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Le pouvoir utilise les infrastructeurs de l'époque colonial!?
la tu délires, la ligne Constantine, harrouch (skikda), jijel, parmi beucoup d'autre, était faite du temps de chadli, coté infrastructure , depuis l'indépendance, beaucoup de chose ont été faite!!
Bonsoir, une autre construction qui est tres belle: Le nouveau siege du Ministére des affaires étrangéres, sur les hauteurs de Kouba, les annasseres exactement; C'est un bijoux d'architecture.
Une fille discute avec son père un ancien minisre très impportant de Boumédienne.
.-Je voudrais que nous parlions de la vie quotidienne d'un Algérien en 1991 ; j'ai l'impression qu'il reste reès difficile de se nourrir, de se loger et de se déplacer en Algerie en 1991.
- D'accord, prenons le cas du logement. De 1962 à 1970 environ, avec le départ des Pieds-Noirs, il y a eu pendant des années une apparente surabondance de logements. A tel point que, jusqu'en 1968, les planificateurs disaient : << Ce n'est pas la peine de construire des logements, ce n'est pas la peine de donner priorité aux infrastructures sociales et économiques parce que le pattrimoine immobilié et infrstructurel hérité de l'époque coloniale est suffisant penadant des décennies. >>
Soit et après ?
Après la demande de logement à commencé à ne pas être satisfaite dans les grandes villes. La crise du logement s'est développée à partire de 1975 environ. L'Algérie était alors peuplée de 15 millions de personnes environ, et nous avons épuisé le stock de logements.
Aucun planificateur n'a pensé au problème avant 1975 ?
Il y a eu le premier plan quadriennal. Même si certains n'aiment pas que l'on parle de Boumediene, on va quand même le fair : la première ébauche de planification, le fameux premier plan quadriennal date de 1972. On y pausait le problème de développement éconnomique, et pas seulement industriel, du pays. On posait aussi des questions du nombre d'usines nécessaires, mais surtout on se demandait : << les usines à quoi ça sert ? >> La raiponse qui a été apportée alors, était à mon avis la bonne, puisque nous, industriels, dision : << les usines doivent apporter un soutien à l'agriculture, au logement, au besoins de consommation des citoyens>>... En matière de logement, on a proposé que soit retenu l'objectif de construire 100 000 logements par an, dont ont sait aujourd'hui qu'il était dérisoire au regard des besoins ! Mais ce chiffre avait alors été dénoncé par les planificateurs comme la marque de notre mégalomanie !
Dernière modification par mohoo, 11 mars 2011, 17h46.
Je dirais que "le pouvoir utilise mal les infrastructeurs de l'époque colonial!?"
Et n'a pas su évoluer en dévelloppant une architecture nouvelle qui définisse l'Algérie Indépendante pour mieux marquer l'Histoire.
C'est un véritable désastre!
La laideur a envahi nos villes à laquelle il faudrait rajouté l'insolente désinvolture de nos chers concitoyens qui jette leur ordure de leur fenetres,des gosses qui piétinent les quelques fleurs dans nos cités etc..
L'urbanisme et le paysagisme sont inexistants chez nous il n'y a aucune créativité de la part des architectes (des dessinateurs de plans dirais-je!!).
Ca me fait rire ces plaques qu'on lit "bureau d'étude d'architecture et d'urbanisme" c'est devenu la mode depuis le programme des 100 aines de milliers de logements.
Chacun s'adapte dans son domaine (entrepreneur, architectes, importateurs, etc) aux caprices Mouradiens
A+.
La pire chose pour l'Homme, serait qu'il meurt idiot.
De grâce épargnez-moi la prolixe, la syntaxe et la chiffrerie à tout va.
Merci.
" TOUCHE PAS A MA NAPPE ALBIENNE "
je suis retourné à Alger après 20 ans d'absence en 2007, ma surprise était totale une ville en ruine!.
J'ai vécu à alger centre depuis 1965 dans des infrastructeurs qui datent de l'époque colonial et les rues portaient les noms, saint augustin, levacher, mogador..., écoles, salles de cinéma, salles de sport, service militaire...
"je suis retourné à Alger après 20 ans d'absence en 2007, ma surprise était totale une ville en ruine!."
Parti en 1982 plus 20 ans d'absence cela nous mène en 2002 et non 2007. Ou alors tu ne sais pas compter(ce qui m'étonnerait) ou alors tu racontes n'importe quoi, ce qui est plus vraisemblable. Alger en ruine, la guerre de 39-45 , hélas est passée par là .
" Celui qui passe devant une glace sans se reconnaitre, est capable de se calomnier sans s'en apercevoir "
Les construction françaises l'ont été avec l'argent des algériens, je ne voit pas le problème de les garder si ils sont fonctionnels.
Si je prends l'exemple de Blida, villas et bâtiments coloniaux n'ont pas était détruit, quoique certains démollissent les villas coloniales pour les remplacer par des bâtiment affreux.
Ce qui a été construit après 62 à Blida : l'université, les cités universitaires, l'hopital Benboulaid , plusieurs lycées, les cem, les écoles le complexe sportif ou se trouve le stade Tchaker ( que tous le monde a connu grâce aux verts) , plusieurs cités ou habitent aujourd'hui des milliers de personnes (sans exagérer), plusieurs usines, polycliniques., les mosquées (entre autres Benboulaid et el Kawther) ....etc
Je regrette pour moi tous a été fait par l'Algérie.
Et je pense que chacun peut te dire ce qui a été réalisé dans sa ville.
All we are saying is give peace a chance. John Lennon.
plusieurs cités ou habitent aujourd'hui des milliers de personnes (sans exagérer), plusieurs usines, polycliniques., les mosquées (entre autres Benboulaid et el Kawther) ....etc
Il y a un problème qu'on évoque rarement, c'est celui du taux démographique, principalement dans les grandes villes. Dans les années 70, il dépassait les 5% et, pour tenter de répondre aux besoins des populations en matière de logements et d'équipement sociaux, il fallait lancer des plans de développement qui dépassaient de loin nos capacités de financement.
Il y avait de tout temps un décalage entre les autorisations de programme (planification) et les crédits de paiement (financement).
Il fallait donc réduire les coûts des projets et leurs délais de réalisation. Construire vite et au moindre coût pour rattrapper les retards. Le résultat, on le connaît. Nous avons produit des ouvrages médiocres et perdu nos entreprises.
Aujourd'hui, il y a de l'argent en abondance, mais les plus gros projets sont réalisés par des entreprises étrangères.
Je pense que dans de telles conditions, nous sommes et nous serons incapables sans l'intervention étrangère, de construire des projets semblables à ceux laissés par l'administration coloniale. Pour Oran, je citerais le Front de Mer, le port, la cathédrale, la grande mairie, le théâtre, les batiments du centre-ville, l'ancienne préfecture, etc...
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