Conseil des ministres : Oui, l’Algérie a changé et bien changé
Depuis une dizaine d’années, la situation a changé du fait de la mise en œuvre d’une stratégie active. Une stratégie de présence et non de non-présence.
Publité le 07-02-2011
Depuis une dizaine d’années, la situation a changé du fait de la mise en œuvre d’une stratégie active. Une stratégie de présence et non de non-présence. Sur le plan international, l’Algérie a adopté une politique de présence, à la fois par son intéressement aux espaces géopolitiques, par son intégration participative même à des ensembles régionaux sur la base d’enjeux bien définis, d’intérêts partagés, que cela concerne l’économie ou les questions politiques et sécuritaires. Les positionnements de l’Algérie s’expliquent au regard des principes sur lesquels sont fondées toutes ses démarches, à savoir le respect mutuel, la confiance mutuelle, la coopération opérationnelle pour la sécurité collective, également pour le codéveloppement. Serait-il juste que la coopération sécuritaire occulte l’impérieuse nécessité d’une coopération pour une prospérité partagée ?
Mener des actions d’explication de proximité, aller au-devant des populations pour évaluer le climat de confiance populaire envers les institutions et ainsi décider publiquement, et dans la transparence, de remédier aux déficiences enregistrées, contrôler la conformité de ce qui est fait avec ce qui a été prévu, conforter les citoyens dans l’idée que leur plus haut représentant est constamment à leur écoute, enraciner au sein des populations la conviction qu’en matière de suivi permanent du processus de mise en œuvre des grands projet décidés dans le cadre du programme pluriannuel de développement, l’Etat, sous la conduite du Président, a pris ses responsabilités et les assume conformément à la Constitution et aux engagements du Président.
C’est ainsi que toutes les visites présidentielle à toutes les régions du pays, ont permis de donner un aperçu sur les grandes mutations opérées par les réformes et leur ampleur ainsi que le rythme de réalisation des grands projets de développement, sur le niveau de développement qu’ont atteint les wilayas et surtout sur le niveau des convictions selon lesquelles tout est pris en charge par l’Etat pour ce qui concerne d’une manière globale les aspirations à la satisfaction des besoins socioéconomiques des populations et à la réunion des conditions devant favoriser l’essor du confort de vie des citoyens.
L’Algérie a tourné le dos à l’immobilisme, redéfinissant une stratégie plus active avec la réunion des conditions pour que celle-ci soit concertée. Concertée sur le plan international, concertée sur le plan interne, pour définir et traiter les facteurs influents. N’est-ce pas que l’avènement du Président a été celui de l’introduction des éléments de rupture aux tendances à la dérive qu’on paraissait ne pas pouvoir maîtriser, encore moins arrêter ? Bien évidemment, l’Algérie a évolué positivement et cela est bien souligné sur le plan international par ceux-là même qui pronostiquaient son effondrement durant la décennie de la tragédie nationale. Ceux-là ont quand même abandonné cette vision obscurcie du devenir de notre pays, d’autant qu’il ne peut pas être dissimulé que l’Algérie a quitté la zone des doutes et que des questionnements sur son devenir n’ont plus cours. Concernant la lutte contre le terrorisme, il est admis que l’Algérie en est sortie victorieuse, militairement car la réduction de la capacité de nuisance des terroristes est une donnée palpable et la violence est dans l’impasse, politiquement car les populations les rejettent totalement et qu’il est connu que ce sont les populations qui accordent puis retirent la couverture politique. L’Algérie est vraiment revenue de loin, si on tient compte que nombre d’observateurs pronostiquaient même l’effondrement de l’Etat, ce qui nous permet à tous de dire avec conviction que l’avenir est garanti pour tous.
Autant sur les plans interne qu’externe, au cœur des préoccupations nationales, il y a bien sûr la question de l’économie. Celle de sa relance. Celle de ses implications an travers des retombées sur les conditions socioéconomiques des populations. Celle du développement durable. Posture d’attente pour réagir ? Des politiques d’actions mises en œuvre en réaction ? Réaction ? Pas du tout. Ces dix dernières années, il a été bien remarqué que l’Algérie ne s’est jamais cantonnée dans une posture d’attente pour qu’elle inscrive ses politiques d’action dans des stratégies de réaction. Bien au contraire, elle agit par des initiatives, à la pointe des innovations. Elle est en posture permanente d’écoute, de disponibilité à l’initiative, de définition d’une politique de sauvegarde du pouvoir d’achat des populations suite à des inégalités introduites par la mondialisation. Sur tous les fronts car les enjeux, à impérativement gagner, sont bien nombreux, car il faudrait prendre en compte que la tragédie nationale ne pouvait que dévier ou freiner le cours des efforts de développement, et que pratiquement, il est difficile de faire réussir tous les plans d‘action du gouvernement tant que la paix n’est pas encore au rendez-vous avec les attentes. La tragédie nationale a provoqué l’accumulation des déficits.
Depuis une dizaine d’années, la situation a changé du fait de la mise en œuvre d’une stratégie active. Une stratégie de présence et non de non-présence.
Publité le 07-02-2011
Depuis une dizaine d’années, la situation a changé du fait de la mise en œuvre d’une stratégie active. Une stratégie de présence et non de non-présence. Sur le plan international, l’Algérie a adopté une politique de présence, à la fois par son intéressement aux espaces géopolitiques, par son intégration participative même à des ensembles régionaux sur la base d’enjeux bien définis, d’intérêts partagés, que cela concerne l’économie ou les questions politiques et sécuritaires. Les positionnements de l’Algérie s’expliquent au regard des principes sur lesquels sont fondées toutes ses démarches, à savoir le respect mutuel, la confiance mutuelle, la coopération opérationnelle pour la sécurité collective, également pour le codéveloppement. Serait-il juste que la coopération sécuritaire occulte l’impérieuse nécessité d’une coopération pour une prospérité partagée ?
Mener des actions d’explication de proximité, aller au-devant des populations pour évaluer le climat de confiance populaire envers les institutions et ainsi décider publiquement, et dans la transparence, de remédier aux déficiences enregistrées, contrôler la conformité de ce qui est fait avec ce qui a été prévu, conforter les citoyens dans l’idée que leur plus haut représentant est constamment à leur écoute, enraciner au sein des populations la conviction qu’en matière de suivi permanent du processus de mise en œuvre des grands projet décidés dans le cadre du programme pluriannuel de développement, l’Etat, sous la conduite du Président, a pris ses responsabilités et les assume conformément à la Constitution et aux engagements du Président.
C’est ainsi que toutes les visites présidentielle à toutes les régions du pays, ont permis de donner un aperçu sur les grandes mutations opérées par les réformes et leur ampleur ainsi que le rythme de réalisation des grands projets de développement, sur le niveau de développement qu’ont atteint les wilayas et surtout sur le niveau des convictions selon lesquelles tout est pris en charge par l’Etat pour ce qui concerne d’une manière globale les aspirations à la satisfaction des besoins socioéconomiques des populations et à la réunion des conditions devant favoriser l’essor du confort de vie des citoyens.
L’Algérie a tourné le dos à l’immobilisme, redéfinissant une stratégie plus active avec la réunion des conditions pour que celle-ci soit concertée. Concertée sur le plan international, concertée sur le plan interne, pour définir et traiter les facteurs influents. N’est-ce pas que l’avènement du Président a été celui de l’introduction des éléments de rupture aux tendances à la dérive qu’on paraissait ne pas pouvoir maîtriser, encore moins arrêter ? Bien évidemment, l’Algérie a évolué positivement et cela est bien souligné sur le plan international par ceux-là même qui pronostiquaient son effondrement durant la décennie de la tragédie nationale. Ceux-là ont quand même abandonné cette vision obscurcie du devenir de notre pays, d’autant qu’il ne peut pas être dissimulé que l’Algérie a quitté la zone des doutes et que des questionnements sur son devenir n’ont plus cours. Concernant la lutte contre le terrorisme, il est admis que l’Algérie en est sortie victorieuse, militairement car la réduction de la capacité de nuisance des terroristes est une donnée palpable et la violence est dans l’impasse, politiquement car les populations les rejettent totalement et qu’il est connu que ce sont les populations qui accordent puis retirent la couverture politique. L’Algérie est vraiment revenue de loin, si on tient compte que nombre d’observateurs pronostiquaient même l’effondrement de l’Etat, ce qui nous permet à tous de dire avec conviction que l’avenir est garanti pour tous.
Autant sur les plans interne qu’externe, au cœur des préoccupations nationales, il y a bien sûr la question de l’économie. Celle de sa relance. Celle de ses implications an travers des retombées sur les conditions socioéconomiques des populations. Celle du développement durable. Posture d’attente pour réagir ? Des politiques d’actions mises en œuvre en réaction ? Réaction ? Pas du tout. Ces dix dernières années, il a été bien remarqué que l’Algérie ne s’est jamais cantonnée dans une posture d’attente pour qu’elle inscrive ses politiques d’action dans des stratégies de réaction. Bien au contraire, elle agit par des initiatives, à la pointe des innovations. Elle est en posture permanente d’écoute, de disponibilité à l’initiative, de définition d’une politique de sauvegarde du pouvoir d’achat des populations suite à des inégalités introduites par la mondialisation. Sur tous les fronts car les enjeux, à impérativement gagner, sont bien nombreux, car il faudrait prendre en compte que la tragédie nationale ne pouvait que dévier ou freiner le cours des efforts de développement, et que pratiquement, il est difficile de faire réussir tous les plans d‘action du gouvernement tant que la paix n’est pas encore au rendez-vous avec les attentes. La tragédie nationale a provoqué l’accumulation des déficits.
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