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Ouargla les jeunes chômeurs en révolte envoyés balader par la Sonatrach !
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Aloha
... nous ne donnons pas la même valeur aux choses ... nos échelles de mesures ne sont pas les mêmes c'est tout
Cette fois ce n'est pas kabyle versus arabe
En fait, avec ça, il faudra au minimum le couper en 4.
Je déconne AlohaRebbi yerrahmek ya djamel.
"Tu es, donc je suis" Satish Kumar; "Tout est lié, c'est le don qui est le lien naturel entre tout".
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Mr. Bachi, a signalé que c'est plutôt un probleme de manque ou qualité de formation, je suis tout à fait d'accord avec lui...
Un petit rappel, que beaucoup ne le savait pas:
Avant 1971, l'année de la nationalisation des hydrocarbures , et avant Sonatrash, il y avait trois importantes compagnies qui foraient et commercialisaient les hydrocarbures: La Compagnie des Pétroles d'Algérie (CPA), la Compagnie de recherche et d'exploitation du pétrole au Sahara (CREPS) et la Société Nationale de Recherche et d'Exploitation des Pétroles en Algérie (SN REPAL), la main-d’œuvre était quasiment locale, on la formait sur le champ, et quand ça demandait des connaissances théoriques, les CFPA (Centre de Formation Professionnel Algérien) gérés par les Pères Blancs donnaient des cours pendant trois ans, et tous les formés sont affectés dans les champs de production, après la nationalisation cette main-d’œuvre totalement du sud à pris la relève.
Boumedienne, créa des Écoles pour former une main-d’œuvre qualifiée pour travailler dans les hydrocarbures, ces écoles, les ministres régionalistes de Boumedienne, avaient choisi le NORD comme domicile (IAP, ENITA, ect.); rares sont les finissants du Nord qui ont accepté d' être muté au SAHARA,
soit ils travaient à Hydra, Arzew Skikda, Soit ils ont choisi un autre metier, sont ils foutu leurs camps à l'etranger comme trois de mes connaissances.
Le Sahara n'a jamais intéressé autant que ça les gens du Nord et ce jusqu'aux années 90, il est encore le cas par les médecins, profs...
Croyez moi ce Sahara qu'on veut qu'il soit une Vache à lait , dans quelques années sera à sec, à commencer par l'eau.(un autre sujet à ouvrir)
Aloha a raison de s'indigner, contre les gouvernants " racistes " incompétents corrompus et mafieux, je le comprend, il y a de quoi s' inquiéter.
Lisez le post ridicule de notre APS, et le ministre de l' Intérieur:
Il se félicite de l'Algérie qui a crée 2030 emplois dans la quizaine de wilayas du sud durant les quelques années passées (entre deux et 50 années) .... incroyable comment ce ministre aime jouer avec les chiffres.
(APS) jeudi 14 février 2013 15 : 06
Plus de 2.030 emplois accordés aux wilayas du Sud (Ould Kablia)
ILLIZI - Plus de 2.030 emplois, tous secteurs confondus, ont été accordés, ces dernières années, aux wilayas du Sud du pays, a déclaré, jeudi à Illizi, le ministre de l’Intérieur et des Collectivités locales, Daho Ould Kablia.
Dans une allocution d’ouverture de la rencontre de concertation sur le développement dans les wilayas du Sud, le ministre a indiqué que "la wilaya d’Illizi a bénéficié de 61 postes au niveau des institutions administratives (wilaya et daïra) sur un total de 487 réservés aux wilayas du Sud".
La wilaya d’Illizi s’est également vu accorder 128 postes sur les 1.500 retenus par la direction de la sureté nationale dans les wilayas du Sud, a ajouté le ministre.
"Le corps de la protection civile a Illizi s’est vu, pour sa part, renforcé de 50 postes et 23 autres postes supérieurs ont été créés dans la wilaya", a encore indiqué M .Ould Kablia.
"Ce nombre de postes devra donner une amélioration de la qualité des prestations de service public et promouvoir la gestion administrative, encore faible dans les wilayas du sud" a-t-il précisé.
"Dans un souci de formation de cadres compétents dans la région, l’Etat a projeté la création, à Illizi, d’un centre universitaire susceptible de contribuer à l’amélioration du niveau pédagogique dans la région", a déclaré le ministre.
Un volume d’investissement de 122 milliards de DA a été alloué, au titre des différents programmes de développement entre 1999 et 2012, aux wilayas du Sud pour promouvoir leur développement, a-t-il affirmé.
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J'invite mes compatriotes, entre autre Jawzia, qui semble bien être au courant de tas de choses sur le pays de nous expliquer:
Sur la page de Sonatrash dans la banque des emplois, il y a pas mal de postes disponibles, sauf que tous ces emplois sont exclusivement reservés pour le personnel qui travaille dans la compagnie, c' est bien marqué à l’entête:
Avertissement : Les postes offerts dans cette rubrique sont destinés exclusivement aux personnels du Groupe Sonatrach. Toutes les candidatures externes au Groupe Sonatrach seront automatiquement rejetées par le système.
Bourse de l'emploi
Si ces postes sont à affichage interne, pourquoi les publier au publique.
Pourquoi ne pas chercher des compétences nouvelles qui pourraient être meilleures .
Est ce que Sonatrash est devenue une Compagnie de famille?
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Lorsque je lis que "L'Algérie ne peut être reconnue comme utile à l'humanité que par son pétrole ... ", je reste perplexe. Un esprit sain, instruit, équilibré ne peut pas émettre une telle "énormité" sans qu'elle ne soit sous-tendue par quelques pathologies voire même frustrations.
Jawzia
Ce sont les conclusions de biens des experts ayant un esprit sain (dont beaucoup d'algériens) qui le reconnaissent...
Je ne vois vraiment pas où est l’énormité ...
Le poids des hydrocarbures dans l’économie algérienne
12 juillet 2012
Les hydrocarbures, source importante de revenus
Dans les années 1930, commencent les premières spéculations sur la présence de pétrole dans le Sahara algérien. Pendant la lutte de libération nationale, à la fin des années 1950, des compagnies françaises y découvrent des gisements d’hydrocarbures : le pays a du pétrole (gisement de Hassi Messaoud), et surtout du gaz (Hassi R’mel), ainsi les premiers contrats d’exploration sont signés avec des compagnies françaises et internationales.
Par rapport à d’autres pays du Moyen Orient et d’Afrique, les ressources de l’Algérie en pétrole et en gaz ne sont pas très importantes ; cependant le gouvernement décide d’exploiter au maximum les hydrocarbures et les revenus qu’il en tire pour se développer rapidement, en négligeant l’agriculture.
En 1963, est créée la compagnie nationale Sonatrach, comme outil pour la mise en œuvre de cette politique pétrolière et en 1969 le pays devient membre de l’OPEP.
Entre 1970-1972, le gouvernement algérien prend le contrôle des ressources, à travers l’abolition graduelle du régime des concessions et la nationalisation des compagnies étrangères, afin de renforcer le monopole de la Sonatrach. Cette politique est poursuivie pendant les années suivantes. Grâce au premier choc pétrolier en 1973, les revenus des hydrocarbures deviennent importants et ils se maintiennent élevés pendant toutes les années 1970 ; ces ressources servent à l’industrialisation du pays, à l’achat d’usines, et à la valorisation des hydrocarbures (1978, plan Valhyd). Tant que la rente pétrolière augmente, le pays arrive à financer les importations, à payer le service de sa dette, à satisfaire sa population, mais une situation économiquement déjà difficile culmine avec le contre choc pétrolier de 1986 et la chute des prix des hydrocarbures, amenant la déstabilisation économique du pays.
... Mais le développement ne suit pas
A la fin des années 1980, la dépendance économique algérienne envers ses ressources en hydrocarbures est de plus en plus évidente. Pour arriver à soutenir les coûts du développement, l’Etat modifie la loi sur les hydrocarbures à plusieurs reprises, afin d’ouvrir progressivement ce secteur à l’économie de marché. Cependant, les résultats sont décevants car les compagnies internationales ne trouvent pas ces conditions assez intéressantes.
En 1991, la loi sur les hydrocarbures est encore une fois aménagée dans le but d’accroître les réserves et d’en faire profiter la Sonatrach. Alors que, jusqu’en 1986, les compagnies étrangères et privées avaient le seul droit d’exploration, leur champ d’action économique sur place, s’élargit. La hausse des cours du pétrole due à la guerre du Golfe, contribue à augmenter les revenus.
Mais l’argent qui entre dans les caisses de l’Etat sert à payer les arriérés de la dette. La situation économique et sociale ne s’améliore donc pas. En 1991 éclate la guerre civile. En 1994 le FMI pose comme condition pour le rééchelonnement de la dette, une plus grande ouverture au marché international, qui apporte en effet des résultats macroéconomiques positifs. Alors que les autres secteurs de l’économie déclinent, celui des hydrocarbures connaît de 1995 à 2001 une reprise significative.
En 2001 l’Etat, pour diversifier et augmenter ses revenus et rendre plus attractifs les investissements, propose une politique de libéralisation plus profonde. Un avant projet de loi sur les hydrocarbures prévoit la soumission de la Sonatrach aux mêmes règles du marché que les compagnies étrangères, en ne réservant à la compagnie nationale que 30% du produit des gisements découverts par des partenaires étrangers. Nombreuses sont les oppositions politiques à ce projet. Bouteflika en 2002, à l’approche des élections, retire donc ce projet de loi (appelée de dénationalisation puisque elle réintroduit les concessions d’avant 1971). Mais après sa ré-élection, cette loi sera finalement votée en 2005.
Malgré les privilèges accordés aux investisseurs étrangers, ceux ci sont peu nombreux et c’est l’Etat qui, comme pendant les années de l’économie administrée, demeure l’investisseur le plus important. Il prive ainsi de son engagement financier les autres secteurs de l’économie (notamment le social).
Les revenus gaziers et pétroliers de l’Algérie ont considérablement augmenté depuis 2003 grâce à la très bonne qualité de son gaz, à la hausse des cours des hydrocarbures et au développement du commerce avec l’Union Européenne et les Etats Unis.
Le boom de l’économie algérienne est un trompe-l’œil, elle reste dépendante des hydrocarbures, qui constituent encore , en 2011, 96% des revenus des exportations, 60% de son budget et 40% de son PIB, et il n’y a toujours pas de croissance, pas de développement, pas d’emplois et pas de perspectives, notamment pour les jeunes sans emploi, prêts à « brûler les frontières » pour quitter leur pays, ou à s’immoler par le feu.
La situation est marquée par les incertitudes concernant la direction du pays : l’après BOUTEFLIKA inquiète et entraîne des tentations protectionnistes. Par ailleurs, des luttes d’influences se développent. autour de la Sonatrach, monopole public qui gère les hydrocarbures, alors qu’un contexte socio-économique stable serait nécessaire pour la transition démocratique de l’Algérie.
L’Algérie doit aujourd’hui diversifier ses revenus et son développement industriel et réduire l’importance de la rente pétrolière qui fragilise l’équilibre d’ensemble de son économie. Bien que disposant d’importantes ressources d’hydrocarbures, elle doit préparer sa transition vers un modèle énergétique basé sur les énergies renouvelables. Ce programme a identifié plus de 65 projets pour la période 2011/2020.
RitimoDernière modification par Serpico, 15 février 2013, 11h24.
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ça dépasse le "sujet" que tu es. En plus, débat clos et oublié !
On est forcement "sujet" dans une monarchie comme , par exemple, les "sujets de sa majesté la reine" dont le terme n’offusque nullement les britanniques.
A Londres, les sujets de Sa Majesté en liesse
REPORTAGE - Dans une atmosphère de kermesse, les Anglais ont célébré l'union du prince et de Kate Middleton dans les rues de la capitale britannique.Un baiser qui met du baume au cœur de l'Angleterre. À 13h30, le prince William et son épouse Catherine s'embrassent devant une foule ravie massée devant Buckingham Palace. «Je suis très émue, ça me rappelle mon propre mariage, il y a six ans. Ce sera une belle et longue union. Je suis très fière d'être anglaise aujourd'hui», s'épanche Hayley Hillson, au bras de son mari Pete, la trentaine tous les deux, arrivés le matin même de Manchester. Une fois que la famille royale a tourné le dos, quelques minutes plus tard, la sono annonce : «Il n'y aura plus d'apparition au balcon. Veuillez sortir dans le calme de l'autre côté des grilles.» La foule des sujets de Sa Majesté s'exécute, disciplinée, respectueuse, comblée.
Kermesse printanière
Il devait pleuvoir, le soleil a même été de la partie ! Attendu depuis des mois, le mariage royal s'est transformé en une joyeuse kermesse printanière, dans un centre de Londres chatoyant. Big Ben a tout juste sonné six coups vendredi matin que des milliers de badauds se pressent déjà devant Westminster Abbey. Au bout de Victoria Street, la future princesse Catherine dort peut-être encore dans l'hôtel où elle a passé sa dernière nuit de jeune fille avec sa famille. À Westminster, les policiers réveillent gentiment quelques campeurs assoupis, certains présents depuis plusieurs jours, leur rappelant de replier leur tente avant 7 heures. Des équipes nettoient les détritus, des chevaux trottent vers on ne sait où, les spectateurs prennent place le long des barrières.
Comme Richard Roberts, électricien de 30 ans, qui a passé la nuit là, par terre, sous une couverture de survie. Juché dès l'aube sur un piquet, une cape Union Jack nouée dans le dos, il ne veut rien rater : «C'est une chance unique dans une vie. Pour Charles et Diana, j'avais neuf mois !» Jill Taylor, mère au foyer, est venue avec son amie Grace Gothard. «Nous sommes là parce que nous sommes de bons citoyens britanniques. Cela fait des mois que nous préparons cela. C'est bon pour le moral.»
Une nouvelle génération de sujets est venue découvrir sa nouvelle génération de monarques. Comme Jack Thurlano, 19 ans, espiègle blond platine, les lèvres peintes en noir, et sa copine Birdie Wilkinson, cheveux rouges, tous deux étudiants à Londres. «C'est un moment important de notre histoire, dit Jack. William est beaucoup mieux que Charles. La famille royale, on n'a pas tant que ça besoin d'eux mais c'est une tradition qui ne doit pas être gâchée. Je ne suis pas monarchiste, ce n'est pas une question politique, plutôt culturelle.» Et, ajoute Birdie, «si on ne les avait pas, qu'est-ce qu'on mettrait sur les timbres et les pièces ?» Vendredi soir, les deux allaient fêter ça dans une party punk au nord de Londres, intitulée «Fuck off and piss off» - on ne traduira pas…
Foule bigarrée
Pas vraiment de liesse, mais une joie bon enfant. Une foule bigarrée, pas trop excentrique, agitant des fanions fournis par les supermarchés Tesco et tentant d'apercevoir quelque chose grâce à des périscopes en carton, des drapeaux nationaux en étole ou peints sur les visages, quelques couronnes Burger King sur les têtes. Les Britanniques étaient là vendredi pour donner une nouvelle chance à leur monarchie, malmenée depuis deux décennies. «Cela fait plaisir de voir Charles enfin heureux. Il a tellement attendu», s'exclame Susan, qui était aussi présente à Saint-Paul, pour son mariage avec Diana. «C'était beaucoup plus traditionnel, plus protocolaire. Tout le monde était en carrosse», se souvient-elle. L'incendie de Windsor, les divorces, les scandales, la mort de Diana… On veut oublier les années «horribilis», comme dirait la reine. William et Kate affichent le visage d'une monarchie restaurée. «Il est beaucoup plus populaire que son père, même à l'époque de son mariage», jure Susan. Avec Catherine, «ils forment le couple parfait», selon Richard Roberts, l'électricien. «Ce n'est pas un mariage arrangé. Ils sont modernes, les pieds sur terre. William n'a pas peur d'aller parler aux gens.»
Une fois la cérémonie religieuse terminée, le cortège s'ébranle sous un soleil naissant direction Buckingham. Les badauds suivent ou coupent derrière par Saint-James's Park. Les mouvements de foule se passent dans l'ordre, sans bousculade, sous l'œil de policiers placides et de vigiles aimables. L'organisation est irréprochable. Des milliers de Londoniens, de Britanniques venus de tout le royaume et de touristes s'égaillent sur les pelouses du parc alors que la place du palais royal est pleine. Miracle ! Quelques minutes avant le baiser tant attendu, les grilles se rouvrent pour laisser approcher le peuple.
Le FigaroDernière modification par Serpico, 16 février 2013, 12h34.
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le danger vien du sud
figurer vous que de parzeilles revoltes sont quotidiennes ds les wilya de laghwat etc des une socite nationale s'installe les gens veulent coute que coute travailler
un cas concret la& socite cosider canalasitaion projet GR5 a hassi rmel, est stopé par les jeune de ha
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