Quelle recherche pour quel pays ?
Après la lecture des commentaires tous fondés, je pense que qlq éclaircissements sont nécessaires si le message est trop chargé e désir de faire ressortir plusieurs points que vit l’université Algérienne l'a emporté, mais l'effet obtenu par manque de professionnalisme dans la communication n’est pas tjrs ce que l’on souhaite.
Je dirai qu'au point par point :
L'article envoyé avec le même titre fut modifié par l'un des rédacteurs toutefois le contenu est préservé.
Le fait de l'envoyer à plusieurs journaux c'est simplement pour avoir plus de chance d'être publié. Cela est déjà arrivé pour d’autres articles écrits par le même auteur n’étant pas un professionnel ni un correspondant régulier.
La question est :
Une personne (un universitaire) sans un minimum d’équipement peut ‘il vraiment faire de la recherche quelque soit son statut et ses compétences
La recherche scientifique en Algérie comme partout dans le monde dépend de labos et d'équipements bien sur dans les domaines scientifiques, nos universités ne sont pas équipées pour.
Quand un haut responsable annonce des sommes colossales et que nous ne pouvons même pas acheter un équipement de mesure décent ce n’est pas une question de compétence ni de niveau de recherche, ni de renommé du chercheur.
C’EST TRAVAILLER mais AVEC QUOI ?
Tout l'argent promis pour un minimum d'équipements pour les travaux de base de la recherche dépend d'une seule personne et elle a décidé de l'orienter dans le domaine PHYSICO-CHIMIQUE. Et aussi simplement que cela ces responsables ont fermé les portes à toutes discussions ou contestations.
Un projet CNEPRU est un projet de recherche où l’équipe de recherche reçoit des indemnités 4000 DA par semestre, mais vous n’avez pas le droit à l’achat d’équipement et c’est avec des équipements pédagogiques que ces enseignants essayent de faire de la recherche (pour la plupart c’est des thèmes de simulations et il n’y a aucun moyen de valider en pratique).
L’industrie ou autre secteur hors université ne collaborent pas réellement dans le perfectionnement ou dans la recherche. Ni l’industrie ni l’université ne sont équipées pour ce genre de travaux de recherche.
Toutes les collaborations se font sur un échange de connaissances superficielles véhiculées par les étudiants dans la réalisation des mémoires ou des thèses.
Dès qu’un projet passe à la phase réalisation, analyse ou mesure, personne n’investi et nous concluons avec des Thèmes se limitant à Etude, Conception par ordinateur avec le logiciel « solid work », simulation…… par logiciel « Matlab » etc.
Voilà pourquoi il est plus facile de faire de la recherche à l’étranger que chez nous.
Il n’y a pas de complexe locaux- externes il y simplement que nous n’avons pas les même conditions de travail et que nous souhaitons simplement avoir en Algérie le minimum et orienter la recherche par rapport à nos besoins.
A quoi bon faire de la recherche dans le nucléaire ou d’étudier les conditions aux couches limites de la navette Discovery si nous n’aurons jamais de centrale nucléaire et ne construirons pas de vaisseaux.
Faudrait savoir : quel type de recherche pour quel pays.
La finalité de tout cela : nous manquons d’équipements pédagogiques et encore plus d’appareils de mesure et d’analyse pour la recherche. Et les personnes en charge son à coté de la plaque, intentionnellement ou pas, ils privent l’université Algérienne de se mettre à jour. En se moment nous en avons les moyens mais cela durera t’il longtemps ?
Obligation d’étique et salaire après labeur et non qu’aux trouveurs personne n’ira dire le contraire mais nous dans nos universités on commence par quoi ?
Pouvons-nous continuer d'être chercheurs sur titre ? Sans équipements !
Après la lecture des commentaires tous fondés, je pense que qlq éclaircissements sont nécessaires si le message est trop chargé e désir de faire ressortir plusieurs points que vit l’université Algérienne l'a emporté, mais l'effet obtenu par manque de professionnalisme dans la communication n’est pas tjrs ce que l’on souhaite.
Je dirai qu'au point par point :
L'article envoyé avec le même titre fut modifié par l'un des rédacteurs toutefois le contenu est préservé.
Le fait de l'envoyer à plusieurs journaux c'est simplement pour avoir plus de chance d'être publié. Cela est déjà arrivé pour d’autres articles écrits par le même auteur n’étant pas un professionnel ni un correspondant régulier.
La question est :
Une personne (un universitaire) sans un minimum d’équipement peut ‘il vraiment faire de la recherche quelque soit son statut et ses compétences
La recherche scientifique en Algérie comme partout dans le monde dépend de labos et d'équipements bien sur dans les domaines scientifiques, nos universités ne sont pas équipées pour.
Quand un haut responsable annonce des sommes colossales et que nous ne pouvons même pas acheter un équipement de mesure décent ce n’est pas une question de compétence ni de niveau de recherche, ni de renommé du chercheur.
C’EST TRAVAILLER mais AVEC QUOI ?
Tout l'argent promis pour un minimum d'équipements pour les travaux de base de la recherche dépend d'une seule personne et elle a décidé de l'orienter dans le domaine PHYSICO-CHIMIQUE. Et aussi simplement que cela ces responsables ont fermé les portes à toutes discussions ou contestations.
Un projet CNEPRU est un projet de recherche où l’équipe de recherche reçoit des indemnités 4000 DA par semestre, mais vous n’avez pas le droit à l’achat d’équipement et c’est avec des équipements pédagogiques que ces enseignants essayent de faire de la recherche (pour la plupart c’est des thèmes de simulations et il n’y a aucun moyen de valider en pratique).
L’industrie ou autre secteur hors université ne collaborent pas réellement dans le perfectionnement ou dans la recherche. Ni l’industrie ni l’université ne sont équipées pour ce genre de travaux de recherche.
Toutes les collaborations se font sur un échange de connaissances superficielles véhiculées par les étudiants dans la réalisation des mémoires ou des thèses.
Dès qu’un projet passe à la phase réalisation, analyse ou mesure, personne n’investi et nous concluons avec des Thèmes se limitant à Etude, Conception par ordinateur avec le logiciel « solid work », simulation…… par logiciel « Matlab » etc.
Voilà pourquoi il est plus facile de faire de la recherche à l’étranger que chez nous.
Il n’y a pas de complexe locaux- externes il y simplement que nous n’avons pas les même conditions de travail et que nous souhaitons simplement avoir en Algérie le minimum et orienter la recherche par rapport à nos besoins.
A quoi bon faire de la recherche dans le nucléaire ou d’étudier les conditions aux couches limites de la navette Discovery si nous n’aurons jamais de centrale nucléaire et ne construirons pas de vaisseaux.
Faudrait savoir : quel type de recherche pour quel pays.
La finalité de tout cela : nous manquons d’équipements pédagogiques et encore plus d’appareils de mesure et d’analyse pour la recherche. Et les personnes en charge son à coté de la plaque, intentionnellement ou pas, ils privent l’université Algérienne de se mettre à jour. En se moment nous en avons les moyens mais cela durera t’il longtemps ?
Obligation d’étique et salaire après labeur et non qu’aux trouveurs personne n’ira dire le contraire mais nous dans nos universités on commence par quoi ?
Pouvons-nous continuer d'être chercheurs sur titre ? Sans équipements !
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