@Khore,Je suis un musulman tolérant qui admet que d'autres veuillent vivre en orthodoxes et comprends que faute de liberté et d'injustice certains d'entre eux en soient amenés à la violence.
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Du FLN au FIS
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tu comprends ou tu l'expliques?car le comprendre c'est en partie l'approuver.L'expliquer c'est en comprendre les mécanismes tout en le rejetant.D'autant que cette violence s'est exercée en partie contre une population qui elle aussi a été victime de ce système , des gens qui n'avaient pas le même projet de société que les islamistes et qui eux ne se battaient qu'avec leurs idées contre le régime et contre les islamistes.A mon avis c'est là ou il faut mettre le curseur:franchir ou pas le cap de la violence.
Merci pour ta leçon de sémantique
Quitte à faire le jeu des censeurs qui m'expulsent des forums chaque fois que je vais à l'encontre des allégations du DRS, le musulman par essence est celui qui se soumet à Dieu et vit sa foi en militant. BOUTEFLIKA pour justifier ses lois amnistiantes, avait déclaré que musulman, s'il avait été en Algérie, à l'ère de la décennie noire, il aurait rejoint le maquis.
La violence exercée à l'encontre de la population, si elle a existé est loin d'être celle que le DRS attribue à des islamistes. Encore un point que j'ai eu à vérifier sur place ,en pleine guerre civile. Les cas dus aux islamistes sont à classer dans la violence nécessaire en temps de guerre pour survivre et se protéger. Le FIS n'a rien fait de plus que le FLN durant la guerre de libération et dès que les boucheries du DRS furent connues ,ordonna à tous ses hommes armés de cibler militaires et agents du pouvoir en épargnant les civils.
Pour le curseur, personnellement je doute que les Algériens, sans aide extérieure soient en mesure de se révolter. En relisant les déclarations de HAMROUCHE, nous apprenons que la situation est cependant explosive et que le pays est à la merci de la pire des révolutions colorées.Dernière modification par KHORE, 01 avril 2014, 19h10.
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Yarham babek ne me parles pas de Boutef qui aurait rejoins les maquis!!franchement il n'a même pas été fichu de rejoindre ceux de l'ALN (il paraît qu'il se la coulait douce à Tanger et je ne sais ou et c'est d'ailleurs pour ça qu'il a été envoyé par mesure disciplinaire au sud d'ou son surnom de Abdeka el Mali,faut lui reconnaître que ça sonne bien...mais à part ça...)alors de là à rejoindre les maquis du GIA :22: tu l'imagines en kamis se levant à 4h du mat pour faire sa prière et aiguiser son coutelas pour aller zigouiller je ne sais quel paysan ou paysanne???!!!!....
pour le reste que veux-tu que je te dises??...allah ihdikoum...
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KHORE:
La violence exercée à l'encontre de la population, si elle a existé
Tu n'aurais jamais tenu de tels propos si tu avais réellement vécu le terrorisme.
Pourquoi opposes-tu les islamistes et la DRS? Et que fais-tu du peuple algérien qui a subi les uns et les autres?
L' ANP, malgré ses tares, est une institution au service du peuple.
Les algériens qui ont été induits en erreur par des discours religieux et qui ont soutenu le FIS ont vite compris la véritable nature de ses militants et se sont détournés d'eux.
Il n'existe pas que les deux alternatives, la dictature ou le fascisme religieux.
Il y a la solution démocratique qui est connue partout dans les pays civilisés, celle de la justice, de la liberté et des droits humains pour les peuples.
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Hachemi Sahnouni à Abassi Madani : «Ne parle pas au nom du FIS !»
Dans un entretien à un journal électronique en langue arabe, l’ancien dirigeant du FIS dissous Hachemi Sahnouni a réagi au communiqué signé par Abassi Madani au nom du parti dissous, et rendu public hier lundi, en lui déniant tout simplement le droit de parler au nom du FIS et de dicter ses décisions à partir de Doha, où il vit depuis dix ans. Sahnouni nie toute concertation entre les anciens dirigeants du parti pour sortir avec une position commune et dément, par ricochet, les allégations de Madani par lesquelles il prétend que son parti a été approché par des candidats à l’élection présidentielle du 17 avril en vue d’aboutir à une sorte d’arrangement qui prendrait en compte les doléances connues de cette mouvance. Mais Sahnouni revient pour confirmer l’existence de tractations, par des intermédiaires, avec l’entourage des deux principaux postulants à la haute magistrature : Abdelaziz Bouteflika et Ali Benflis. Il dit avoir refusé de discuter avec «des personnes inconnues sur la scène politique», mais il aurait volontiers posé ses conditions, et celles de sa mouvance, s’il avait eu à faire à des représentants importants de ces deux candidats cités. C’est pourquoi il déclare n’avoir apporté son soutien à aucun candidat. Ce qui revient à dire que si les deux gourous du FIS ne sont pas d’accord sur la forme, sur le fond ils militent pour le même objectif, à savoir la réhabilitation du parti dissous et de ses dirigeants, la remise en cause de la Charte pour la paix et la réconciliation nationales et, enfin, l’amnistie générale au profit des terroristes condamnés pour leurs crimes. Dans son message, Abassi Madani cherche à s’imposer dans le débat politique, comme il le fait à la veille de chaque échéance électorale. Tout en rejetant, d’emblée, toute participation à ce scrutin, qu’il qualifie de «nouvelle imposture», l’ex-dirigeant du FIS confirmait, lui aussi, l’existence de tractations avec des candidats à cette élection, sans les nommer, en vue d’aboutir, dit-il, à «un partenariat pour un mandat présidentiel transitoire et un engagement écrit pour le règlement de la crise issue du coup d’Etat de 1992 et de toutes les séquelles qui en ont découlé» contre la participation de ses résidus dans la campagne électorale. Mais selon ce communiqué, aucune entente n’a été trouvée avec ceux qui auraient approché les anciens responsables de la mouvance du FIS. Mais, un peu plus loin, Abassi se contredit en reprenant à son compte des slogans phares brandis par une partie de l’opposition et certains candidats à cette élection, et réclame, entre autres, une «période de transition» en vue de mettre en place «une Constitution consensuelle» et un dialogue politique n’excluant pas le parti dissous. Il appelle enfin à soutenir «les partisans d’une période de transition», susceptible, d’après lui, de lui permettre de revenir sur la scène politique, mais ne précise ni les formes par lesquelles ses ouailles devraient exprimer leur soutien, ni les noms des supposés partisans d’une transition sur lesquels ils pourraient compter pour parvenir à leur objectif.
R. Mahmoudi
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@Khore,
La violence exercée à l'encontre de la population, si elle a existé est loin d'être celle que le DRS attribue à des islamistes. Encore un point que j'ai eu à vérifier sur place ,en pleine guerre civile. Les cas dus aux islamistes sont à classer dans la violence nécessaire en temps de guerre pour survivre et se protéger. Le FIS n'a rien fait de plus que le FLN durant la guerre de libération et dès que les boucheries du DRS furent connues ,ordonna à tous ses hommes armés de cibler militaires et agents du pouvoir en épargnant les civils.
Pour le FLN tu as raison...il y a eu aussi une violence qui s'est exercée contre les récalcitrants comme couper le nez aux fumeurs ou tuer tous les menbres d'un village parce que suspecté de trahison(Melouza) .L'histoire de notre pays est jalonnée par la violence sous toutes ses formes dont la violence politique que nous subissons actuellement .Nous avons été une société violentée ,et qui a son tour,a été violente...vivement que cela cesse.
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Envoyé par KHOREPrenant exemple sur les Turcs et pour les musulmans croyants, donc tenus à l'Ijtihad quotidien des jours de paix, parlons de musulmans orthodoxes. Ceux qui vivent en tenant compte des préceptes de l'Islam, et qui par leurPetit Jihad tentent de se perfectionner pour être des citoyens dignes de leur foi. Ces orthodoxes comme tout autre homme ont leurs saints et leurs chayatines. L'essentiel pour la société est la vie en harmonie et dans le respect de la Loi.
Appelons 'islamiste' celui qui devant une société gangrénée et des dirigeants devenus dictateurs , opte pour le Grand Jihad, et le renversement du régime. Devenu combattant pour les valeurs de Dieu , il n'est plus qu'un soldat au service de l'Oumma.Le bon sera celui qui n'hésitera pas à donner sa vie. Le mauvais celui qui l'utilisera, pour parler en son nom, confortablement installé dans un hôtel cinq étoiles, hors du pays concerné.
Mineur pour passer au djihad Majeur ». Et ils lui auraient dit : « Existe-il un djihad plus important que celui livré aux infidèles*?*» Il a dit : « Oui, c’est le djihad fait à son âme charnelle »,bien que ce hadith ne soit pas authentique ; donc c'est l'inverse de ce que tu as écrit.
Pour ce qui est de combattre, si tu me garantis que c'est les généraux et chefs de DRS qui vont prendre les armes et combattre, et non pas mes frères, oncles, cousins et amis millitaires qui ne sont pas moins innocents que moi, je te rejoindrais volontier.
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