@Okba30
Il y a plus de corruption aussi parce qu'il y a plus d'argent dans le circuit. La dépense de l'état a été très importante depuis 10 ans. Je rappelle que les 26 milliards de $ qui ont valu a Ibrahimi la science de devenir persona non grata en Algérie sont calculé par un simple pourcentage sur les dépenses de l'état entre 1980 et 1988, soit 8 ans, à un taux de 20%. En 15 ans de Bouteflika, l'état aurait dépensé 500B$, les 20% correspondraient, si le niveau de corruption était juste équivalent à la somme astronomique de 100B$. Je te laisse imaginer, combien de corrompus ces sommes peuvent alimenter...
Il est d'ailleurs remarquable que la corruption, endémique dans ce pays, utilisé déjà par Boumedienne avec ses généraux, est épisodiquement découverte à la veille des élections. Elle sert plus d'outil de purge des politiques que certains souhaitent contrôler, qu'un véritable indicateur de la santé judiciaire de l'Algérie. Les pratiques reprennent de surcroît, dès que les remplaçant arrivent, et que les affaires reprennent...
Il y a plus de corruption aussi parce qu'il y a plus d'argent dans le circuit. La dépense de l'état a été très importante depuis 10 ans. Je rappelle que les 26 milliards de $ qui ont valu a Ibrahimi la science de devenir persona non grata en Algérie sont calculé par un simple pourcentage sur les dépenses de l'état entre 1980 et 1988, soit 8 ans, à un taux de 20%. En 15 ans de Bouteflika, l'état aurait dépensé 500B$, les 20% correspondraient, si le niveau de corruption était juste équivalent à la somme astronomique de 100B$. Je te laisse imaginer, combien de corrompus ces sommes peuvent alimenter...
Il est d'ailleurs remarquable que la corruption, endémique dans ce pays, utilisé déjà par Boumedienne avec ses généraux, est épisodiquement découverte à la veille des élections. Elle sert plus d'outil de purge des politiques que certains souhaitent contrôler, qu'un véritable indicateur de la santé judiciaire de l'Algérie. Les pratiques reprennent de surcroît, dès que les remplaçant arrivent, et que les affaires reprennent...
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