtés et torturés.

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                  • #84
                    houari BOUMEDIENNE .Lorsqu´il lui arrivait de se rendre à l´étranger, il s´interdisait tout aussi bien les achats luxueux. Contrairement à certains chefs d´État d´autres pays arabes, il ne s´était pas fait construire ni un ni plusieurs palais luxueux, ni en Algérie ni à l´étranger. Sachant que je connaissais bien les pays du Golfe où j´avais effectué de nombreux reportages, il m´avait raconté qu´un des émirs lui avait offert une de ces voitures rutilantes et luxueuses qu´il avait aussitôt fait parquer dans un garage. Son chauffeur me l´avait montrée. Après sa mort, elle était toujours sur cales, inutilisée...A sa mort, ses détracteurs ont découvert, avec étonnement, qu´il ne détenait aucun patrimoine immobilier, aucune fortune personnelle et que son compte courant postal était approvisionné à hauteur, seulement, de 6000 dinars...Il était très réticent à évoquer sa vie privée. Je sais toutefois qu´il était très attaché à sa mère et lui donnait pour vivre une partie de son salaire.

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                    • #85
                      KATIARAT

                      "voila une preuve qui démontre que boumediene est un malade montal"

                      Rien de grave,feu BOUMEDIENNE est Zouaoui,c'est entre amazighe faut pas déranger.

                      chemic19

                      "je me demade alors,pourquoi le peuple (la majorité ) l'aimait et l'aime toujours . "

                      Pour ceux qui en doute,ils n'ont qu"a se remémorer le jour de ses funérail

                      Nasser boudiaf veux en faire un terroriste, pourquoi donc? Pour son soutien a l'ANC de l'Afrique du sud? l'Angola, L' OLP dés 1965,pour l'embargo sur le pétrole en 1973, qu'ils a initié avec feu le roi FAYCAL? la liste et longue

                      Nasser Boudiaf est'il au courant que feU BOUMEDIENNE a recu en 1976 la medaille de la paix,décernée par l'ONU ?( ex accords de pais entre l'IRAK ei l'IRAN) qu'il est est le premier a avoir soulever l'idée d'un nouveau ordre mondial?

                      C'est sur BOUMEDIENNE dérangait certain,et qui 30 aprés sa mort revent toujour d'une revanche
                      "Les petits esprits parlent des gens, les esprits moyens parlent des événements, les grands esprits parlent des idées, et les esprits supérieurs agissent en silence."

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                      • #86
                        Un homme ..une legende

                        27 décembre 1978, le destin de l´Algérie bascule, une fois de plus. Le président Boumediène décède. Ce fut véritablement un choc bien que l´opinion fut préparée à cette douloureuse issue. Qui était Houari Boumediène qui fascine tant les jeunes et moins jeunes? Certains retiennent le fameux "Kararna ta´emime el mahroukate": "Nous avons décidé la nationalisation des hydrocarbures". Par cette phrase, Boumediène annonçait à la face du monde que l´Algérie tenait en main son destin énergétique. Est-ce ce leader qui, pour la première fois, à la tribune des Nations unies, militait pour un Nouvel ordre économique international plus juste, où les matières premières seraient payées à un prix juste? Mohammed Boukharouba, qui prendra le nom de Houari Boumediène, a vu le jour à Aïn Hasseïnia, près de Guelma le 23 août 1932. Né dans une famille de paysans pauvres, il symbolise par sa naissance la pluralité de l´Algérie dans sa double composante identitaire: son père était arabophone et sa mère berbérophone. Il incarnait ainsi, vraiment, l´Algérie dans sa diversité.

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                        • #87
                          c'est normal que les suceurs de sang l'aime rien a voir la liste des anciens faux moudjahid et faux fils de chahid

                          qui est fausse a 90% parole du président actuel lors de ça premiere campagne électoral pour la présidence et a promis d'apuré cette liste une fois élu et jusqu'a ce jour rien n'a était fait et dernièrement soit disans qu'il vont demandé a tout ceux qui ont falsifiée leurs documents doivent rembourssé tout ce qui leur a était remis --- et ce qui sont mort il va les trouvé au cimetière pour le rembourssement

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                          • #88
                            pour ceux qui disent qu'on était mieux dans les année 70 que maintenant .je dit que bouteflika était l'élève préférer de boumedienne .

                            Commentaire


                            • #89
                              pour ceux qui disent qu'on était mieux dans les année 70 que maintenant .je dit que bouteflika était l'élève préférer de boumedienne .
                              c'est sont cousin et son protéger pendant la révolution et aprés la révolution

                              Commentaire


                              • #90
                                une chose est certaine on peut caché tout sauf les larmes et l'histoire

                                pour le moment l'histoire dit que c'est un criminel

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