Phrase par phrase
En effet l’emploi est une coriace equation que doit résoudre ce gouvernement .
Bien que l'ont observe actuellement certains gisements qui commencent a être consommés
Le défi de l’entreprise Algérienne de nos jours est qu’elle doit répondre à des normes qualitatives minimum . Ce que l’ont appelle plus communément « le savoir faire »
Pour répondre a ce défi , l’entreprise nationale a besoin d’un facteur humain riche .
Malheureusement pendant ces vingt a trente derniere années elle a tourné en parallèle de l’economie mondiale .
Pour la grande majorité sa compétitivité se discutait seulement au niveau nationale pour ne pas dire régional .
Il faut dire qu’il y avait peu de projet et que le marché était orienté .
Entendez par là que nous payons encore les factures d’une alchimie de l’epoque .
Donc disons le sans tabou l’Algérie manque de compétences .
Même si sur certains facteurs clé de l’economie nous commencont sérieusement à souffler
la productivité hors hydrocarbure n’est toujours pas à notre goût .
Mais je pense sérieusement que çà ne saurait tarder .
Il ne faut pas oublier non plus à sa décharge le boom technologiques que le monde vient de vivre .D'ailleurs Il y a beaucoup d’entreprise hors Algérie qui paie le prix de cette révolution .
Le dernier budget de l’equipement en est un signe fort pour celui qui comprend que l’economie actuel s’accapare les outils indispensable a un bon fonctionnement .
Ce qu’il ne faut pas qu’une entreprise oublie c’est qu’elle gagnera en avenir en répondant par ces compétences humaine au présent .
L’enracinement de nos entreprises dépend de leur possibilité à repondre a la demande .
Une idée parmi d’autre , l’entreprise Algérienne doit avoir et ceci dans l’esprit de garantir ses profits un budget « formation parallèle » conséquent .
Le rôle de l'Etat dans ce cas est d'encourager , de faciliter , donc de promouvoir la formation parallèle .
« Dans tous les cas, il faut s’interroger sur les gisements d’emploi »
Bien que l'ont observe actuellement certains gisements qui commencent a être consommés
Le défi de l’entreprise Algérienne de nos jours est qu’elle doit répondre à des normes qualitatives minimum . Ce que l’ont appelle plus communément « le savoir faire »
Pour répondre a ce défi , l’entreprise nationale a besoin d’un facteur humain riche .
Malheureusement pendant ces vingt a trente derniere années elle a tourné en parallèle de l’economie mondiale .
Pour la grande majorité sa compétitivité se discutait seulement au niveau nationale pour ne pas dire régional .
Il faut dire qu’il y avait peu de projet et que le marché était orienté .
Entendez par là que nous payons encore les factures d’une alchimie de l’epoque .
Donc disons le sans tabou l’Algérie manque de compétences .
Même si sur certains facteurs clé de l’economie nous commencont sérieusement à souffler
la productivité hors hydrocarbure n’est toujours pas à notre goût .
Mais je pense sérieusement que çà ne saurait tarder .
Il ne faut pas oublier non plus à sa décharge le boom technologiques que le monde vient de vivre .D'ailleurs Il y a beaucoup d’entreprise hors Algérie qui paie le prix de cette révolution .
Le dernier budget de l’equipement en est un signe fort pour celui qui comprend que l’economie actuel s’accapare les outils indispensable a un bon fonctionnement .
Ce qu’il ne faut pas qu’une entreprise oublie c’est qu’elle gagnera en avenir en répondant par ces compétences humaine au présent .
L’enracinement de nos entreprises dépend de leur possibilité à repondre a la demande .
Une idée parmi d’autre , l’entreprise Algérienne doit avoir et ceci dans l’esprit de garantir ses profits un budget « formation parallèle » conséquent .
Le rôle de l'Etat dans ce cas est d'encourager , de faciliter , donc de promouvoir la formation parallèle .
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