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Une journaliste attaque Ouyahia en "français" parce qu'elle ne comprend le berbère

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  • #76
    Hahaha! Le peuple manque de tendresse alors on lui offre un gros nounours.
    Il n’y a rien de noble à être supérieur à vos semblables. La vraie noblesse, c'est être supérieur à votre moi antérieur.
    Hemingway

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    • #77
      a qui ? aux habitants des localités de kabyles (a cheval sur 7 wilaya : 15, 06, 10, 34, 35, 19 et 18).
      18 , khaténa ya khouyyé madekhelnache fe lahssabe dialekem

      tolkien, bonjour , l'arabe c'est ma langue et la langue de la majorité d'algériens, pas la langue d'un colon, le berbère devrait devenir comme l'arabe langue officielle, et l'arabe devrait le devenir pour de vrai non seulement théoriquement !!

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      • #78
        Ghania Oukazi, laisse libre cours à sa haine raciste du Kabyle.

        Mme Oukazi, du Quotidien d’Oran, somme le premier ministre, Ahmed Ouyahia, de se conformer à la constitution qui fixe la langue officielle de l’Etat !! Elle n’a pas compris un dialogue de 1’21’’. 1’ 21’’, alors elle se rue dans les brancards. Que dire de nos mères et de nos grand-mères, qui ne comprennent rien au discours de l’Etat depuis 50 ans !





        Je ne sais pas si les "fils" qui alimentent sa pratique journalistique sont en Langue officielle ou pas, mais de toute façon elle-même a apostrophé Ouyahia en Français ??! C'est dire à quel point elle fait cas de la Langue Officielle!!!



        Sa réaction épidermique et ridicule cache mal le substrat raciste de son Etatisme tatillon qui lui tient lieu de Nationalisme, car dans le cas d’espèce de cette dame il est totalement impropre d’envisager de parler de patriotisme, une notion qui se fonde sur l’amour de son peuple dans sa diversité.



        Laissons Mme Oukazi aimer son Etat et nous l’imposer….
        Si tu parles, tu meurs. Si tu te tais, tu meurs. Alors, dis et meurs

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        • #79
          Hahaha! Le peuple manque de tendresse alors on lui offre un gros nounours.
          Moi il me fait penser à Tigou puis parfois à Winny l'ourson

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          • #80
            A mon avis lui aussi ne doit pas s'exprimer en français mais dans la langue nationale; Only en Algérie que tu trouves des cadres et hauts s'exprimer en langue étrangère et non user de leur langue natinale. Tu me diras les états africains, quelle conclusion en tirer alors?

            On posssède deux langues à nous mais on choisit une troisième, celle du colon, alors la fiertè est jetée à la poubelle.

            Et il arrive qu'on corrige un PM en français même; it's beyond me!
            Ask not what your country can do for you, but ask what you can do for your country.

            J.F.Kennedy, inspired by Gibran K. Gibran.

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            • #81
              tolkien, bonjour , l'arabe c'est ma langue et la langue de la majorité d'algériens

              Hi c'est darija la vrai langue des algeriens, l'arabe on comprend rien, les armées arabes nous ont envahi au moyen-âge, coupant les têtes qui dépassaient, mais près de 1000 ans plus tard, la langue maghrébine demeure, une langue mixée d'arabe, de berbere, de latin, de turc, d'africain...

              là on cherche à nous acculturé dans une culture importée du golfe et d'egypte, la résistance s'organise

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              • #82
                C est vrai !
                en rentrant dans des maisons des plus riches algériens 20% env ont remarque tres vite accrochés aux murs "plein de tables et tableaux hierolgliphes " !

                D ici quelques années d autres algériens vont aussi comprendre que leur aillleuls avaient des liens trés forts avec les pharaons.
                Et leur progénitures iront demander d instaurer la langue hiérogliphe dans les écoles ,le parlement , la présidence et partout dans ce pays.

                l Algerie est plus cosmopolite que les USA !
                Dans ces univérsités du tiers-monde on vous demandera le livret de famille ou est inscrit le bébé qui est encore dans le ventre de sa maman,sinon il n est pas viable.

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                • #83
                  Abderrazak Dourari : «La politique linguistique a inculqué la haine de soi»



                  Abderrazak Dourari est professeur en sciences du langage. Il dirige actuellement le Centre national pédagogique et linguistique pour l’enseignement de tamazight au ministère de l’Education nationale. Il est l’auteur de plusieurs ouvrages, dont Les Malaises de la société algérienne, crise de langue, crise d’identité (paru aux éditions Casbah), Cultures populaires, culture nationale (l’Harmattan, Paris 2002) ainsi qu’un essai à paraître prochainement de présentation critique des «théories linguistiques de F. de Saussure à Chomsky».

                  Comment expliquer aujourd’hui que beaucoup de jeunes n’arrivent plus à établir une phrase structurée, en arabe comme en français ?


                  Les Algériens s’expriment bien dans leurs langues maternelles (tamazight et arabe algérien) même si celles-ci évoluent comme partout dans le monde sous l’influence linguistique des autres langues, comme l’arabe scolaire, le français, l’espagnol ou même parfois l’anglais à un degré moindre.La langue arabe scolaire et le français, tout en ayant un statut particulier pour nous, ne sont pas nos langues maternelles et, à ce titre, elles sont acquises, bien ou mal, grâce ou à cause de l’école et de tout le système éducatif du primaire au doctorat. Cependant, la non-maîtrise aujourd’hui avérée des langues (où on a vu des traducteurs supposés maîtriser trois langues n’en maîtriser absolument aucune) révèle un aspect important de la déliquescence du système éducatif algérien sous-encadré et permissif, qui privilégie l’ordre public au savoir.



                  Contrairement aux années 1970 où le niveau universitaire était très élevé (il y avait même des enseignants américains, anglais, indiens, pakistanais, français… de très haut niveau) grâce à un niveau d’exigence scientifique correct – car la règle était claire : ce n’était pas à l’université de descendre pour prendre en charge ceux qui traînaient, mais c’était bien à ces derniers de s’élever au niveau d’exigence des universités dans tous les domaines du savoir. Les cycles infra-universitaires recevaient par conséquent un encadrement universitaire de qualité et eux donnaient un enseignement de qualité à leurs élèves…



                  Le processus d’arabisation enclenché dans les années 1970 a-t-il brouillé les repères ?



                  La politique linguistique d’arabisation est l’une des plus absurdes et destructrices menées par un gouvernement dans le monde. On la voulait comme une opération magique. Du jour au lendemain, on voulait que tout le monde, y compris les analphabètes, parle l’arabe scolaire ! On se rappelle les débats sur «l’arabisation progressive et progressiste» pour les uns et «l’arabisation totale et immédiate» des autres.



                  Ce fut cette dernière qui fut menée tambour battant par les passionnés du parti unique et qui est au principe du désastre linguistique et culturel qu’on commence à reconnaître aujourd’hui. Cette politique s’est attaquée aux langues algériennes (arabe algérien et tamazight) avec autant de férocité qu’à la langue française, tant et si bien qu’elle a complexé tous les locuteurs et brisé tous les ressorts sociétaux de maîtrise de la langue française – outil indispensable pour le lien avec la rationalité et le savoir moderne.



                  Pour couronner le tout, cette politique n’a pas permis une meilleure maîtrise de la langue arabe scolaire, loin s’en faut, car elle a consisté essentiellement à inculquer et diffuser de manière cellulaire le conservatisme religieux et l’irrationalisme dans toutes ses formes y compris celui du style des zaouïas combattues naguère par l’association des oulémas musulmans algériens. Tant que les lycées étaient bilingues, on continuait à enseigner les idées fondatrices du mouvement du siècle des lumières et de la raison universelle, mais la politique d’arabisation précipita la fermeture de tout accès à ces enseignements dont la mentalité algérienne avait besoin et replongea celle-ci dans la tradition archaïque et le fatalisme.



                  On le sait maintenant, la politique d’arabisation a réussi à rendre l’esprit de nos enfants sensible à l’islamisme – idéologie la plus rétrograde de nos jours – au point de se constituer chair à canon (kamikazes) pour la défendre. Cette politique linguistique a inculqué, y compris à l’élite au pouvoir, fabriquée par le parti unique, la haine de soi qui les pousse jusqu’à se fabriquer des ancêtres en Arabie ou au Yémen. Comme si les gens pouvaient choisir leurs parents et leur lieu de naissance !



                  Est-il possible de déterminer la langue que parlent les Algériens ?



                  Les Algériens parlent leurs langues maternelles – variétés de tamazight et de l’arabe algérien très mal servies par l’Etat en matière de prise en charge institutionnelle et éducative. Dans le domaine institutionnel, le français garde, à côté de l’arabe scolaire, une bonne place dans les domaines élaborés (législation, comptabilité, finances, études universitaires, littérature…) au moins comme source de documentation. Les doctorants en langue arabe scolaire préfèrent se rendre en France pour mieux connaître la langue arabe car le monde arabe a depuis longtemps quitté la bataille de la rationalité et du savoir, et quasiment rien ne se produit plus dans cette langue : ni le pain ni même la grammaire arabe ou les études islamiques qui sont meilleures en allemand, en anglais et en français…



                  La posture intellectuelle imprimée aux universités et au système éducatif est celle du combat contre l’esprit critique au profit d’une posture apologétique et du culte des ancêtres mythiques («as saslaf as salih», disent-ils).



                  La dépréciation du savoir et de la compétence induite par la transformation des universités fabrique de faux diplômes, voués à soutenir les élites au pouvoir, à déprécier aussi la compétence dans la société et dans le marché de l’emploi dominé par l’allégeance, la rente, l’enrichissement le plus rapide et par tous les moyens. Pourquoi alors faire semblant de persister à vouloir que les Algériens fassent des efforts pour apprendre les langues ?



                  Cela dit, le français reste la langue seconde du domaine formel la moins atteinte et la plus répandue dans le tissu social algérien ; c’est dans cette langue qu’il est possible de bâtir une reconquête de nos capacités expressives linguistiques et scientifiques.



                  Les Algériens utilisent un langage parlé flamboyant d’inventivité, usant de néologismes inattendus. Mais leur capacité à tenir une discussion dans une langue soutenue est très limitée. Quelle est votre analyse ?



                  En matière de création néologique, les Algériens ne sont pas les seuls, en ce sens que tous les locuteurs du monde entier essaient de se mettre à jour eu égard à des idées et produits diffusés dans l’espace sociétal et auxquels ils font face dialectiquement. Il n’y a pas d’autre alternative aux innovations et aux néologismes. Avec les NTIC, qui sont devenues aujourd’hui invasives dans tous les interstices de la société, toutes les langues inventent…



                  Les échanges interculturels, la diffusion des idées, la relativisation des mœurs et des systèmes d’organisation politique se mondialisent et les perceptions, les représentations sociales et culturelles changent… C’est ce que refusent de comprendre les régimes autocratiques arabes et leurs alliés objectifs, les mouvements politiques régressifs qui, paradoxalement, usent des moyens produits de la raison humaine pointue pour diffuser et inculquer les idées de régression intellectuelle. Les cloisonnements nationaliste, linguistique, ethnique, moral… sautent et de nouvelles valeurs naissent et s’installent progressivement. L’enjeu n’est pas du tout national mais bien inter-national (le trait d’union est intentionnel).



                  Pour tenir une discussion soutenue, comme vous dites, il ne suffit pas seulement de maîtriser une langue du savoir ; il faut aussi disposer d’un niveau de savoir suffisant. Ce sont là nos deux échecs les plus patents et les plus pathétiques. On est derniers en matière de savoir théologique et on est derniers aussi en matière de savoir scientifique. On ne maîtrise pas la langue arabe scolaire et classique pour se tirer d’affaire en théologie et on ne maîtrise pas non plus les langues étrangères pour se tirer d’affaire dans le domaine du savoir scientifique rationnel. On refuse d’entendre ce qui se passe ailleurs (surdité) et on refuse de parler nous-mêmes (mutité).



                  L’écart entre les quartiers populaires et les zones résidentielles semble s’accentuer. Peut-on parler de «fracture linguistique» ?



                  Encore une fois, les Algériens parlent d’abord algérien. A ce niveau, il n’y a pas de hiatus. L’écart dont vous parlez provient de l’écart dans les moyens dont disposent les différentes classes sociales algériennes. Les classes supérieures, du fait de leurs moyens importants et de la proximité qu’elles ont avec les élites au pouvoir, voyagent dans le monde et voient ce qui s’y passe. Elles n’accordent aucun sérieux aux déclarations grandiloquentes des gens du pouvoir qui sont les premiers à avoir mis leur progéniture dans les écoles étrangères, tout en déclarant aux gens des classes inférieures que le système éducatif algérien est le meilleur de la planète, les poussant à verser dans une défense fanatique de la politique d’arabisation qui a brisé cette belle langue arabe scolaire avant briser les langues étrangères.Les enfants de ces classes supérieures, habitant les quartiers huppés, ont logiquement continué à apprendre et à parler le français même à un âge très précoce.



                  Toutes ces incohérences nous mènent à penser que seule une politique linguistique, éducative et culturelle fondée sur la raison (et non pas sur la passion) et sur les enseignements de l’histoire, visant l’ensemble du corps social et non pas une infime partie, peut tirer notre société et notre nation vers des horizons sereins. Seule une politique universitaire où le champ du savoir est autonomisé de la phagocytose politicienne peut, à terme, faire reprendre à notre système universitaire son rôle de pépinière du savoir et de cadres compétents.

                  Amel Blidi
                  Si tu parles, tu meurs. Si tu te tais, tu meurs. Alors, dis et meurs

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                  • #84
                    new08
                    18 , khaténa ya khouyyé madekhelnache fe lahssabe dialekem
                    toi khatik, mais il y'a des kabylophones dans l'ouest de la wilaya 18 c'est eux qui nous intéresse ma ntouma nendbou aalikoum si tu savais

                    Mme Oukazi, du Quotidien d’Oran, somme le premier ministre, Ahmed Ouyahia, de se conformer à la constitution qui fixe la langue officielle de l’Etat !! Elle n’a pas compris un dialogue de 1’21’’. 1’ 21’’, alors elle se rue dans les brancards. Que dire de nos mères et de nos grand-mères, qui ne comprennent rien au discours de l’Etat depuis 50 ans !
                    cela ne fait que confirmer la ligne éditoriale vicieusement anti kabyle de ce quotidien d'oran qui ne s'en était pas rendu compte ;
                    "Win yeččan tayazit' n Iflissen, iheggi-d tin-is"

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                    • #85


                      ecritures indiennes : origines



                      Maintenant les USA pays tres developpé ,parlent et écrivent en Anglais.

                      Et dans leur univérsité 30% apprennent la langue Arabe. A tel point qu elle est aprés le chinois le top des langues suivis de prés.
                      Dans ces univérsités du tiers-monde on vous demandera le livret de famille ou est inscrit le bébé qui est encore dans le ventre de sa maman,sinon il n est pas viable.

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                      • #86
                        Et il arrive qu'on corrige un PM en français même; it's beyond me!
                        Djamal;

                        Ce qui est éprouvant, c'est de répéter aux autres que le français n'est pas notre langue maternelle et faire des erreurs ne doit pas nous complexer, c'est un éternel apprentissage et la maitrise de la langue nécessite des études approfondies.

                        Tu n'es pas obligé de vivre ce martyre que de corriger les mp!

                        De même pour l'arabe.


                        J'aimerais préciser que tes postes sont une accumulations de phrases non soutenues, par ce mélange anglais français.

                        On es les fonds de poubelles des langues.
                        Il n’y a rien de noble à être supérieur à vos semblables. La vraie noblesse, c'est être supérieur à votre moi antérieur.
                        Hemingway

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                        • #87
                          toi khatik, mais il y'a des kabylophones dans l'ouest de la wilaya 18 c'est eux qui nous intéresse ma ntouma nendbou aalikoum si tu savais
                          lamah tendeb, b3id echar alik( c'est tres mauvais de dire cela chez moi enddib est lié a la mort rabbi yehfedh)!!! pour le arch kabylophones des frontières pas de problème, on fera des échanges avec les arabophones du sud est de béjaia!!!


                          tolkien, la darija signifie le dialecte tout simplement,et c'est de l'arabe!!!

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                          • #88
                            River

                            a qui ? aux habitants des localités de kabyles (a cheval sur 7 wilaya : 15, 06, 10, 34, 35, 19 et 18).
                            T'es pas gourmand toi, et je sens une certaine hésitation , on dirait que tu voulais inscrire la suite de 1 a 48 , mais que tu craignais la réaction des uns et des autres, tu n'as pas tout a fait tord, les poches kabyles existent partout surtout que le recensement de la population ne prends pas en charge cette information .

                            Puisque tu semble un expert, quoique j'ai encore des doutes, comment feras tu pour detecter la bonne graine de la mauvaise , je veux voter, est ce que tu me crois sur parole que je suis kabyle ou tu me fais le coup du detecteur de mensonges , une machine développée par les américains.

                            Pour ton information, la langue kabyle n'existe pas, faut essayer de voir avec les responsables, tu sais ou les trouver n'est ce pas, dans les banlieues d'une célèbre capitale , alors je disais , les voir pour rectifier leur langage , faut pas s'étonner parce que ceux qui complotent ne se soucient que très peu de tels détails .

                            Et c'est quoi ta capitale . moi de Bougie je n'accepterai jamais que ceux de Tizi viennent faire la loi chez moi , une grande différence entre nous et eux , wach jab el jab !!!!

                            Commentaire


                            • #89
                              Une journaliste attaque Ouyahia en "français" parce qu'elle ne comprend le berbère

                              attaque stupide...

                              L'erreur incombe avant tout à la journaliste qui se plaint de ne pas comprendre le kabyle. Si le premier ministre ne prend pas la peine de répondre en français ou en arabe compris par l'ensemble des algériens, alors c'est que ce n'est pas si important que ça. Il ne faut même pas réagir à ce genre de comportements. si des berbérophones veulent faire la causette en pleine conférence de presse, il faut les laisser "s'éclater" et étaler leur fierté. il ne faut surtout pas réagir... c'est leur donner de l'importance...
                              Dernière modification par Vigilance, 02 octobre 2011, 15h23.
                              la curiosité est un vilain défaut.

                              Commentaire


                              • #90
                                khaténa ya khouyyé madekhelnache fe lahssabe dialekem
                                C'est ça la darija ! Et on devrai l'écrire comme toi c'est à dire en caractères latins, ça résoudrait bien des problèmes pour tout le monde !

                                Commentaire

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