notre valeureuse armée
Mohammed BELAMRANIA, a été arrêté le 13 Juillet 1995 par des militaires, il a été sauvagement torturé et son corps a été retrouvé parmi des dizaines d’autres cadavres mutilés au bord de la route, criblé de balles.
A ce jour, sa famille n'a pu saisir la justice algérienne et se voit contrainte de s'adresser aux instances internationales. Alkarama a déposé le 09 Mai 2012, une plainte devant le Comité des droits de l'homme.
Agé de 44 ans, au moment de son décès, Mohamed Belamrania était agriculteur et vivaità El Kennar, près de Jijel. Il était père de dix enfants ; l’aîné avait alors 16 ans et la plus jeune, trois années à peine.
Selon les témoignages de ses proches, une trentaine de militaires du 5ème bataillon des parachutistes de l’Armée Nationale Populaire (ANP ont enlevé Belamrania Mohammed à son domicile dans la nuit du 13 au 14 juillet 1995 vers 21 h 30.
Les parachutistes lui ont demandé de faire sortir son véhicule utilitaire de marque Peugeot 404 du garage, puis, deux militaires sont montés à ses côtés et lui ont demandé de démarrer en direction de leur casernement, un centre commercial réquisitionné par l’armée au centre du village, à une centaine de mètre seulement du domicile de la victime.
Mohammed BELAMRANIA, a été arrêté le 13 Juillet 1995 par des militaires, il a été sauvagement torturé et son corps a été retrouvé parmi des dizaines d’autres cadavres mutilés au bord de la route, criblé de balles.
A ce jour, sa famille n'a pu saisir la justice algérienne et se voit contrainte de s'adresser aux instances internationales. Alkarama a déposé le 09 Mai 2012, une plainte devant le Comité des droits de l'homme.
Agé de 44 ans, au moment de son décès, Mohamed Belamrania était agriculteur et vivaità El Kennar, près de Jijel. Il était père de dix enfants ; l’aîné avait alors 16 ans et la plus jeune, trois années à peine.
Selon les témoignages de ses proches, une trentaine de militaires du 5ème bataillon des parachutistes de l’Armée Nationale Populaire (ANP ont enlevé Belamrania Mohammed à son domicile dans la nuit du 13 au 14 juillet 1995 vers 21 h 30.
Les parachutistes lui ont demandé de faire sortir son véhicule utilitaire de marque Peugeot 404 du garage, puis, deux militaires sont montés à ses côtés et lui ont demandé de démarrer en direction de leur casernement, un centre commercial réquisitionné par l’armée au centre du village, à une centaine de mètre seulement du domicile de la victime.
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