Annan s’adresse au Maroc : L’Algérie ne doit pas y être impliquée
mercredi 28 juin 2006.
La position de l’Algérie à l’égard du conflit au Sahara-Occidental de « Claire » qualifie le secrétaire général des de l’ONU, Kofi Annan
Avant d’ajouter en s’adressant implicitement au gouvernement marocain : « on doit accepter l’Algérie comme un pays voisin, qui ne doit pas être impliqué dans cette affaire (Sahara-Ocidentale ».
Lors d’une conférence de presse, animée en marge de l’inauguration des travaux du Conseil des droits de l’homme, à Genève, et en réponse à la question d’un journaliste marocain sur la position de l’Algérie concernant le dossier du Sahara-Occidental, Kofi Annan a déclaré « le position de l’Algérie est claire, et j’ai dit qu’elle ne fait pas partie du conflit. C’est un pays voisin, prêt à aider et à discuter, mais ne doit en aucun cas être impliqué dans cette question ».
Cette position est considérée par certains observateurs comme un recul, de la part de Annan, par rapport à la partialité qu’il avait affiché, faveur du Maroc, dans son rapport sur le Sahara-Occidental, remis au Conseil de Sécurité de l’ONU en avril dernier. Le rapport qui a été rejeté par les sahraouis est qui a fait l’objet de critiques de la part de différents cercles.
Le Secrétaire Général des Nations Unis a affirmé qu’il suit de près la question du Sahara-Occidental, sur laquelle le Conseil de Sécurité se penche toujours, et Sécurité y travaille encore.
D’autre part, le mouvement « En Avant » et le parti « Voie Démocratique », tous deux marocains, ont réitéré leur soutien au droit saharaoui à l’autodétermination à par voie de référendum. Les deux partis ont organisé, dimanche dernier, une conférence sur la situation au Sahara-Occidental, avec la participation du Front Polisario.
H. Y. — El-Khabar
mercredi 28 juin 2006.
La position de l’Algérie à l’égard du conflit au Sahara-Occidental de « Claire » qualifie le secrétaire général des de l’ONU, Kofi Annan
Avant d’ajouter en s’adressant implicitement au gouvernement marocain : « on doit accepter l’Algérie comme un pays voisin, qui ne doit pas être impliqué dans cette affaire (Sahara-Ocidentale ».
Lors d’une conférence de presse, animée en marge de l’inauguration des travaux du Conseil des droits de l’homme, à Genève, et en réponse à la question d’un journaliste marocain sur la position de l’Algérie concernant le dossier du Sahara-Occidental, Kofi Annan a déclaré « le position de l’Algérie est claire, et j’ai dit qu’elle ne fait pas partie du conflit. C’est un pays voisin, prêt à aider et à discuter, mais ne doit en aucun cas être impliqué dans cette question ».
Cette position est considérée par certains observateurs comme un recul, de la part de Annan, par rapport à la partialité qu’il avait affiché, faveur du Maroc, dans son rapport sur le Sahara-Occidental, remis au Conseil de Sécurité de l’ONU en avril dernier. Le rapport qui a été rejeté par les sahraouis est qui a fait l’objet de critiques de la part de différents cercles.
Le Secrétaire Général des Nations Unis a affirmé qu’il suit de près la question du Sahara-Occidental, sur laquelle le Conseil de Sécurité se penche toujours, et Sécurité y travaille encore.
D’autre part, le mouvement « En Avant » et le parti « Voie Démocratique », tous deux marocains, ont réitéré leur soutien au droit saharaoui à l’autodétermination à par voie de référendum. Les deux partis ont organisé, dimanche dernier, une conférence sur la situation au Sahara-Occidental, avec la participation du Front Polisario.
H. Y. — El-Khabar
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