Encore des Algériens agressés en Tunisie
La tunisie amie devient de moins en moins sûre. Les Algériens qui aimaient partir en vacances dans ce beau pays doivent aujourd’hui réfléchir à deux fois avant de s’yengager. Des bandes de désœuvrés et de voyous se sont spécialisés dans les guets-apens et les vols en tous genres. L’insécurité est devenue le problème prioritaire de la population Tunisienne qui depuis la révolution du jasmin vit une situation des plus problématiques. Agressions violentes sur les personnes, vols par effraction des maisons et des magasins, coupeurs de routes à la sortie des villes…
Agressions sexuelles
Plusieurs familles algériennes ont fait l’objet d’agressions, vol d’argent et de véhicules dans la capitale et dans plusieurs autres villes Tunisiennes. Les informations sur des agressions sexuelles qui ont été rapportées par plusieurs personnes et relatées par divers médias ont été confirmées par des sources sécuritaires. Selon le quotidien Arabophone «Annasr» paraissant à Constantine, qui cite des sources sécuritaires, plusieurs cas d’agressions sexuelles sur des femmes Algériennes ont été enregistrés sur le territoire Tunisien. Le journal a indiqué que les victimes accusent des agents de sécurité Tunisiens et des groupes de malfaiteurs d’être derrières ces agressions.
Enlevée et séquestrée
Le journal a cité le cas d’une femme originaire de l’Est-Algérien qui a été enlevée alors qu’elle était en compagnie de son mari. La jeune femme a été séquestrée pendant deux jours avant qu’elle ne soit jetée dans la rue. Des familles algériennes établies en Tunisie se sont également plaintes auprès des autorités algériennes après qu’elles fussent agressées et malmenées par des groupes d’individus dans les rues tunisiennes au su et au vu de tout le monde. Selon un autre média la famille Alloui, originaire de la wilaya de Tébessa, a indiqué qu’elle a fait objet d’une lâche agression à l’entrée de la ville tunisienne de Gafsa. Selon les membres de cette famille, un groupe de Tunisiens les a interceptés et les a empêchés de se rendre à la ville de Tozeur où un membre de cette famille devait être opéré. « Un groupe de Tunisiens nous a agressé en présence de policiers en civil qui n’ont pas bougé le petit doigt pour nous venir en aide, a-t-il indiqué. Heureusement que nous avions échapper à nos agresseurs », a déclaré Khaled, un membre de cette famille.
Le mois passé, des centaines d’Algériens ont été bloqués et n’ont pu rejoindre le poste frontalier de Bouchebka. Selon un témoin cité par le journal « Echourouk » des Tunisiens ont bloqué la route après des incidents avec les gardes-frontières. Plus de 500 véhicules d’Algériens étaient pris au piège. Des compatriotes, qui ont rebroussé chemin pour se rendre dans la région d’El-Kassraine pour rentrer au pays via le poste frontalier de Ras-Layoune, ont été malmenés, agressés et volés.
Agressé au couteau
C’est également la mésaventure qui est arrivée il y a quelques jours à un habitant d’ Oum El Bouaghi. Alors qu’il se rendait à Sousse, il fut surpris par des individus armés de couteaux qui lui intimèrent de choisir entre le véhicule et l’argent qu’il portait et la vie. Le malheureux a choisi évidemment de rester en vie. Ses agresseurs s’ emparèrent de son véhicule et de son pécule en devises et le laissèrent en rase campagne abandonné à son triste sort. Il éprouva les pires difficultés pour rejoindre le territoire national où il déposa plainte sans convictions car sachant qu’il avait très peu d’espoir de retrouver son véhicule.
Petit à petit la Tunisie, ce havre de paix du temps où il était dirigé par une dictature, est entrain de se transformer en un véritable coupe-gorge à ciel ouvert malgré les dénégations des autorités Tunisiennes qui tentent de « cacher le soleil avec un tamis », selon l’expression de deux jeunes de Annaba agressés et délestés de leur argent dans ce pays voisin.
La recrudescence des agressions et l’insécurité grandissante en Tunisie ont fini par contraindre les dizaines de milliers d’Algériens a renoncer à se rendre dans ce pays.
ALGÉRIE-PLUS
La tunisie amie devient de moins en moins sûre. Les Algériens qui aimaient partir en vacances dans ce beau pays doivent aujourd’hui réfléchir à deux fois avant de s’yengager. Des bandes de désœuvrés et de voyous se sont spécialisés dans les guets-apens et les vols en tous genres. L’insécurité est devenue le problème prioritaire de la population Tunisienne qui depuis la révolution du jasmin vit une situation des plus problématiques. Agressions violentes sur les personnes, vols par effraction des maisons et des magasins, coupeurs de routes à la sortie des villes…
Agressions sexuelles
Plusieurs familles algériennes ont fait l’objet d’agressions, vol d’argent et de véhicules dans la capitale et dans plusieurs autres villes Tunisiennes. Les informations sur des agressions sexuelles qui ont été rapportées par plusieurs personnes et relatées par divers médias ont été confirmées par des sources sécuritaires. Selon le quotidien Arabophone «Annasr» paraissant à Constantine, qui cite des sources sécuritaires, plusieurs cas d’agressions sexuelles sur des femmes Algériennes ont été enregistrés sur le territoire Tunisien. Le journal a indiqué que les victimes accusent des agents de sécurité Tunisiens et des groupes de malfaiteurs d’être derrières ces agressions.
Enlevée et séquestrée
Le journal a cité le cas d’une femme originaire de l’Est-Algérien qui a été enlevée alors qu’elle était en compagnie de son mari. La jeune femme a été séquestrée pendant deux jours avant qu’elle ne soit jetée dans la rue. Des familles algériennes établies en Tunisie se sont également plaintes auprès des autorités algériennes après qu’elles fussent agressées et malmenées par des groupes d’individus dans les rues tunisiennes au su et au vu de tout le monde. Selon un autre média la famille Alloui, originaire de la wilaya de Tébessa, a indiqué qu’elle a fait objet d’une lâche agression à l’entrée de la ville tunisienne de Gafsa. Selon les membres de cette famille, un groupe de Tunisiens les a interceptés et les a empêchés de se rendre à la ville de Tozeur où un membre de cette famille devait être opéré. « Un groupe de Tunisiens nous a agressé en présence de policiers en civil qui n’ont pas bougé le petit doigt pour nous venir en aide, a-t-il indiqué. Heureusement que nous avions échapper à nos agresseurs », a déclaré Khaled, un membre de cette famille.
Le mois passé, des centaines d’Algériens ont été bloqués et n’ont pu rejoindre le poste frontalier de Bouchebka. Selon un témoin cité par le journal « Echourouk » des Tunisiens ont bloqué la route après des incidents avec les gardes-frontières. Plus de 500 véhicules d’Algériens étaient pris au piège. Des compatriotes, qui ont rebroussé chemin pour se rendre dans la région d’El-Kassraine pour rentrer au pays via le poste frontalier de Ras-Layoune, ont été malmenés, agressés et volés.
Agressé au couteau
C’est également la mésaventure qui est arrivée il y a quelques jours à un habitant d’ Oum El Bouaghi. Alors qu’il se rendait à Sousse, il fut surpris par des individus armés de couteaux qui lui intimèrent de choisir entre le véhicule et l’argent qu’il portait et la vie. Le malheureux a choisi évidemment de rester en vie. Ses agresseurs s’ emparèrent de son véhicule et de son pécule en devises et le laissèrent en rase campagne abandonné à son triste sort. Il éprouva les pires difficultés pour rejoindre le territoire national où il déposa plainte sans convictions car sachant qu’il avait très peu d’espoir de retrouver son véhicule.
Petit à petit la Tunisie, ce havre de paix du temps où il était dirigé par une dictature, est entrain de se transformer en un véritable coupe-gorge à ciel ouvert malgré les dénégations des autorités Tunisiennes qui tentent de « cacher le soleil avec un tamis », selon l’expression de deux jeunes de Annaba agressés et délestés de leur argent dans ce pays voisin.
La recrudescence des agressions et l’insécurité grandissante en Tunisie ont fini par contraindre les dizaines de milliers d’Algériens a renoncer à se rendre dans ce pays.
ALGÉRIE-PLUS
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