donc la seul voix d,anonymos vaut celle de tout le peuple algerien?donc la verité est toujours ailleurs chez l,autre chez l,etranger l,homme blanc intelligent!!!!!
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Anonymous défie le gouvernement algérien !
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Azul zwina,
Si ça pouvait remuer notre gouvernement pour une vraie démocratie.....
On peut l'obtenir différemment, il n y a pas que la violence qui permet d'accéder à la démocratie."If you can't say anything nice, don't say anything at all."
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Envoyé par cnehahahahahahaha ... j'attendrai le soutient de neo de matrix, ce clown ne m'inspire confiance
Envoyé par HorizonMoi j'ai vu celle d'Ironman qui demandait le rétablissement dans les meilleurs delais de thawra zira3ya et le changement de la capitale vers Ain Oussara----| GLP © production 1886 - 2016 . All rights reserved |----
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Bon, je crois que notre nouvelle organisation algerienne est venue au monde avec une tare (bien algerienne celle là), la 1-désorganisation 2-contradictoire (pour une organisation ! )!
voici un autre "Message N°1" qui trainait sur youtube !
Dernière modification par GLP, 02 janvier 2013, 04h01.----| GLP © production 1886 - 2016 . All rights reserved |----
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Quand Anonymous se prend les pieds dans l’#OpIsrael
© AFP
Si la vague de cyberattaques menées, la semaine dernière, contre des sites israéliens par les Anonymous semble sur le papier impressionnante, à l’heure du bilan, elle démontre surtout la faiblesse actuelle de ces cyber-activistes.
Par Sébastian SEIBT (texte)
Le tableau final a beau sembler impressionnant, les retombées le sont beaucoup moins. Cinq jours après le cessez-le-feu entre Israël et le Hamas, c’est l’heure du premier bilan de l’opération #OpIsraël que les cyberactivistes d’Anonymous ont menée pour dénoncer “les méthodes brutales” de Tsahal à Gaza. Et il n’est pas forcément flatteur.
Le site américain spécialisé dans la sécurité informatique Hackmaggedon a dressé, dimanche 25 novembre, une très complète chronologie des attaques informatiques menées par ces “hacktivistes”. Quantitativement, leur cyber-butin apparaît sans précédent pour une seule opération.
En une semaine, ces pirates informatiques agissant sous la bannière de l’OpIsrael assurent avoir réussi à faire fermer - même temporairement - plus de 10 000 sites israéliens. Ils ont, en outre, publié sur l’Internet les données personnelles (compte email et leurs identifiants) de près de 200 000 citoyens de l’État hébreu. Enfin, ils ont effacé les bases de données de plus d’une centaine de sites.
Cet imposant tableau de chasse semble contredire le ministre israélien des Finances, Yuval Steinitz, qui avait affirmé, le 18 novembre, qu’une seule attaque informatique “sur 44 millions de tentatives” avait abouti. Mais si la fanfaronnade israélienne a été un peu hâtive, la vague de cyberattaques est, en fait, bien moins impressionnante qu’elle n’en a l’air.
D’abord, difficile de trouver dans la liste à rallonge de pages web attaquées avec succès des sites prestigieux. Anonymous a eu beau revendiquer avoir eu la cyber-peau des ministères de l’Industrie et des Affaires Étrangères, ces sites ont rapidement refait surface. Seul celui de la Bank of Jerusalem est encore absent du web. Pour le reste, il s’agit de sites vitrines de ce que le magazine américain Time appelle “des petites entreprises à papa ou maman”. Pas franchement de quoi saper l’effort militaire de l’armée israélienne.
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