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Karima Krim: «La vérité sur l'assassinat de Krim concerne tous les Algériens»

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  • #31
    Ya trop de speculations,incomber des choses sans preuves et sans temoignage solide......................ça ne tiend pas debout.
    ya que des hypotheses,des idees et de l'imagination pas plus.
    Les algeriens ,il vaut mieux etre avec eux que contre eux. Lucky Luciano

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    • #32
      Envie de savoir

      Quelqu’un, sur ce forum, peut-il nous raconter la jeunesse de Krim Velkacem et nous dire la raison qui l'a fait quitter sa région natale pour aller se cacher chez les Ath-Wagnun et se retrouver par la suite chef de guerre?

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      • #33
        Mais Krim Belkacem n'est pas blanc comme neige.
        qui peut se targuer dans une guerre d'etre "blanc comme neige"

        Un ancien maquisard me disait toujours en parlant de Krim qu'il a connu dans le maquis : " win trouh ya ketel errouh " ( où ira-tu, toi assassin ? "
        ben bela & co étaient aussi maquisards à "croire" certains

        Mais qui connait Arezki Krim, le frère de Velkacem lui aussi ancien maquisard ?
        et....?



        “Ben Bella a offert 400 millions en 1963 pour déstabiliser Krim Belkacem !”

        La deuxième édition du colloque sur Krim Belkacem organisée par la direction de la culture et l’APC d’Ait Yahia Moussa en collaboration avec l’association Tarwa n’Krim Belkacem s’est ouverte hier, à la maison de la culture Mouloud Mammeri de Tizi Ouzou.

        En plus de l’expositions ouverte au public, une conférence débat sous le thème " le militantisme et le rôle de Krim Belkacem avant le déclenchement de la guerre de libération (1945-1954)” a été donné en présence des membres de la famille Krim.

        En marge de ce colloque, Arezki , le frère de Krim Belkacem a déclaré à la Dépêche de Kabylie que la mémoire de tous ces hommes qui ont fait l’histoire du pays doit être entretenue pour que les générations montantes ne sombrent pas dans l’amnésie.

        De son frère Belkacem qui fut l’un des artisans de la révolution algérienne et qui aspirait à voir l’Algérie vivre dans une démocratie, Arezki Krim dit se souvenir de l’homme engagé dès le jeune âge dans la lutte pour le recouvrement de l’indépendance " j’étais jeune à l’époque et on n’a avait pas beaucoup d’occasion pour voir Krim Belkacem car il était dès 47 un maquisard " dira notre interlocuteur .

        Ce dernier ajoutera " il était un visionnaire. Il ne nous disait jamais ce qu’il faisait pour préserver les secrets de la lutte .Je savais beaucoup plus sur Oumrane , un grand militant , que je rencontrais quand Krim me demandait de lui porter la nourriture au maquis . Dommage que des gens comme Oumrane soient oubliés. " .

        Quel souvenir garde- t-il de son frère ? Arezki dit que Krim lui a laissé trois choses qui restent à ce jour comme une trace du militant " j’ai toujours la Mat 49 du 1er Novembre utilisé par Krim , un stylo daté du 19 mars 1962 et un emblème national .

        " Regrettant toutes les œuvres " malveillantes " visant à salir la mémoire de son frère ,
        Arezki Krim dira sur l’affaire Abane " il n’y a jamais eu de problème entre la famille Abane et Krim . C’est de la pure intox qui vise à salir la mémoire d’un grand militant de la révolution algérienne. C’est dommage. C’est le sort réservé à plusieurs cadres de la Kabylie, Abane, Amirouche et Krim.

        Si ce dernier avait l’intention de participer à l’assassinat de Abane, il n’aurait jamais fait le déplacement au Maroc.

        " Et d’ajouter " en 1963, Ben Bella a offert à des gens de Tizi Ouzou 400 millions rien que pour continuer leurs œuvres de désinformation pour salir la mémoire de Abane et déstabiliser Krim Belkacem .

        Pour la famille Krim, le dossier est clos et la page de la polémique est définitivement tournée ".
        Arezki Krim a souhaité que les acteurs, les vrais comme il le dira, écrivent l’histoire pour que les nouvelles générations puissent connaître la véritable histoire de ces grands hommes qui ont sacrifié leurs vies pour le recouvrement de l’Indépendance.

        A.Z.

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        • #34
          une dent contre Krim Belkacem ?

          Envie de savoir
          Quelqu’un, sur ce forum, peut-il nous raconter la jeunesse de Krim Velkacem et nous dire la raison qui l'a fait quitter sa région natale pour aller se cacher chez les Ath-Wagnun et se retrouver par la suite chef de guerre?
          pourquoi donc cette question puisque tu en "connait" la "réponse".

          http://www.algerie-dz.com/forums/sho...93&postcount=2

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          • #35
            Ce dernier ajoutera " il était un visionnaire. Il ne nous disait jamais ce qu’il faisait pour préserver les secrets de la lutte .Je savais beaucoup plus sur Oumrane , un grand militant , que je rencontrais quand Krim me demandait de lui porter la nourriture au maquis . Dommage que des gens comme Oumrane soient oubliés. " .
            Pour Ouamrane, c'est la verite, il est plus ou moins tombe dans l'oublie malgre son immense role au debut de la guerre.

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            • #36
              Pour Ouamrane, c'est la verite, il est plus ou moins tombe dans l'oublie malgre son immense role au debut de la guerre.
              Pas pour tout le monde, Vou karou reste très connu en kabylie.


              Pour l’histoire officiel, c'est tout les participants du congrès du Soumam qui tombe dans l'oublie, tout les colonels de l'intérieur.
              شبابنا ساهي متزنك في المقاهي مبنك

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              • #37
                Pas pour tout le monde, Vou karou reste très connu en kabylie.
                Sans doute, je parle de ma region (Wilaya 4), il y a eu un role tres tres important au debut de la guerre, ce sont ses maquisards qui ont execute les attaques contre les francais dans la Mitidja la nuit de la Toussaint et il prendra officiellement la tete de la Wilaya apres l'arrestation de Bitat.
                P.S: BOu karou, ca veut dire bou rass c'est ca?
                Dernière modification par absent, 20 mars 2012, 13h07.

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                • #38
                  P.S: BOu karou, ca veut dire bou rass c'est ca?
                  la traduction littéraire(Bou rass) est correcte , chez nous c'est un synonyme de têtu
                  شبابنا ساهي متزنك في المقاهي مبنك

                  Commentaire


                  • #39
                    né le 14 décembre 1922 à tizra n'aissa, au douar de ait yahia moussa, région de draa El mizan, issu d'un milieu payasan dont le pére devient caid, le petit belkacem grandi dans les conditions que les gosses de kabylie, peu de soins, peu de vétements, pas chaussure encore, moins de jouet! mais entouré d'une affection maternelle débordanre.
                    Krim accompli ses études primaires à l'école Saroui (Alger) l'année 1936 sera pour le négociateur d'évian, une année crucial.il passe successivement le certificat d'etudes, et il attend d'étre sélectionné pour poursuivre ses études dans les cours complémentaires, mais une malencontreuse angine l'oblige à ne pas passer son éxamen. pour cela, krim ne fera pas d'études d'études primaires supérieures. le directeur de l'école, M. herbelin,décide de le renvoyer.il rentre dans son douar, sans projet d'avenir.
                    en 1940, krim va travailler comme sécrétaire à la commune mixte de draa elmizan, mais ses relations sont d'emblée mauvaises avec l'administrateur . a la fin de la méme année, son pére décide de mettre fin au célibat de son fils, krim accepte. et le choix de son pére s'est porté sur la fille d'une famille riche de douar maatka.
                    au début du printemps 1941, aprés une sérieuse dispute avec l'administrateur, krim quitte draa el mizan et rentre donc au village natal.Dés 1942, krim commence à sensibiliser tous les jeunes de son douar.
                    le 1 juillet 1943, krim est incorporé dans l'armée à laghouate . le 4 mai 1944, on l'envoie à blida. le 26 novembre, il est nommé caporal, le 1 juillet 1945 il est affecte au premiér RTA (régiment de travailleurs algériens).le 4 octobre, il est nomé caporal chef.Ces deux ans et demi passé au régiment marque une étape décisive dans la vie de krim.C'est à la fin de son service qu'il décide de se consacrer à la vie militante et ses idées vont l'amener dans les rangs du PPA.
                    le 4 mars 1948, le tribunal correctionnel de Tizi Ouzou l' condamné à deux ans de prison par défaut, pour atteinte à la souvraineté française!Ce n'est qu'un début pour son casier qui s'ouvrira de plusieurs condamnations à mort par contumace.
                    le 3 juin 1954,à la réunion entre les (six chefs historiques ) du CRUA, le découpage géographique des zones est établi. Krim s'est confié la responsabilité de la Kabylie.

                    voila l'histoire de Krim monsieur (MAK)le kabyle digne.
                    Dernière modification par wilams, 20 mars 2012, 18h42.
                    Éclairer les nations encore obscures.

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                    • #40
                      Quelqu’un, sur ce forum, peut-il nous raconter la jeunesse de Krim Velkacem et nous dire la raison qui l'a fait quitter sa région natale pour aller se cacher chez les Ath-Wagnun et se retrouver par la suite chef de guerre?

                      ......Les autorités s'inquiètent de l'activité de la bande. On va créer des milices kabyles qui les traqueront avec l'aide des caïds et de leurs protégés. Puisque la population soutient ces hors-la-loi, tant pis pour elle. Perquisitions, arrestations, interrogatoires se succèdent. En vain. Krim court toujours et plus que jamais. Et la population des douars de cette partie de la Kabylie fait connaissance, avant l'heure, avec ce que sera la vie atroce de l'Algérien moyen, du fellah, pendant la guerre d'Algérie. La population a peur. Krim semblait bien sympathique, bien sûr qu'il a raison quand il parle mais il amène tous ces ennuis. Les milices qui viennent n'importe quand, les jeunes qui veulent tout casser, qui veulent partir. L'antagonisme qui a opposé Krim à son père se retrouve dans maintes familles de Kabylie.

                      Le père de Belkacem n'est d'ailleurs pas au bout de ses ennuis. On l'a convoqué. On est brave avec lui. Pour l'instant.
                      « On vous connaît, monsieur Krim, vous nous avez bien servis. Vous avez été un bon caïd, mais c'est de votre fils que tout le malheur vient...
                      — Ah ! je le lui avais bien dit, gémit le vieillard.
                      — Alors, livrez-le. C'est dans son intérêt. C'est ce qui peut lui arriver de mieux avant qu'il ne fasse de grosses bêtises. Et la population sera délivrée. Elle a peur, vous le savez bien, et elle risque de s'en prendre à vous, à votre famille, à votre maison. On peut vous tenir pour responsable. Ils vont tout démolir... »

                      Si l'administrateur tient pareil langage c'est qu'il sait qu'une milice est en train de tenter de dresser la population contre la famille de Krim. On s'assemble aux alentours de la maison. C'est l'intimidation. Que faire ? Où est Krim ? Il ne revient que tous les deux ou trois mois chez lui pour embrasser les siens. Une nuit au maximum. Mais le hasard veut qu'il ait quitté l'autre partie de la Kabylie à laquelle il s'est attaqué pour venir voir les siens. Il arrive ce même soir au douar Ouled-Yahia-Moussa. Son père, affolé, lui explique la situation. Belkacem est fou de rage.
                      « Jamais je ne me rendrai ! crie-t-il, si vous avez peur, alors chassez-moi. »
                      Protestation de la famille qui l'entoure. Au fond, tout le monde en est fier ! On lui sert à manger, on l'embrasse. Il partira à l'aube..
                      Il se rend à Alger et demande conseil aux responsables du P.P.A. « Prends ta décision seul », lui dit-on.

                      Voyant que le chantage auprès du vieillard n'a pas réussi, les gendarmes ordonnent le boycottage, la mise en quarantaine de la famille Krim. Personne n'a le droit de travailler pour elle, ni même d'adresser la parole à l'un de ses membres sous peine de prison !

                      « On ne pourra pas faire la récolte ! » Le vieux Krim, le sage président de la djemaa, de l'assemblée de village, voit les gens du douar, qui hier lui témoignaient leur affection et leur respect, faire un détour dans la campagne pour ne pas le saluer, pour ne pas lui adresser la parole ! Le vieux est atterré mais les événements ne lui laissent pas le temps de réfléchir sur l'ingratitude humaine.

                      « J'ai hésité, j'ai revu en un instant ma courte vie de militant. J'étais né comme ça. Tout gosse, je ne pouvais comprendre cette discrimination. J'ai été à l'école Sarrouy a Alger, j'ai passé le certificat d'études européen, puis le certificat "indigène" plus facile. Pourquoi déjà français-indigène ? Aux chantiers de jeunesse, plus tard, je suis secrétaire. C'était à Laghouat, je devais écrire les noms des Européens en bleu et ceux des musulmans en rouge. Je crois que c'est cette image de liste bicolore qui m'a décidé. Cela va peut-être vous paraître stupide mais elle m'a rendu enragé. Mon frère est revenu d'Europe avec des médailles et les pieds gelés ! Là-bas on est bien égaux. Pourquoi pas ici ? J'ai pris contact avec le P.P.A. et rentrant chez moi je me suis attaqué à cette immense zone vierge qu'était la Kabylie pour y développer l'idée nationaliste. Je quittais la maison le soir après dîner et je ne rentrais qu'à 4 heures du matin. Mon programme était simple. Je disais aux jeunes : la dignité humaine n'a pas de prix. On ne doit pas accepter l'humiliation quotidienne. Il faut secouer les joueurs de dominos, les fumeurs, les buveurs d'alcool. Il faut nous libérer. En un an j'avais organisé plusieurs jeunes en cellules de 4 hommes. Je travaillais en même temps chez mon père à distribuer les vivres dont il était dépositaire. Je faisais l'apprentissage de la vie semi-clandestine. »

                      Krim Belkacem et ses hommes ont décidé de passer à l'action, de punir ceux qui mènent les milices et participent à la mise à l'index de sa famille, qui perquisitionnent méthodiquement les mechtas. Ils dressent une embuscade contre le caïd et le garde champêtre. Le caïd est le propre cousin de Krim, l'homme qui disait « le troupeau de moutons... », la vengeance sera double ! L'embuscade est tendue à 2 km de Dra-el-Mizan. Le garde champêtre Aomar Mohamed est tué, le cousin, l'agha Dahmoun Slimane, échappe de justesse. C'est le coup de tonnerre en Kabylie. Krim Belkacem a franchi le pas. Il ne s'agit plus d'activités antifrançaises où il risque un ou deux ans de prison. Il est passé à la lutte armée. Il sera condamné à mort par contumace. Pour lui et ses hommes la révolution armée commence. Pourtant cela ne fait pas l'affaire du M.T.L.D. Krim a dépassé le parti, qui, pour l'instant, ne veut pas d'incidents de ce genre. Messali veut jouer le jeu parlementaire. Mais chez le jeune Kabyle l'esprit traditionnel a pris le dessus sur la politique. « Parti ou pas parti, dit-il, on ne peut pas nous empêcher de régler nos comptes avec nos ennemis. Cela s'est toujours fait chez nous ! ».
                      Ce n’est pas parce qu’on a des idées fondées sur la religion qu’on est terroriste, et ce n’est pas parce qu’on se prétend moderniste ou démocrate qu’on ne l’est pas. Mahiou FFS assassiné le 4/11/1994

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                      • #41
                        foutaise ce "Procès-verbal"

                        Citation:
                        Procès-verbal :
                        Nous, soussignés colonels :
                        Mahmoud Cherif, ancien chef de la wilaya I ;
                        Lakhdar Bentobal, wilaya 2 ;
                        Krim Belkacem wilaya III ;
                        Amar Ouamrane, wilaya IV ;
                        Abdelhafid Boussouf, wilaya V.
                        Considérons que Abane Ramdane manifeste un comportement indiscipliné, négatif, qu’il dénigre le CCE (comité…), attitude qui gêne l’activité et l’autorité du CCE dans son action. Que dans ces conditions, si Abane continue dans son comportement malgré les avertissements, il sera emprisonné en Tunisie et si nécessaire au Maroc, au cas où ces mesures seraient insuffisantes, l’exécuter. Lakhdar Bentobal fait des réserves quant à l’exécution disant qu’une condamnation à mort ne peut être prononcée que par un tribunal militaire avec audition de l’intéressé et droit à la défense. Document signé des cinq (en 5 exemplaires, 1 pour chacun). »


                        la version du "temoin" confectionnée de toutes pieces pour faire endosser cet assasinat à Krim

                        un livre qui en dit long sur ses assassins
                        "Abane Ramdane, le faux procès" de Khalfa Mameri
                        __________________
                        si tu as l'habitude de ne lire, que ce qui va dans le sens de tes désirs et te gaver de "foutaises" comme tu dis , il y a des dizaines de livres qui sont écrits par des journalistes comme celui que tu cites. L'Histoire il faut la chercher chez les Historiens, et encore faut-il qu'ils soient honnètes et impartiales.
                        Ce n’est pas parce qu’on a des idées fondées sur la religion qu’on est terroriste, et ce n’est pas parce qu’on se prétend moderniste ou démocrate qu’on ne l’est pas. Mahiou FFS assassiné le 4/11/1994

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                        • #42
                          @Khaly

                          ...
                          Krim Belkacem et ses hommes ont décidé de passer à l'action, de punir ceux qui mènent les milices et participent à la mise à l'index de sa famille, qui perquisitionnent méthodiquement les mechtas. Ils dressent une embuscade contre le caïd et le garde champêtre. ...
                          Merci pour cet extrait qui donne quelques pistes recoupées mais qui est très orienté pour glorifier Krim.

                          Des gens de Drâa-el-Mizan racontent que Krim Velkacem avait postulé pour le poste de garde-champêtre. Il n'avait pas été pris. Il s'en était pris, sous la protection d'Arezki El-Hadj, le responsable PPA de la région, aux caid et garde-champêtre.

                          Par la suite, pour échapper à la recherche des gendarmes, c'est Arezki l'hadj qui s'était chargé de trouver un refuge au jeune Krim .

                          PP.

                          Commentaire


                          • #43
                            les mak-istes parlent aux mak-istes

                            avec tout le respect que l'ont peut donner à maitre Mabrouk Belhocine
                            et à Lakhdar bentobal malgré ce qui lui incombe historiquement

                            ce document "wordisé" émane de maitre Belhocine qui tend à disculper Lakhdar bentobal dans cette affaire en precisant qu'il était opposé en décembre 1957 à l’élimination physique de Abane.

                            encore une fois
                            nous n’étions pas présents et combien même aurions nous fait mieux?
                            aussi personne n'est blanc comme neige dans une guerre

                            quand à ceci:

                            si tu as l'habitude de ne lire, que ce qui va dans le sens de tes désirs et te gaver de "foutaises" comme tu dis
                            retener vous et garder votre sang froid "mr" ab
                            Dernière modification par misn'thmourth, 21 mars 2012, 07h04.

                            Commentaire


                            • #44
                              Arezki Krim dira sur l’affaire Abane " il n’y a jamais eu de problème entre la famille Abane et Krim . C’est de la pure intox qui vise à salir la mémoire d’un grand militant de la révolution algérienne.
                              est ce qu'il y en aurait eu entre la famille de Krim et celles de Mahmoud Cherif ? Ammar Ouamrane ? L. Ben Tobbal ? A. Boussouf ? et encore moins Boumediene qu'on mêle à ttes les sauces.

                              Si ce dernier avait l’intention de participer à l’assassinat de Abane, il n’aurait jamais fait le déplacement au Maroc.
                              cela est donc aussi valable pour les autres.

                              Pour la famille Krim, le dossier est clos et la page de la polémique est définitivement tournée ".
                              Cela veut-il dire qu'elle connait la Vérité ? si, oui , pourquoi ne pas en faire part à tous les algeriens qui veulent connaitre l'Histoire de leur pays ?
                              Ce n’est pas parce qu’on a des idées fondées sur la religion qu’on est terroriste, et ce n’est pas parce qu’on se prétend moderniste ou démocrate qu’on ne l’est pas. Mahiou FFS assassiné le 4/11/1994

                              Commentaire


                              • #45
                                L'assassinat de Krim Belkacem à Frankfurt est un crime dont la responsabilité incombe au pouvoir despotique, plus particulièrement à Bouteflika et Boumédienne, respectivement ministre des affaires étrangères pour l'un et chef d'état pour l'autre.

                                Mais Krim Belkacem n'est pas blanc comme neige. Son premier crime remonte à l'époque de son refuge chez les Ath-Wagnun. N'avait-il pas fait assassiner Rabia Ali dit AZZOUG, le responsable PPA de la région ?

                                Par la suite, dans la crise dite berbériste, n'avait-il pas ordonné l'élimination de certains éléments très actifs pour la cause identitaire à l'image de Benai Ouali ?

                                Dans l'affaire Abane, il ne pouvait pas ignorer le sort funèbre si-non comment expliquer le fait qu'il avait laisser Abane partir seul avec Boussouf et ses hommes .

                                Un ancien maquisard me disait toujours en parlant de Krim qu'il a connu dans le maquis : " win trouh ya ketel errouh " ( où ira-tu, toi assassin ? "

                                Mais qui connait Arezki Krim, le frère de Velkacem lui aussi ancien maquisard ?

                                PP.
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                                J'ai entendu parler de cette histoire et la manière avec laquelle il a été trempé puis assassiner...scenario très rusé et diabolique pour le liquider.
                                la « wilaya 3 », Kabylie, « la tête et la mère de toutes les wilayas ».

                                Capitaine Alain de Sédouy

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