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Technologie spatiale : l’Algérie dans la cour des grands

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  • #16
    Envoyé par houari16
    ALSAT-2 est le premier satellite d'observation algérien et en Afrique ..( collaboration anglaise )
    Les satellites Alsat-2A et Alsat-2B ont été conçu par Astrium Satellites (filiale du groupe européen EADS). Alsat-2A a été intégré en France et Alsat-2B sera intégré en Algérie par des ingénieurs Algéries et Européens.

    Le journaliste de l'APS a déliré en écrivant "l’Algérie dans la cour des grands" au lieu de rapporter les faits d'une manière objective. Il n'a par exemple à aucun moment précisé que le satellite Alsat-1 a été développé par le groupe anglais "Surrey Satellite Technology" et que les 2 satellites Alsat-2 ont été développé par une filiale d'EADS!

    Il est ridicule pour l'APS d'affirmer que "l'Algérie est dans la cour des grands" dans le domaine spatial. Le programme spatial algérien est à ses débuts et il faudra des années de R&D et des milliards de dollars d'investissements pour le rendre de classe mondiale.

    D'ailleurs, en allant dans le très modeste site de l'Agence spatiale algérienne (ASAL), il est impossible pour le citoyen algérien de voir une image intéressante prise par Alsat-2A (seulement une vingtaine de photos miniatures). Heureusement qu'il y a Google Earth ou Maps pour voir l'Algérie depuis le ciel!

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    • #17
      Comment vas-tu ? Eviasra
      Tant mieux ... mais c'est top secret (comme tout en Algérie ) alors ...

      Sérieusement, ce que je ne comprends pas ce sont les annonces pour craner alors que le Maroc à côté fait réellement des choses et à l'échelle internationale ... dans ce domaine.

      J'ai essayé de contacter le CRAAG,et d'autres ASAL pour en savoir plus : Il n'y a personne ... il y a un standardiste comme partout mais c'est tout ...


      Eviasra je n'étais pas au GPL : Gaz de Pétrole Liquéfié fait à partir du pétrole algérien que d'autres pays le fabriquent. J'étais au JPL pour l'instrumentation des missions qui vont faire de la science dans la banlieue de la Terre (radio-science et bien d'autre choses, même la science vulgarisée pour les petits Américains )

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      • #18
        aloha , nous sommes dans un forum algérien c'est normal de parler des progrés que fait le pays

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        • #19
          il est impossible pour le citoyen algérien de voir une image intéressante prise par Alsat-2A (seulement une vingtaine de photos miniatures)
          Nassim si le satellite a été lancé c'est pour acquérir des images et les vendres, a quoi bon de lancé un satellite pour mettre les images a la porté de tout le monde?

          Aloha ah d'accords j'ai cru que tu été au GPL

          Sérieusement, ce que je ne comprends pas ce sont les annonces pour craner
          bah ce qui nous interesse c'est l'algérie et cela c'est un bon point pour nous même si ce n'ai que le début!

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          • #20
            Je parle : Justement ! sincèrement, honnêtement, parfois avec fierté, de l'Algérie c'est mon pays aussi ! Non ? et le pays de mes enfants ...
            C'est facile de faire des annonces de com de faire des bilans statiques et sans lendemains ...Je les connais assez bien les oiseaux maintenant ...
            Dernière modification par Aloha, 06 juillet 2012, 15h51.

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            • #21
              Envoyé par eviasra
              a quoi bon de lancé un satellite pour mettre les images a la porté de tout le monde?
              L'ASAL est une agence publique financée avec l'argent public. Elle doit avant tout être au service du peuple algérien. Elle doit donc publier des images de grande qualité à destination du public algérien dans le cadre d'une stratégie nationale de vulgarisation scientifique. C'est important pour informer et encourager les jeunes algériens à s'intéresser aux sciences. C'est ce que fait la NASA par exemple.

              Vu l'incompétence pathétique des responsables de l'ASAL, les Algériens n'ont d'autres choix que de se tourner vers des sources étrangères pour voir des images satellites de l'Algérie.

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              • #22
                Bonjour^^

                Nassim:
                Envoyé par Nassim
                L'ASAL est une agence publique financée avec l'argent public. Elle doit avant tout être au service du peuple algérien.
                tout à fait juste, sauf que:
                Elle doit donc publier des images de grande qualité à destination du public algérien dans le cadre d'une stratégie nationale de vulgarisation scientifique. .......
                C'est important pour informer et encourager les jeunes algériens à s'intéresser aux sciences. C'est ce que fait la NASA par exemple.
                Ce n'est pas LA seule façon de faire. l'ASAL a un programme de vulgarisation dédié et déjà entamé depuis 2006, appelé "EDUCSPACE" en partenariat avec le ministère de l'éducation et le mouvement associatif culturel. pour résumer, c'est l'ASAL qui s'approche du grand public, sollicite leur curiosité et leur intérêt. et ça s'étend sur tout le territoire, jusqu'au fin fond du sahara. Dans ce contexte, je pense que résumer la vulgarisation en la publication d'images satellite sur le web et juger l'effort sur dans cette perspective est un peu réductionniste.

                D'un autre coté, on a un problème de rentabilité et d’efficacité, prenons l'exemple d'ALSAT 1 qui a une durée de vie de 5 ans principalement limitée par le système énergétique, si on le sollicitait pour des missions grand public, cette durée de vie se trouvera drastiquement réduite à plus de la moitié. ce qui n'est pas tolérable pour un premier satellite.

                Enfin, une autre contrainte , celle de la résolution des images de ces premiers satellites en mode couleur (indiqué pour une opération de vulgarisation), qui n'est pas très poussée (32m pour Alsat 1 si je ne me trompe pas). quand aux autres types d'images elles sont trop techniques pour pouvoir accrocher l'interêt de novices.

                Je pense donc qu'avec les moyens et les conditions dont on dispose, cette agence est à la hauteur coté programme public. et sans doute on verra d'autres formes d'actions quand le contexte sera moins contraignant.

                à propos du programme EDUCSPACE, lu sur le site web de l'ASAL:
                Le Programme EDUCSPACE
                Le projet « EDUCSPACE » est une action pédagogique de vulgarisation des technologies spatiales engagé, en collaboration avec le ministère de l’Education au profit des lycéens et de la jeunesse.



                Cette action vise les objectifs suivants :
                1. informer et sensibiliser les jeunes lycéens sur les sciences et technologies de l’espace ;
                2. informer sur l’apport des techniques spatiales à la connaissance des ressources naturelles et à la protection de l’environnement dans le cadre du développement durable;
                3. contribuer de façon active à la culture scientifique et technique des lycéens en exploitant leur attrait aux sciences de l’espace.


                2004-2009, l’action a touché plusieurs établissements notamment au niveau des établissements scolaires des régions :
                1. Ouest (Arzew, Oran, Tlemcen, Ain -Temouchent),
                2. Est (Constantine, Souk-Ahras)
                3. Sud (Ghardaïa, Tamanrasset)
                4. Centre (El-Biar, Kouba, Bouzaréah, Draria,Beni Messous)


                Programme
                Le programme proposé est présenté sous forme de conférences, des projections d'images et d’illustration suivit de débat, animé par des experts de l'Agence Spatiale Algérienne et des chercheurs du Centre des Techniques Spatiales d’Arzew, couvre à savoir :
                1. Télédétection et applications
                2. Les satellites d’observation de la terre
                3. ALSAT-1

                Quelques photos: Désolé, pour des raison d’organisation, j'ai enlevé les photos, vous pouvez les visionner directement sur le site de l'ASAL.

                Scout club El Bayrouni El-Afroune Alger, le 24 juin 2009

                Lycée Zoulikha Ould Kablia Draria Alger, le 02 mars 2009

                Lycée Cheikh Amoud.W de Tamanrasset, le 01 decembre 2008


                Lycéens de l'etablissement Abdelmalek Temmam Kouba Alger, le 05 mars 2007

                Les lycéens des établissements de la wilaya de Tlemcen, le 11decembre 2006
                Séminaires et Rencontres
                >> Actes de séminaires
                Vulgarisation
                >> Galerie photos
                Dernière modification par GLP, 06 juillet 2012, 20h26.
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                • #23
                  Nassim:
                  Les satellites Alsat-2A et Alsat-2B ont été conçu par Astrium Satellites (filiale du groupe européen EADS). Alsat-2A a été intégré en France et Alsat-2B sera intégré en Algérie par des ingénieurs Algéries et Européens.

                  Le journaliste de l'APS a déliré en écrivant "l’Algérie dans la cour des grands" au lieu de rapporter les faits d'une manière objective. Il n'a par exemple à aucun moment précisé que le satellite Alsat-1 a été développé par le groupe anglais "Surrey Satellite Technology"
                  Pourtant, j'ai lu :

                  "Alsat 1", le premier satellite algérien, a fait partie d’une série de cinq microsatellites lancés dans le cadre d’une constellation internationale dite DMC (Disaster Monitoring Constellation).......

                  Dans ce cadre, une équipe de onze ingénieurs du Centre national des techniques spatiales (CNTS), basé à Arzew, ont été formés au Surrey satellite technology limited (SSTL), en Grande Bretagne.

                  "Alsat 1" a été construit dans la même université, lors d’un transfert de savoir faire technologique.
                  ou est-ce que je t'aurais mal compris Nassim ?

                  Il est ridicule pour l'APS d'affirmer que "l'Algérie est dans la cour des grands" dans le domaine spatial. Le programme spatial algérien est à ses débuts et il faudra des années de R&D et des milliards de dollars d'investissements pour le rendre de classe mondiale.
                  Il n'y a rien de ridicule, on est bien dans cette court, disons qu'on vient d'ouvrir la porte et entrer. et ce à la 6eme année d'un programme s'étalant sur 26 ans. notre prochain assemblage 100% DZ d'un satellite à la 8 eme année. on a 86 projets opérationnels d’application spatiale à mettre en œuvre et huit systèmes spatiaux à concevoir et à réaliser, dont le financement de 82 milliards de dinars a été arrêté et les premières équipes formées, les infrastructures et la logistique prête, les contrats avec les principaux acteurs dans ce domaine conclues (usa, chinois britanniques et russes).

                  Qu'est-ce qui manque au tableau ? le temps. et certainement plein d'autres choses, mais pourquoi on s’intéresse à la littérature d'un journaliste ?

                  xenon:
                  Bonjour GLP
                  les efforts dans le domaine des techniciens et des responsables sont louables et à encourager , mais il ne faut pas non plus que les journalistes nous racontent des histoires à dormir debout .

                  Une nation qui maîtrise la technologie spatiale se doit de maîtriser de manière autonome tout le processus lié à la conception ,fabrication , montage , lancement voir récupération de l'ensemble des éléments liés à cette entreprise ..
                  Il ne faut pas non plus lire ce qui n'est pas écrit.

                  Le journaliste précise qu'on est entré dans la cours des grands, celle des pays maitrisant la technologie spatiale. il ne dis pas qu'on maitrise tout le processus, ni qu'on est autonomie ou encore à la pointe dans ce domaine.

                  Déjà maitriser la gestion d'un satellite est une des technologies spatiales, et on est autonomes sur ce plan. même chose pour l'exploitation.

                  en 2014 déjà on assemblera un satellite au CDS de Bir El Djir. ce qui est l'etat des choses un peu partout dans le monde. (assemblage).

                  Alors, tout en étant d'accord avec ta prudence, je crois qu'il n y a rien de pompeux dans cette phrase, on est bien dans cette court là, on maitrise bien certaines technologies de ce domaine.

                  Aloha: si tu peux te déplacer au sud de l’Algérie, je t'inviterai volontiers à Ouargla, il y aura ce Ramadhan (j'ai oublié la date précise) des portes ouvertes sur le centre spatiale qui contrôle d'Alsat 2A.
                  Dernière modification par GLP, 06 juillet 2012, 21h06.
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                  Commentaire


                  • #24
                    Apparemment beaucoup ne connaissent pas vraiment l'ASAL.


                    DEUX SATELLITES ALGERIENS EN ORBITE ET LE TROISIÈME ENTIÈREMENT REALISE À ARZEW


                    VISITE AU CENTRE NATIONAL D'ÉTUDES SPATIALES

                    Le programme spatial national Alsat-2, qui ambitionne de doter l’Algérie de deux satellites très haute résolution pour ses besoins en communications satellitaires et d’observation scientifique du territoire, poursuit sa phase de réalisation. Conduit en partenariat avec l’Agence spatiale algérienne (Asal) et EADS Astrium, ce projet se concrétisera avec à la clé un transfert de compétence et de savoir-faire entre le maître-d’œuvre et le Centre national d’études spatiales d’Arzew (CNTS), rattaché à l’Asal, qui en assurera l’exploitation. Afin d’en savoir plus sur ce centre qui sera responsable du programme Alsat-2 nous nous sommes rendu au chef-lieu de la daïra d’Arzew, à environ 30 km à l’est de la ville d’Oran, où est implanté cet important centre des techniques spatiales.

                    Créé en 1987, ce centre portait à cette époque le nom du CNTS (Centre national des techniques spatiales). Avant 1987, le site où le CNTS a été érigé, était en fait l’Ecole nationale des sciences géodésiques. C’est en 2007 que le nom du CNTS a été changé pour devenir actuellement le CTS. L’on saura que jusqu’en 2007, ce centre a formé dans ses domaines de compétence 721 ingénieurs d’Etat et 153 magistères. Selon M. Madani Aarizou, le directeur du centre, le CTS est une entité opérationnelle relevant de l’Agence spatiale algérienne (Asal).

                    Une formation de qualité

                    Concernant la formation, ce centre forme, par le biais de son département dit de formation et d’information, en moyenne 35 ingénieurs (de diverses spécialités) et 35 techniciens supérieurs par an. Au bout de cinq ans (durée nécessaire pour la formation d’un ingénieur) 2 techniciens sont formés parallèlement à la formation des ingénieurs puisque la formation d’un technicien supérieur ne nécessite que 2 ans et demi. Le CTS assure également des formations de post-graduation, des formations à la carte et initie des cadres attachés aux diverses administrations à l’usage des produits livrés (des produits développés au niveau du centre au profit des administrations et autres institutions). Concernant le cycle ingénieur, «son objectif est de former des ingénieurs polyvalents destinés à concevoir, diriger et contrôler l’exécution des travaux de géodésie, de photogrammétrie, de topographie et de cadastre», nous explique-t-on.

                    Cependant, «le cycle de technicien supérieur a pour objectif de former des TS destinés à l’exécution des travaux de topographie, topométrie, géodésie, photogrammétrie, cartographie et de cadastre». Concernant la formation de post-graduation, il existe deux spécialités : magistère techniques spatiales et application (géotique, géodésie et télédétection) et magistère instrumentation spatiale (télécommunication spatiale et technologie des satellites). C’est avec fierté que le directeur du CTS dira : «Il nous arrive des fois de recevoir des chefs de grandes entreprises qui viennent pour convaincre à tout prix nos étudiants à intégrer leurs sociétés dès qu’ils arrivent au terme de leurs formations, en leur proposant des présalaires et autres offres, c’est parce qu’ils sont au courant de la qualité de formation que nous dispensons ici.»

                    Un GPS de la ville d’Oran de très haute précision.

                    Le directeur du centre nous explique que le CTS dispose pour remplir cette mission de cinq divisions de recherche : observation de la Terre, instrumentation et mécanique spatiale, géodésie, géomantique et télédétection. «Nous menons au niveau de ce centre des recherches et des études ciblées, visant à résoudre des problèmes affrontés sur le terrain par différents responsables et autres autorités locales», explique le directeur. Le directeur du centre nous explique également que le CTS «a réalisé de nombreux projets au profit des services de la direction des travaux publics (telle la mise en place d’un système de positionnement par satellite GPS de la ville d’Oran de très haute précision, le premier du genre en Algérie et qui devra être utilisé au terme de la formation des agents de la DTP dans le mois de décembre), ainsi que d’autres au profit du ministère de l’Intérieur (réalisation d’une carte géographique interactive qui affiche en temps réel, lors des élections, le taux de participation, coordonnés des différents centres de vote éparpillés un peu partout au niveau national, la position géographique de ces derniers, ainsi que d’autres paramètres.

                    Un travail qui permet également par la suite la sauvegarde de ces données pour qu’il soient utilisés ultérieurement en cas de nécessité, et ceci dans un délais record (environ 15 jours seulement)». Et de poursuivre : «De même que le CTS a mené des recherches relatives à l’étude des aléas sismiques, mouvement des plaques de sol ainsi que le mouvement du sable (problème de désertification menaçant les wilayas des hauts plateaux), feux de forêt, lutte anti-acridienne, ainsi que d’autres domaines.» Il précise : «Nous ne nous contentons pas de l’observation et de l’étude des problèmes rencontrés par ceux qui nous sollicitent, mais nous réalisons également des synthèses à la fin de chaque étude, là où nous proposons des solutions basées sur des analyses et des méthodes scientifiques.» Il ajoute : «Nous n’utilisons pas uniquement les photos et les données transmises par notre satellite (ALSAT 1), en cas de nécessité nous sollicitons également les services d’autres satellites étrangers et dans ce cas, la mission du CTS sera de traiter ces informations et de les utiliser afin de réaliser les projets qui nous sont confiés.»

                    Téléguider nos satellites à partir du territoire national

                    D’autre part, le centre spatial d’Arzew dispose d’une station au sol chargée de communiquer et de téléguider le satellite algérien Alsat 1. Lors de notre visite au centre en compagnie du directeur du CTS, le responsable de cette unité nous dira que «la mission de notre station au sol est de communiquer et de gérer le satellite en question. Ainsi, à l’aide de nos équipements (terminal ultra-sophistiqué chargé du traitement des données numériques transférées de la station, et des assiettes paraboliques dotées de têtes émettrices et réceptrices placées au-dessus du toit de ladite station), nous passons les commandes vers le satellite et recevons les données depuis ce dernier lorsqu’il est en vision, et ceci, pour répondre aux besoins des divisions de recherche relevant du centre en matière première (photos et données reçues dans leur état brut) (notamment la division : observation de la Terre), ainsi que pour surveiller l’état de santé du satellite (un travail qui se fait en étroite collaboration avec la division d’instrumentation et mécanique spatiales)». Le CTS coopère avec d’autres centres de recherche et d’études spatiaux de diverses nationalités, tel le CNES (Centre national d’études spatiales France : projet d’étude épidémiologique concernant le bassin méditerranéen), l’Angleterre (transfert de savoir entre SSTL et le CTS), l’Italie, l’Argentine, la Syrie ainsi qu’avec d’autres pays.


                    Alsat 2B entièrement réalisé à Oran

                    Deux ans après la fin théorique de sa durée de vie (estimée à 5 ans), Alsat 1, le premier satellite de propriété algérienne lancé avec succès le 28 novembre 2008 du cosmodrome de Plesetsk (situé à 800 km au nord de Moscou, Russie), fonctionne toujours et fournit des données assez importantes et stratégiques, qui après traitement au niveau du Centre des techniques spatiales algérien sont exploitées afin de servir au développement des différents secteurs du pays. Une tâche que chacun des futurs satellites algériens Alsat 2A et Alsat 2B, qui sont en phase finale de réalisation, devront assurer avec plus de précision. En fait, Alsat 1, comme l’expliquent les spécialistes, «est un satellite d’observation de la terre d’une masse de 90 kg , ayant été conçu et réalisé en partenariat avec Surrey Satellite Technologie Limited (SSTL) au centre spatial de Surrey, situé au Royaume- Uni, avec la participation de 11 chercheurs algériens dans le cadre d’un programme de transfert de savoir-faire entre SSTL et le CTS d’Arzew».

                    C’est la caméra multispectrale (rouge, vert, vert et proche infrarouge) qui équipe le satellite algérien Alsat 1 qui permet, d’après les scientifiques algériens, la prise de photos de haute résolution (32 m au sol) depuis une altitude avoisinant les 686 kilomètres au-dessus de la surface de la terre, que le CTS d’Arzew traite par la suite. Le satellite Alsat-2A, rappelons qu’il a été lancé le 12 juillet 2010, avec une résolution au sol de 2,5 m en mode panchromatique et de 10 m en mode multispectral, servira à différentes applications notamment la topographie, l'agriculture, la cartographie, le suivi de l'environnement. Si le satellite Alsat-2A est un satellite intégré et testé à l’étranger avec la participation de 29 ingénieurs algériens, le satellite Alsat-2B sera entièrement réalisé à Oran. Il est signaler que le programme Alsat-2 comprend également la mise en œuvre de deux segments au sol de contrôle et d'un terminal image permettant l'exploitation et le pilotage des satellites depuis le territoire algérien. Le programme spatial algérien sera couronné par le lancement d’un satellite de télécommunications, baptisé Alcomsat-1 qui permettra de rejoindre le cercle des nations possédant leurs propres satellites de télécommunications.

                    Médaf développement
                    "Les petits esprits parlent des gens, les esprits moyens parlent des événements, les grands esprits parlent des idées, et les esprits supérieurs agissent en silence."

                    Commentaire


                    • #25
                      @du31
                      .qui va croire qu'il font du genie genetique ou du spaciale???
                      Ah Parceque tu en doutes?
                      Dernière modification par massinissa, 06 juillet 2012, 21h14.

                      Commentaire


                      • #26
                        GPL Eviasra adore ton pseudo Elle fait des lapsus

                        Les photos et les actions que tu nous as montrées sont très bien ... cependant j'ai l'impression que chacun prêche dans sa cathédrale sans aucune cohérence ni volonté réelle ... au-delà de la COM
                        La science abordée dans cette institution semble être de la télédétection et la Télécommunication c'est déjà beaucoup vous me direz je ne n'arrive pas à savoir comment on y rentre et si on en sort

                        Qui la gère ? Le président de la république ?

                        Un jour j'avais rédigé une proposition et rencontré des responsables de la recherche chez nous. Ils ne savent pas ce qui s'y fait ... ni au CRAAG d'ailleurs ...

                        Une Agence spatiale est une institution qui fait la synthèse ... et qui doit être aussi ouverte que possible sur tous les domaines de la science, elle est pluridisciplinaire par nature ... et ouverte sur l'algérien non pas pour lui apporter mais pour en prendre aussi et en tirer profit (je peux détailler si besoin) ... et c'est ce que voulait probablement dire Nassim

                        Un brouillon mélangé au verbe craner (dans le vide spatial) nappé par les carriéristes, pseudo-industriels, saupoudré de quelques signatures de contrats avec des pays intéressés par l'argent et vous avez la situation actuelle ... Clairement une Khalouta qui peut attirer les rapaces de tout genre sauf les grands scientifiques qui font tout pour aider le développement de la science ...
                        Je dis cela ... non seulement devant ma déception mais devant la déception de très grands scientifiques ! Qui lorsque je les avais informé de ce que je voulais faire et que mon pays allait faire étaient tout contents et ready et m'ont promis des aides scientifiques... et en ouvrant leur institutions, académies aux jeunes algériens malheureusement la Khalouta, l’indifférence ... et parfois juste l'ignorance ont eu raison de mes modestes efforts ...

                        Tant mieux si tout va bien au pays ...

                        Commentaire


                        • #27
                          l ne faut pas non plus lire ce qui n'est pas écrit.
                          Saha GLP mon cousin du sud

                          sahbi on sait même pas fabriquer un "boulone" ; et l'autre journaleux nous dit qu'on est entré dans la cour des grands !!



                          Cordialement,
                          Dernière modification par xenon, 06 juillet 2012, 22h10.
                          ارحم من في الارض يرحمك من في السماء
                          On se fatigue de voir la bêtise triompher sans combat.(Albert Camus)

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                          • #28
                            Aloha
                            Les photos et les actions que tu nous as montrées sont très bien ... cependant j'ai l'impression que chacun prêche dans sa cathédrale sans aucune cohérence ni volonté réelle .
                            "Les petits esprits parlent des gens, les esprits moyens parlent des événements, les grands esprits parlent des idées, et les esprits supérieurs agissent en silence."

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                            • #29
                              Aloha, ton histoire me fait penser à cherif benmehrez, une pointure, un des premiers docteur d'état en électronique formé en france, usa.... il avait tant essayé comme au cdta.
                              "Vous avez voulu éviter la guerre au prix du déshonneur. Vous avez le déshonneur et vous aurez la guerre."
                              W.C

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                              • #30
                                Bonsoir Hassa Merci pour ton gentil message oui j'ai été d'abord formé par l'Algérie puis par la France et les USA

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