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Communication Officielle de Sonelgaz sur les affaires de corruption présumées

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  • bonjour

    aujourdhuit jai entendu du nouvelle déclaration de el bachir el ibrahimi et abd el kader hachani concernant les négociation du system avec l'ex partis FIS et les promesse qu'il ont donné pour ait ahmed pour étre président 1992 a votre avis pourquoi? ils ont sortie ce dossier a ce moment au paralele les dossier de coruptions
    dz(0000/1111)dz

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    • @Eliamine

      Tu es sérieux en affirmant ce que tu affirmes. Qui en Algérie à le plan de charge et l'agenda de Tertag, qeulques personnes qui se comptent sur le bout des doigts. L'information présentée par TSA et reprise par plusieurs organes de presse n'a jamais été mise à l'index par un quelconque article bien inspiré, ou autres techniques que ton colonel Fawzi est si habitué à produire. Concernant les missions de sécurité de nos organes de sécurités, elles sont importantes et seraient d'une efficacité redoutable. C'est le coté politique qui dérange, c'est le coté police politique qui est lourd dans ce pays et qui a besoin d'un strict encadrement. On voit bien comment certains essaient de se dépatouiller de cet embriglio médiatique après s'être engouffrés dans la brèche...

      Quant à tes autres affirmations, Bouterfa est un cadre de la Sonelgaz repecté par ses pères et ses employés, qui a à coeur sa mission au niveau de l'entreprise qui l'a enfanté. Certains cercles n'ont de respect pour rien, et sont prêt à mettre des cadres honnetes en Taule, comme d'ailleurs l'ancien aptron de Sonelgaz, lors des purges boumedieniste, M. Keramane, dans les années 80, l'ancien patron de Sider, M. Chettih, lors des purges opérés par Batchine, et là, on jette en pature des cadres respctables et respectés. Wellah matahachmou. Pour ta gouverne, toi qui se donne l'image du type informé, la justice Suisse a questionné le CTRF sur des affaires concernant Benghanem, ex patron de la Sonelgaz (1995-2004), sur des mouvements suspects, le CTRF était dirigé à l'époque par M. Abdelmadjid Amghar, ce même CTRF, à l'époque des faits reprochés était en création et n'était aps suffisament opérationnelle. Tant bien même qu'elle l'eut été, le CTRF agis sur information bancaires et fiscales algériennes, et ces opérations suspects sont détectés sur des comptes Suisses.

      Ces élements simples pour le commun des mortels montrent le caractère fallacieux et profondément malsain de cette compagne médiatique autour d'un épouventaille, chargé de collectionner toutes les tarres de ce pays, pour venir ensuite se présenter en 2014 avec une virginité renouvelée, qu'il vous emporte avec lui...

      Fakou...
      Othmane BENZAGHOU

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      • TSA - jeudi, 11 avril 2013 11:58
        Lutte contre la corruption : Bachir Tartag, le général du DRS aux commandes de l’opération « mains propres »

        Riyad Hamadi



        Après le combat contre le terrorisme, dans les années 1990, place à la lutte contre la corruption qui gangrène le pays. Depuis quelques semaines, les enquêtes sur la corruption dans les grandes entreprises publiques et les institutions de l’Etat se multiplient et s’accélèrent. Aux commandes : le général-major Bachir Tartag, responsable de la

        Direction de la sécurité intérieure (DSI) au sein du DRS. C’est sous son autorité que le service de police judiciaire du DRS, chargé des enquêtes sur la corruption, est placé.
        Le général Tartag a de l’expérience dans la conduite des opérations à haut risque. Il fait partie des artisans de la victoire de l’armée sur les groupes islamistes armés durant les années 1990. Il s’est forgé une réputation de dur lorsqu’il était patron du CTRI à Ben Aknoun (Alger). Hostile à la négociation avec les terroristes, il avait mené la lutte antiterroriste d’une main de fer. En 2004, avec le recul du terrorisme et la dissolution du CTRI, Tartag s’est éclipsé. Il revient fin 2011 et prend la tête de la DSI.
        En quelques mois, il a réussi à marquer d’importants points à Al Qaïda au Maghreb islamique (Aqmi), notamment en Kabylie, l’un des fiefs de l’organisation terroriste. Ses équipes ont porté des coups durs à Aqmi : de nombreux chefs terroristes ont été tués et d’autres capturés, comme le porte-parole d’Aqmi, Salah Gasmi dit Mohamed Abou Salah, arrêté fin 2012 dans un restaurant à Bouira.
        L’activité terroriste dans le triangle de la mort, composé de Tizi Ouzou, Boumerdès et Bouira, a nettement baissé. Seule ombre au tableau : l’attaque terroriste contre le site gazier de Tiguentourine, en janvier dernier. Les terroristes ont réussi à traverser la frontière libyenne et à pénétrer dans un site stratégique pour commettre l’une des plus spectaculaires et sanglantes prise d’otages de l’histoire.
        Des enquêtes sensibles sur la corruption
        Fort de ces succès, l’homme de confiance du général Toufik se voit confier la lutte contre la corruption. Depuis le début de l’année, il dirige une vaste et complexe enquête anticorruption, déclenchée suite au rebondissement à l’étranger – en Italie et au Canada – du scandale de pots-de-vin qui éclabousse Sonatrach et le ministère de l’Energie. Malgré sa réputation de dur parmi les durs du DRS, le général Tartag impose un code de conduite. Aux enquêteurs qui travaillent sous ses ordres, il a interdit les procédés extra-légaux : pas de perquisition nocturne ni de convocation de suspects sans preuves suffisantes. C’est en partie ce qui explique le faible nombre de suspects placés en garde à vue dans ces affaires.
        A travers le général Tartag, c’est, en effet, tout le DRS qui joue sa crédibilité dans ces enquêtes sur la corruption, qui ne font pas l’unanimité aussi bien au sommet du pouvoir que parmi la population. Malgré le soutien de son chef, la mission du « bombardier », comme on le surnomme, n’est pas facile, dans un contexte politique trouble et dans un pays gangréné par la corruption. Des responsables militaires et politiques, dans toutes les institutions, y compris le DRS, sont impliqués dans les scandales de corruption. D’autres, qui ont des intérêts économiques, via leurs enfants et leurs proches, font de la résistance et tentent de bloquer les enquêtes. Les pressions sont fortes. Du côté de l’opinion publique, on suit avec méfiance le déroulement des investigations. En attendant des résultats tangibles, comme l’inculpation de hauts responsables, les Algériens vont douter des objectifs réels de cette opération « mains propres ».
        Parallèlement aux enquêtes, le général Tartag veut réorganiser le travail des services secrets pour mieux lutter contre la corruption. La présence de colonels du DRS dans les ministères et autres organismes publics s’est avérée peu efficace. Tout le monde les connaît et, souvent, ils font l’objet de convoitises ou de pression. A leur place, des agents secrets plus discrets et mieux intégrés dans les institutions seraient recrutés.
        Dernière modification par ott, 30 juillet 2013, 09h17.
        Othmane BENZAGHOU

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        • Le DRS est à l'image de son chef : il joue la défense. Parce qu'il est légaliste, parce qu'il sait qu'il peut être dégommé par un simple décret.
          On se rappelle que la machine électorale du président Bouteflika avait, entre autres, abondement usé, dès l'été 2003, des rallonges en milliards de dinars au profit des budgets des wilayas pour écraser les concurrents. Une démarche à laquelle fait penser, geste pour geste, la tournée actuelle de Abdelmalek Sellal, généreuse en rallonges budgétaires illégales (tout comme en 2003). Le premier ministre s'est transformé, depuis l'AVC du 27 avril, en option présidentielle par défaut pour le clan néoujda, contraint de s'aménager une candidature de repli en absence de sortie par le haut dans l'espace de l'après Bouteflika.
          Mouloud Hamrouche n'est candidat à rien, dans son fort intérieur Hamrouche estime que le temps est venu pour sa génération de passer politiquement la main. Le frère du Président exerce, un contrôle effectif sur un «grand segment des activités de l’Etat. Omnipotent, omniprésent, Saïd Bouteflika est positionné sur les «sentiers de la rente publique», présent dans les «mécanismes de propulsion et nomination aux postes civils et parfois militaires, au niveau des grandes entreprises publiques ; exerce une mainmise sur les partis politiques ayant une représentation parlementaire : FLN, RND, MSP et PT, dont les caisses sont régulièrement renflouées à coups de centaines de millions de dinars. Saïd influe sur le gouvernement à travers des ministres qu’il coache personnellement via certains barons de l’import/ import et tenants de l’économie de bazar ; Saïd Bouteflika est présent au sein de représentations de l’Etat à l’étranger, dans la CNAN, à Air Algérie, à l’APS. Cela paraît anodin, mais tout ce monde constitue son réseau dense et tout ce monde lui rend compte de tout. Au niveau de certaines ambassades aussi, il a des oreilles : des conseillers diplomatiques qui travaillent pour lui et à la perpétuation du pouvoir de Bouteflika».

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          • Eliamine serait il le pseudo ici de Aboud!!! exactement la même sortie qu'il y a quelques jours!!!
            Othmane BENZAGHOU

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            • parce qu'il sait qu'il peut être dégommé par un simple décret.
              ha ha ha tu fais une bourde monumental
              SAHARA OCCIDENTAL LIBRE & INDÉPENDANT

              VIVA POLISARIO

              Commentaire


              • ott serait il le pseudo de Said Radjef!!!

                Commentaire


                • Non, mon identité est publique, suffit de parcourir ce forum, Othmane Benzaghou. Je te permets de publier des éditoriaux comme il en est devenu une tradition pour certains, mais je serais intraitable concernant la moindre diffamation... Tu salueras de ma part ton ami Fawzi... il te donnera beaucoup de matière si tu le souhaites...
                  Dernière modification par ott, 31 juillet 2013, 03h21.
                  Othmane BENZAGHOU

                  Commentaire


                  • Mister T, etre conseillé par toi est presque une erreur politique impardonnable, tellement tu excelles dans les bourderies, à en atteindre les bourdonneries...
                    Othmane BENZAGHOU

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                    • boff tentative minable de discréditer quelqu'un qui à l'habitude de se foutre de toi en publique

                      en plus tu ne sais pas de quoi tu parle malheureusement , ce qui t'exclue de toute discutions sur le sujet
                      SAHARA OCCIDENTAL LIBRE & INDÉPENDANT

                      VIVA POLISARIO

                      Commentaire


                      • Heureusement que tu es là, qu'est ce qu'on se serait ennuyé sans tes bouffonneries, même si elles sont trop souvent de très mauvais gout...
                        Othmane BENZAGHOU

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                        • Il s’est forgé une réputation de dur lorsqu’il était patron du CTRI à Ben Aknoun (Alger)
                          il n'ya jamais eu de CTRI (Centre territorial de Renseignement et d'Investigation) à Benaknoun mais un CPMI (Centre Principal Militaire d'Investgation). La différence est que le CTRI est rattaché à une RM (Région militaire). En plus le CPMI est rattaché à la DCSA (Direction Central de la Sécurité de l'Armée) alors que les CTRI était rattaché à la DCE (Direction du Contre Espionnage) puis de la DSI (Direction de la Sécurité Intérieur).
                          Faire référence à un article écrit par un journaliste qui n'y connait rien quelle crédibilité peux tu avoir désormais pour traiter ce sujet.
                          Lutte contre la corruption : Bachir Tartag, le général du DRS aux commandes de l’opération « mains propres »
                          C'est le general Chafik, qui mène les enquêtes et ce avant même le retour de Tartag, et ce depuis 2009 au moins.

                          mon identité est publique, suffit de parcourir ce forum, Othmane Benzaghou
                          .

                          on comprend mieux pourquoi T tout doux avec Said Bouteflika, étant donné que t'as collaboré avec son journal l'Expression.
                          Dernière modification par éliamine, 31 juillet 2013, 12h02.

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                          • Si tu appelles ça collaborer dans le journal de Fettani, ex patron de liberté que son associé Rebrab a dépossédé!!! Attention à ne pas m'associer aussi à Belhouchet....

                            Tes hyperboles sont aussi grotesques me concernant que tout ce que j'ai lu jusqu'à présent sur Said de ta part. Demande à tes amis de te fournir de meilleures informations, plus fiables, et mieux préparés, car là, je suis désolé de te dire que ce n'est pas très alléchant. Faut juste leur dire, qu'on veut tout et tout le monde, par quelques lampions...

                            http://www.lexpressiondz.com/actuali...99orascom.html

                            OPINION
                            Le cirque monté autour d’Orascom


                            Par Othmane BENZAGHOU - L'expression du Lundi 12 Août 2002 -


                            Il n’y a aucun doute que le marché algérien reste un marché juteux pour le GSM.
                            L´article commentant les déclarations de l´Autorité pour la régulation des postes et télécommunications (Arpt) publié par un journal a suscité en moi un dégoût particulier quant aux dégâts gravissimes que ce genre de lynchage risque de générer auprès d´investisseurs étrangers, potentiellement intéressés par le marché algérien, que ce genre de pratiques exécrables confortent dans leur prudence et leur méfiance à s´engager dans un marché qui, intrinsèquement, offre des potentialités appréciables. C´est peut-être le but recherché.
                            Puisqu´on parle des règles concurrentielles communément utilisées dans les pays modernes, j´aimerais apporter mon opinion de citoyen algérien expatrié dans ces pays-là et d´observateur attentif de l´évolution du marché algérien sur ce qui s´affirme ici et là.

                            Des règles respectées
                            L´article en question nous apporte quelques précisions sur le déroulement des tractations et de la course qui a vu Orascom vainqueur. Il est la preuve explicite, qu´au-delà de ce qui se dit dans des titres de presse plus motivés par un lynchage politique que par la sauvegarde des règles de la concurrence, que Orascom a bel et bien gagné la course que les pouvoirs publics ont voulu ouverte au plus grand nombre d´opérateurs.
                            Pour justement ne pas tomber dans les anciens monopoles, dans lesquels on retrouvait les partenaires traditionnels de l´Algérie, avec les appuis locaux traditionnels solidement implantés.
                            C´est, en effet, une belle confirmation que les règles de marché et de concurrence ont été respectées, et que ce sont les critères de sélection qui ont été adoucis pour ne pas avoir de match avec un opérateur.
                            Dans toute opération d´appel d´offres, il est connu et admis mondialement que les critères et les règles de concurrence sont dans une économie libérale et concurrentielle le levier de pouvoir que peut exercer encore un Etat souverain. Ce levier de pouvoir-là a été utilisé par les autorités en assouplissant le cahier des charges afin d´ouvrir au plus grand nombre d´opérateurs la course. Cette course a finalement accouché de 2 seuls opérateurs, Orange et Orascom, et tout ce qui s´est publié de sérieux autour de l´adjudication de cette licence a tenu à souligner la transparence et l´équité de la procédure.
                            Le gagnant fut celui qui a offert le prix le plus avantageux pour une licence, ce que tout Etat met en premier lieu dans les critères de sélection pour garantir des ressources financières importantes pour les caisses de l´Etat. Il s´avère que l´assouplissement du cahier des charges ait été pour ce marché fatal au vu des difficultés rapportées ici et là, mais les mises en garde des plus hautes autorités de l´Etat furent sans équivoque et pousseraient tout observateur sérieux à abonder dans le sens d´une volonté embarrassée des autorités de continuer une course où on ne voyait qu´un seul postulant, ce qui aurait été bien plus gênant au vu des relations historiques tumultueuses qu´entretiennent des pays comme l´Algérie et la France.
                            Les rumeurs de rachat de la licence par l´opérateur Telefonica apparaîtraient comme une belle stratégie que cette compagnie aurait intelligemment utilisée, après qu´elle eut, pour des raisons confidentielles, et propres à elle, accusé un retard qui ne peut être que volontaire dans ce genre de marché stratégique, qui a duré plus d´une année, dans la livraison de sa proposition.

                            Prisme politicard
                            A l´époque de grandes turbulences financières dans les télécoms, et notamment en Amérique latine, pays où cet opérateur est fortement implanté, il n´y a aucun doute que le marché algérien reste un marché juteux pour le GSM, et il se pourrait que Telefonica ait jugé le prix de la licence trop élevé dans un marché trop risqué et dans une conjoncture économique et financière mondiale délicate. Préférant aujourd´hui, racheter une licence à des conditions peut-être plus avantageuses qu´il y a une année, en bénéficiant cette fois d´appuis politiques certains qu´il était difficile de mobiliser il y a un an, pour sauver cette deuxième licence, après la mise au point très sévère de la présidence concernant Orascom.
                            Les règles de concurrence étant très douteuses dans des pays comme le nôtre, Telefonica aurait peut-être essayé de passer outre le premier arbitrage, pour se lancer dans des conditions plus sereines dans l´exploitation du réseau GSM, comptant sur des appuis de taille, comme au Maroc (pays où Telefonica s´est implantée avec une grosse banque privée marocaine).
                            Dans toute cette affaire, les vautours politiciens et journalistiques ne regardent que par un prisme du journaliste au service des «bouliticiens» de pacotille, plongés dans des enjeux politiciens abjects et mesquins, ceux de lyncher politiquement un homme qui dérange tellement les intérêts en place, et un système qui est à des années-lumière des procédures d´appels d´offres internationaux, trop sclérosé et habitué aux monopoles locaux où des gros bonnets se partagent le marché et refusent toute concurrence dont ils connaissent d´avance l´issue, la banqueroute.
                            On regarde cette histoire sous un prisme politicard en mettant de côté tous les autres éléments indissociables à ce genre de dossier, des enjeux économiques, financiers, géostratégiques et diplomatiques.
                            Les opérateurs internationaux doivent ricaner à voir comment se débat ce pays, où des cercles d´intérêt très puissants utilisent tous les moyens, les plus abjects et ridicules, pour sauvegarder un pays qu´ils se partagent minutieusement comme un gâteau, obligent tout investisseur voulant venir dans ce marché vierge et immense, avec des potentialités appréciables, à casquer, pour s´assurer une protection digne de la mafia américaine ou italienne. Quel pittoresque spectacle offert au monde, qui risque de faire fuir des capitaux qui n´attendent que le bon moment, et que le Président Bouteflika essaie avec des efforts appréciables et louables de faire venir depuis 3 ans.
                            Othmane BENZAGHOU

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