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De l'Emigration en général & de la France en particulier

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  • #46
    ... Cette partie de ton post, Harrachi, constitue, à mes yeux le summum de l'INTOLERANCE, du rejet de l'autre (parce que soit-disant argumenté) ...
    J'avoue ne pas trop voir le lien entre ce qui est écrit là et les faubourgs les plus lointains de l'idée d'intolérance. Mais peut-être que tes yeux ont une grille de lecture particulières que les miens ne peuvent comprendre.

    Je réserve donc toute réponse à ce passage, en attendant que tu soit plus explicite dans ce que tu affirmes là.

    Pour rappel, voici le passage qui, selon toi, illustrerais le sommum de l'intolérance (au majuscule) chez-moi (sic) :

    Poste de Harrachi78 :
    Cela m'amène donc au poste d'AMBRINE (#11) pour dire que, il ne s'agit pas (dans mon esprit du moins) de débattre de l'algérianité (ou de son degrés) chez telle ou telle population portant des papiers algériens, mais de savoir si oui ou non on peux considérer qu'il existe des "catégories"ou "groupes" spécifiques d'algériens ça et là, des groupes dont les moeurs ou les fonctionnement n'est pas (ou n'est plus) tout à fait identique à la forme d'évolution aujou'dhui en vigueur au sein de la société algérienne d'Algérie.
    "L'armée ne doit être que le bras de la nation, jamais sa tête" [Pio Baroja, L'apprenti conspirateur, 1913]

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    • #47
      ... Ben si, elle soulève des réactions, il faut sortir un peu de sa région et de son pays pour en faire les frais ...

      Peut-être suis-je sorti un peu de ma région avant de me permettre de parler ? N'as-tu pas considéré cette possibilité toi ?

      ... imagine si tu cumules les "handicaps" ("beur" + "bekbek" + autre paramètre) ...

      Selon les normes d'ici, ces choses ne s'accumulent pas, car la notion de bekbek n'est d'usage que dans le contexte d'ici, et c'est pour cela qu'un bledard est un bledard dans le contexte de là-bas, qu'il soit d'Alger ou de Tin-Zaouatine.
      C'est tout à fait possible ... un "Beur" dont les parents viennent d'un bed paumé du bled fait la connaissance d'une "blédarde" d'Alger.

      Cela prouve d'ailleurs la normalité de la situation que l'on veux faire passer pour dramatique, dans la mesure ou l'on ne partage déja pas cette distinction régionaliste prononçée, encore si puissante en Algérie mais déja peu voyante chez les "Français d'Algérie".
      Fais attention à ce que tu écris, les mots ont un sens.


      ... je constate de plus en plus que le peuple algérien n'est même TOLERANT vis-à-vis de lui-même, comment pourrait-il l'être avec "l'autre" ? ...

      Je pense que cela ne relèvepas vraiment du sujet ici traité, ou du moins que carisque d ele dévierrapidement vers un sentier qui n'a pas été prévu. Je préfère donc m'abstenir.
      __________________
      Kima bgha qelbek !

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      • #48
        Je maintiens ... j'espère qu'en le relisant demain, tu t'en rendras compte.
        Sinon tant pis ! Je ne suis pas là pour te faire changer d'avis.
        Tu exprimes ton opinion, et moi la mienne. Si elles ne se rejoignent jamais, ce n'est pas un drame. Ce n'est pas comme si on était chefs d'état et qu'on avait le bouton rouge à portée de main.

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        • #49
          Vous parlez de régionalisme, en comparant les Algérois et Oranais...par exemple, mais....dans les années 50 le meme phénomène existait...mais cette fois c'était les PN entre eux, et paradoxalment les "indigènes" eux n'avaient pas ce problème la, ils vivaient en parfaite harmonie avec eux meme...mais c'était surement la marginalisation dont ils étaient l'objet.(J'ai 75 ans);Et j'ai connus cette état de chose,étant appelé du contingent en 56-58. Et maintenant lorsque j'écoute ces memes PN dirent: "nous nous entendions bien avec les "arabes".....je souris doucement....car cette entente existait...a condition que chacun vive de son coté...a savoir...les PN dans des beaux immeubles et les "arabes" dans des gourbis, ou je n'aurai pas mis mon chien.

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          • #50
            ... C'est tout à fait possible ... un "Beur" dont les parents viennent d'un bed paumé du bled fait la connaissance d'une "blédarde" d'Alger ...

            Bis repetita: le "beur" n'est beur que dans le contexte français, et le fait que l'algéroise se transpose dans ce contexte là annule les référents de sa situation première et la met au diapason de son nouveau contexte ... et vice-versa. L'accumulation est donc sans effet dans ce cas, car les deux fardeau n'opère que dans deux contextes distincts.

            ... Fais attention à ce que tu écris, les mots ont un sens ...

            Merci, mais nul besoin de pencartes pour moi. Je suis généralement conscient et trés aware, tant des mots que j'utilise que du sens qu'ils portent.

            ... Kima bgha qelbek ! ...

            Ta courtoisie t'honore.
            "L'armée ne doit être que le bras de la nation, jamais sa tête" [Pio Baroja, L'apprenti conspirateur, 1913]

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            • #51
              ... C'est tout à fait possible ... un "Beur" dont les parents viennent d'un bed paumé du bled fait la connaissance d'une "blédarde" d'Alger ...

              Bis repetita: le "beur" n'est beur que dans le contexte français, et le fait que l'algéroise se transpose dans ce contexte là annule les référents premiers et la met au diapason de son nouveau contexte ... et vice-versa. L'accumulation est dons sans éffet, car les deux fardeau n'opère que dans deux contextes distincs.
              Mais pas du tout, Harrachi ! Je te parle d'une réalité.
              Crois-moi, ces handicaps (aux yeux de l'autre, cela va de soi) se conjuguent très très bien. Tu le vois bien à travers tous ces topics.

              Je ne suis pas une "Française d'Algérie" ... sorry !

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              • #52
                Salut Harrachi

                Le thread m'a inspiré des réponses (très longues) d'ordre sociologique, mais j'ai renoncé à les mettre en ligne!

                Le nœud de la question est l'appartenance, quelles sont les significations qui sont admises par les "groupes" concernés (d'accueil, d'origine, le "groupe primaire", etc) mais surtout par l'individu lui-même !

                Que signifie donc " se sentir chez soi " ? La réponse à cette question est une exploration identitaire à elle seule ! Quand j'écris identitaire bien entendu je ne l'entends certainement pas dans les limites de la petite inscription dans le sillage de "l'État-National" qui est la source des rejets que tu évoque dans ton fil



                ../..
                “La vérité est rarement enterrée, elle est juste embusquée derrière des voiles de pudeur, de douleur, ou d’indifférence; encore faut-il que l’on désire passionnément écarter ces voiles” Amin Maalouf

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                • #53
                  Mais, partant de là, il ne me semble pas indécent que des mots, des termes et autres appellations apparaissent à un moment, ici comme là-bas, pour désigner l'une ou l'autre des communautés ainsi que leurs membres respectifs.

                  Pourquoi donc tant de susceptibilité est observée à ce niveau (y'à qu'avoir les histoires blédard/beur), et pourquoi tant de réactions passionnée, alors qu'il s'agit au final d'un phénomène tout bonnement naturel et commun à toute nationalité ?

                  Saha kho,

                  La question est très intéressante et pour y répondre, il convient préalablement de s'appesantir un peu sur les deux termes.

                  "Beur" ne sert pas, en premier lieu à définir les "Algériens qui sont nés à l'étranger". Le terme est quasi-inexistant en Algérie; et ainsi que tu le faisais remarquer la désignation en usage, en Algérie, est celle de Zmigiri qui fait indistinctement référence à l'Algérien qui a émigré et à celui qui est né à l'étranger. Son caractère impropre (le beur n'a jamais émigré mais est né à l'étranger) met en lumière le fait que dans l'imaginaire social algérien, le "beur" est toujours rattaché à la communauté nationale.

                  Nous pouvons préalablement en conclure que le terme beur ne dit pas la relation d'un individu par rapport à la société algérienne mais dit le rapport de cet individu par rapport à la société française. Et c'est justement en analysant le tissu culturel, historique, imaginaire, sociologique et politique au sein duquel ce terme fait florès en France qu'on arrive à mettre à jour sa dimension stigmatisante (au sens sociologique du terme): en effet, dans l'imaginaire culturel français, y'a-t-il un mot pour désigner l'arrière petit fils de Portugais, de Hongrois ou de Polonais ? La réponse étant négative, cela nous permet de conclure que c'est une exception que l'on réserve aux maghrébins (et non pas seulement aux Algériens) qui sont nés et ont grandi en France. Il dit leur éternelle étrangeté à la société française et leur insolubilité, supposée, dans le paysage identitaire français. A mon humble avis, même si ce terme est repris et la revendiqué par cette "communauté", voire même si elle en est à l'origine, cela n'enlève rien à la charge infamante du terme car c'est une façon de retourner la violence historique dont on a été victime (comme ne terme "négro" chez les afro-américain). Tout en occupant la même fonction d'exclusion, il remplace de façon "policée" et facticement maîtrisée, le terme "bicot" ainsi que tous les autres qui ont, durant ce dernier siècle, servi à désigner les maghrébins en France.

                  En gardant en tête ces modestes réflexions, nous allons maintenant tenter de répondre à la même question concernant le blédard car elle est fortement corolaire à la première.
                  Le terme blédard ne sert pas à désigner le rapport de l'émigré algérien avec son pays d'origine (c'est un z'migri ou plus récente : m'ghreb ou "wlid télémly 3taha l'Europa" (va savoir pourquoi un type sur trois que je rencontre se présente comme étant : wlid télémly ).
                  Il ne sert pas en premier lieu à désigner le rapport entre l'immigré maghrébin et le français (ce dernier le désignera par sa nationalité, son inaptitude politique (l'étranger) ou de façon moins précise par le terme "rebeu").

                  Ce que ce terme dit, et ce même sans se référer aux multiples caricatures qui lui sont généralement associées, c'est le rapport de ce nouvel émigré avec les natifs maghrébins de France. Bien qu'il partage le radical "Bled" avec le terme servant à désigner en Algérie l'endroit où les gens sont nés par distinction avec l'endroit où ils vivent (m'nin bledek est une interrogation qui renvoie souvent à l'origine des parents), il lui est complètement étranger et ne remplit nullement la même fonction dans l'économie identitaire. Pour moi, c'est une stigmatisation reportée, le "beur", qui désigne rappelons-le l'entité d'exception dans le paysage identitaire français, se démarque à son tour du nouvel immigrant en l'affublant d'une stigmate lexicale. Il dit le refus de cette communauté de fortune à s'associer avec le nouvel arrivant. Il dit parfois, le malaise plus ou moins assumé vis-à-vis de la culture paternelle et de celle du pays d'origine ...Etc. Je t'assure que mis dans son contexte énonciatif, il est souvent associé à des valeurs négatives.

                  Voilà azizi
                  Dernière modification par Dandy, 30 octobre 2010, 13h21.

                  Commentaire


                  • #54
                    C'est pour savoir quels sont leurs droits, dans quelles limites ils ont le droit de donner leur opinion sur l'Algérie ?

                    dans quelles limites on peut leur faire confiance ?

                    Quelles restrictions civiles, politiques, sociales leur imposer ?

                    J'ai pas tout lu mais cette participation de Ghandi a retenu mon attention.
                    En éffet la dispora alérienne á l'étranger a toujours été stigmatisée depuis le temps de la Fédération de France (au temps de la révolution).
                    Plus tard l'émigration a été prise en charge par le perti FLN, parti unique et hégémonique, l'embrigadement était plus facile.
                    Depuis 88,avec le multipartisme et aprés la décénie noire, ceux qui vivent á l'étranger inclus ceux qui l'ont quitté pour des raisons multiples ont un autre regard sur les perspectives et sur les capacités de l'Algérié de demain.
                    Qu'importe le parcours qu'on a pris, le consensus est :
                    Pragmatisme dans tous les domaines.

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                    • #55
                      Bien que sincèrement, je ne comprends ni l'intérêt de la question ni son utilité ...
                      je donne un fait banal qui peut éventuellement vous être utile ; Je suis du Sahara algérien et lorsque je suis arrivé à l'age de 17 ans pour mes études supérieurs au nord j'avais constaté que l'on m'appelait "pieds de chèvres"

                      22 ans passés en France, je suis retourné pour 3 jours à Alger cet été ... j'avais du mal à être considéré comme algérien ... tous ceux j'ai croisé me demandaient d'où je venais (toutes les nationalités m'ont été attribués ...) et lorsque je disais que j'étais algérien ... il n'arrivaient pas me croire ...

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                      • #56
                        Envoyé par Harrachi78
                        Si ce n'était qu'un seul poste et un seul forumiste, la chose n'aura pas été remarquée. Je comprends qu'il exister des cas particuliers.

                        En fait, j'ai cru comprendre cela le long de files entiers, et auprès de plus d'un forumiste. Le propos était à la fois claire et assez passionné, à l'exemple de ce que disais notre amie KHDIWEDJ par exemple il y'a quelques jours.
                        Ce que j'ai dit exactement est qu'il est faux de cantonner l'Algérien de France à la vie de cité et que, de même qu'on ne penserait pas à dresser un portrait-type de l'Algérien en Algérie, on n'a pas idée d'en dresser un de l'Algérien de France ou du Français d'origine algérienne, ou du Franco-Algérien..... chacun voit midi à sa porte.
                        Pour ma part, je réfute le mot beur pour plusieurs raisons :
                        parce qu'il est lié à une génération qui n'est pas la mienne, qui a vécu son combat et son contexte
                        parce qu'il est une réfutation du Français et de l'Algérien, une sorte de ni-ni
                        et la plus importante à mes yeux, parce qu'il coupe toute filiation avec nos parents. Or on a besoin d'une filiation, dont on fait finalement ce qu'on veut, mais qui doit exister tout de même.

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                        • #57
                          Emergence d'Arabe DE France plutot que d'Arabes EN France

                          ..Les jeunes qui participent à la Marche sont nés pendant et juste après la guerre d’Algérie. Au regard du Français, ils se confondent avec leurs parents. Ils font partie de l’immigration et ont exactement les mêmes caractéristiques que les immigrés plus âgés. La même vision est partagée par les parents de ces jeunes. Ceux-ci rêvent pendant longtemps d’un retour au pays d’origine par réussite interposée de leurs enfants. Pour des raisons différentes, tous les regards sociaux enferment cette génération dans la fixité et dans la non-reconnaissance de leur identité réelle. Pourtant, ils connaissent une socialisation spécifique, cumulant des traits de la culture des parents, de la culture populaire française, et synthétisée dans l’expérience particulière des cités de transit des ZUP et des blocs HLM.

                          C’est dans ce contexte particulier qu’apparaît le terme « Beur » dans la jeunesse de la région parisienne. Il s’agit en fait d’une auto-appellation, exprimant l’identité d’affirmation. Ce thème est, en effet, le résultat d’un double verlan, d’une double inversion du mot « Arabe » (Arabe devient Rebe, qui devient Beur). Il indique à la fois l’existence de spécificités nouvelles vis-à-vis des parents mais aussi l’affirmation d’une origine arabe. Plus précisément il exprime l’émergence d’une nouvelle réalité identitaire française : l’existence d’Arabes de France. Jusqu’alors, la France ne connaissait que des Arabes en France.(...)En fait, ce terme exprime l’émergence d’une identité urbaine multiculturelle, assumée et revendiquée. Il indique le refus d’une identité uniforme, homogène et niant ses diversités.
                          SAID BOUAMAMA extrait de son livre "Dix ans de marche des beurs. Chronique d’un mouvement avorté".
                          il fallait peut être replacé tout dans son contexte l'affirmation d'une identité par des actions dont la plus célèbre a été la marche des "beurs" ... qui a été récupéré, instrumentalisé et complètement dévoyés par .. SOS RACISME ( cela est une autre histoire ).

                          "Beur" n'est pas un terme péjoratif, c'est un terme né d'un combat qui dés les années 80 parlait d'identité , de multi-culturalisme de la fierté et de la richesse que représentait le fait d'avoir hérité de deux culture , comme l'as si bien dit un écrivain Israëlo-Français d'avoir "un père et une mère et de les aimer autant."
                          Le soucis dans tout cela est toujours dans le fait que d'un coté comme de l'autre ont nous suspecte d'aimer plus l'autre .
                          "tout a été dit , tout reste a penser"
                          Alain

                          Commentaire


                          • #58
                            petite hirondelle...

                            …Appartenance, le mot se porterait bien des sens relatifs à tout ensemble et ne serait pas moins démuni d’importance apologique, en mieux, d’être suggéré au coté d’une Tolérance, d’ailleurs le fait d’appartenir s’y correspond tout à fait…

                            …au pluriel, il ne peut être, au plus certain et difficile, que plusieurs tolérances sont indicatives des appartenances et conflictuelles des naissances en différentes périodes et en différents usages, par résonnance et des contextes, en termes d’Egalité et, des constats d’Humanité, il est à porter simple et même définitive à cet ensemble, autant la Naissance est un, une, primo exemple à préserver des indices attributifs et multiplicateurs, comme des suites à l’Appartenance, puis à la Tolérance, aussi, quelle différence de dire de voir ou d’entendre à chacune et à chacun, nom propre féminin invariable et circonstanciel d’Humanité, aucune, vraiment aucune, sans doute que le temps se porte et s’entretient à bien moins de différences qu’il n’y paraît depuis qu’il eut ou qu’il fut dit, vu et entendu une valeur estimable à toute mesure et en tout prochain…

                            … d’une Conscience de l’Homme de la Vie, il s’appartient bien à ces jours très en progrès des parts communicatives aux états, à donner égales correspondances humaines à chaque et toutes cultures, l’Homme, les hommes, sont égaux des différences naturelles liées par le temps, comprenons que, souvent, la différence humaine peut faire erreur du sens logique en la personne semblable, de fait et de l’Histoire, naître, appartenir et tolérer s’entendent parmi tous ces progrès impliquant les respects des natures d’un lieu et les formes des cultures d’une espèce, sommes toutes, toutes évolutives…


                            …faire partie de… ou, se rapporter à…la moindre somme d’un ensemble instruit et induit des études et des recherches sont, à la fois et de tout temps, des liens infiniment humains et des sens diversement culturels à l’Appartenance et, par évidence disons naturelle et universelle, chacun, chacune, tient à savoir et à faire savoir un Lien, un Sens, un Etre, parmi tout et tant de la Vie, comme une réponse active ou éclairée des questions apparentes et actuelles de la Valeur Identitaire et Humaine…

                            …au commun des exemples, la Transparence, unique et relative, s’entretient sans doute des hommes, aux vues de leurs bons sentiments disparus, éloignés, renaissants, la Nature étant un Lieu singulier et multi circonstancié en Apparence…

                            …Salam, merci…
                            Dernière modification par nedjmala, 29 octobre 2010, 17h47.
                            ...Rester Humain pour le devenir de l'Homme... K.H.R.

                            Commentaire


                            • #59
                              Salam Nedjmala,

                              Sincèrement, je n'ai rien compris à ton message. La simplicité est toujours plus éloquente. Pourrais-tu être plus clair/e ?

                              Commentaire


                              • #60
                                …disons que le Temps est une longue Histoire d’où il émane des questions et des réponses par et pour les hommes à travers toute chose, tout fait, et tout Etre, aussi, à l’origine du sujet, il subsiste forcément des parcours diversement éparpillés, comme quelques parts des vitesses en bon sens et de tout ordre, naturelles puis culturelles, …

                                …demain ne se rejoint-il pas d’hier et d’aujourd’hui pour bien dire d’appartenir des ensembles d’ici et d’ailleurs, toujours pile comme une réponse et chaque fois face à deux questions, et, des façons ordinaires et compréhensives, un espace de silence s’écrit-il autrement depuis que certains hommes réduisent ou augmentent certaines mesures ou certaines valeurs humaines,…

                                …de fait, faites votre choix, la crème du L’Bèn n’a qu’une Valeur, qu’une Histoire, égale et irréductible au plus simple des parcours et des bons entendeurs…

                                …Salam…merci…
                                ...Rester Humain pour le devenir de l'Homme... K.H.R.

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