Annonce

Réduire
Aucune annonce.

In Salah : Très forte mobilisation populaire contre le gaz de schiste

Réduire
X
 
  • Filtre
  • Heure
  • Afficher
Tout nettoyer
nouveaux messages

  • In Salah : Très forte mobilisation populaire contre le gaz de schiste

    La mobilisation citoyenne anti gaz de schiste gagne du terrain. Après In Salah, c'est au tour de In Ghar, Tit, Tamanrasset et El Ménéa de se joindre à la protestation en décrétant la paralysie totale des commerces et administrations publiques. Tous les axes routiers situés desservant la RN 1 sont également bloqués.



    Ainsi, après un sit-in imposant qui a regroupé toute la matinée, différentes franges de la société, venues des quatre coins de la ville d’In Salah et l’annonce d’une visite ministérielle mercredi prochain, la population d’In Salah n’a pas renoncé à son piquet de grève générale lancé le matin même.

    Une kheima a été dressée en face du siège de la daïra ou des dizaines de manifestants se sont regroupé des les premières lueurs du matin. « Nous attendrons ici même cette délégation d’Alger » nous dit un des organisateurs, joint par téléphone en début d’après-midi.

    Une délégation qui n’a pas pris la peine de se déplacer avant la fin de semaine alors que la population n’a quasiment pas déserté la rue depuis le 31 janvier et qui a redoublé de manifestations depuis, bloquant des axes névralgiques de la ville y compris ceux menant au fameux puits de gaz de schiste, dont le lancement de la production une semaine plus tôt par le ministre de l’énergie a eu l’effet d’une bombe au sein de la population locale.
    El Watan

  • #2
    Cela fait trois jours déjà que des citoyens d'In Salah bloquent la RN1 pour protester contre l'exploitation du gaz de schiste dans leur région. Et, au lieu d'engager des discussions avec eux, les autorités n'ont pas trouvé mieux que de lâcher conte eux les troupes d'intervention de la gendarmerie. On parle de plusieurs blessés et (peut-être) d'un mort. A confirmer...


    Intervention musclée de la gendarmerie pour ouvrir la RN1
    Situation explosive à In Salah




    Cinq unités d’intervention de la Gendarmerie nationale ont surpris hier, dans leur sommeil, à 6h du matin, les quelque 350 manifestants de In Salah qui bloquaient la RN1, depuis jeudi. Des sources locales parlent de sept arrestations, 24 blessés et la disparition d’un citoyen âgé d’une vingtaine d’années, répondant aux initiales de M. N., et que la rumeur donne pour mort.

    Les cinq unités d’intervention de la Gendarmerie nationale, en provenance de Tamanrasset et Ghardaïa, ont eu des difficultés à disperser les contestataires en campement depuis jeudi, pour protester contre l’inauguration d’un puits de gaz non-conventionnel dans la région.

    Les affrontements ont duré un peu plus d’une heure. Les quelque 350 manifestants se sont retranchés dans les deux cités donnant sur la RN1, en l’occurrence Haï-Essalem, et les 800 Logements. «Les forces de l’ordre ont usé de matraques et de bombes lacrymogènes.

    Il y a eu l’arrestation de sept personnes dont un a été relâché, 24 blessés et un jeune répondant aux initiales de M. N., qui s’est évanoui et dont on a perdu la trace», affirment des sources locales qui évoquent un probable décès de la personne en question. Selon les mêmes sources, des responsables de la gendarmerie, de la Protection civile et même de l’hôpital de la ville ont été contactés mais aucune précision n’a été donnée sur le sort du jeune disparu. «D’après des protestataires présents sur les lieux, M. N. s’est évanoui sous l’effet d’une bombe lacrymogène avant de recevoir un coup de matraque sur le crâne», ajoutent-elles.

    Contacté, le colonel Abdelhamid Kerroud, chargé de communication à la direction de la Gendarmerie nationale, n’a ni confirmé ni infirmé l’information. Quant au colonel Farouk Achour, chargé de communication à la Protection civile, il est resté injoignable.

    Le centre-ville abandonné aux manifestants !

    Les protestataires ont fini par abandonner les deux cités donnant sur la RN1, servant de repli, avant de rejoindre le centre-ville de In Salah. La gendarmerie, ne pouvant pas intervenir en secteur intra-muros, s’est chargée de rouvrir la RN1 à la circulation et rétablir le transport de marchandises et de personnes.

    C’est alors que la contestation se généralise, avec piétons et automobilistes qui sillonnaient la ville, appelant l’ensemble des citoyens à investir la rue, selon toujours les mêmes sources. «Il faut savoir que In Salah dispose d’une Sûreté de daïra qui compte tout au plus 120 policiers. Il n’y a pas une seule unité spécialisée dans le rétablissement de l’ordre public. La police a donc laissé faire. Mais il faut s’attendre à l’arrivée de renforts », précisent-elles.

    Grève générale à partir d’aujourd’hui

    La daïra de In Salah compte 70 000 habitants, alors que la commune d’In Salah compte à elle seule 45 000 habitants. Les ruelles des cités sont étroites et sinueuses, ce qui rend toute intervention sécuritaire difficile.
    Ce qui explique le laisser-faire de la police dont le nombre est considérablement réduit.

    «Les 24 blessés (cités plus haut ndlr) ne se sont pas présentés à l’hôpital de peur de poursuites judiciaires. Mais la population a prévu des salles de soins à l’intérieur des cités. Cette action de protestation a été bien préparée et la population savait que les choses allaient en arriver là.»

    Enfin, il est à signaler que les manifestants sillonnant la ville ont appelé à une grève générale, et la population locale s’est entendue sur un débrayage à partir d’aujourd’hui, dimanche.

    «Tous les secteurs seront paralysés et les enfants n’iront pas à l’école jusqu’à ce que le ministre de l’Energie se présente à In Salah et s’explique avec la population sur le premier puits de gaz de schiste inauguré samedi dernier dans la région», précisent-elles.


    Le Soir d'Algérie

    04.01.15
    كلّ إناءٍ بما فيه يَنضَح

    Commentaire


    • #3
      Les manifestants à In salah : "Reprenez votre Sonatrach et fichez-nous la paix!"


      El Khabar
      05.01.15
      كلّ إناءٍ بما فيه يَنضَح

      Commentaire


      • #4
        Je regardais la vidéo de la première manifestation et j'ai été frappée par l'aspect miséreux de l'endroit et de ces pauvres gens, ce qui témoigne d'un extrême sous développement de la region.

        Ces citoyens ont raison de protester contre ces forages et à demander à ce que la Sonatrach de malheur dégage de chez eux car non seulement ils représentent un danger écologique et sanitaire pour leur région mais surtout, l'argent tiré servira en partie à acheter des villas à Miami, des comptes en Suisse, des appartements à Neuilly...etc pour les voleurs et celà aux dépends de ces pauvres gens qui vivent dans des conditions dignes des banlieues des pays les plus pauvres de la planète! Quelle honte ce pays !

        À chaque fois que je commence à ressentir un peu de culpabilité suite à un commentaire peu charitable souhaitant que boutef et ses bandits crèvent, je tombe sur ce genre d'infos me poussant à leur souhaiter non seulement de crever mais surtout dans d'atroces souffrances :22:
        مالي و للناس كم يلحونني سفها
        ديني لنفسي و دين الناس للناس

        Commentaire


        • #5
          L'Algérie n'est pas dans un choix entre soit le gaz de schiste soit le pétrole. Les Algeriens peuvent se permettre une diversification écologique. C'est le cas de l'Iran aussi qui a trop consommé son pétrole. Les Iraniens auraient du moins aller vers l'innovation technologique.
          Demain, on achètera des fusées made in Israël.
          Dernière modification par jour, 05 janvier 2015, 16h42.

          Commentaire


          • #6
            Une bonne initiative contre ces criminels voleurs mafieux, qui nous gouvernent depuis 60 ans:22:

            Commentaire


            • #7
              Bravo pour le courage des habitants d'In Salah, ils ont compris que dépenser 1 milliards de dollars dans le projet du siècle de pomper l'eau de la nappe Albienne pour ensuite l'empoisonner avec les gaz de schistes n'avait aucun sens.

              La gigantesque nappe préhistorique est non renouvelable, elle vaut pour l'humanité plus que dix-mille puits de pétrole, c'est bizarre que la créature du Val-de-Grace veuille la sacrifier pour satisfaire une simple société pétrolière française.

              Commentaire


              • #8
                Faut pas oublier que l'Algérie à d'énormes et énormes réserves en gas de schiste. Classe troisième au monde après la Chine et l'argentine.

                Si les moyens d'extraction de ce gas s'améliore l'Algérie aura encore des décennies et décennies ce pouvoir mafieux et rentier à sa tête Grace a ces ressources naturelles.


                Espérons que les futurs gouvernants commencent sérieusement à faire bénéficier cette manne et relancer d'autres secteurs hors hydrocarbures.

                Commentaire


                • #9
                  La production du gaz de schiste en Algérie sera aussi coûteuse que non rentable avant 15 ans (Nazim Zouiouèche)







                  S’il estime que la technique du forage horizontal n’est pas dangereuse en soi pour l’environnement, l’ancien PDG de Sonatrach rappelle que la production de gaz de schiste est un grand défi technologique. « La technologie avance vite, on risque de rester toujours à la traîne », met-il en garde, en préconisant de « mettre le paquet sur l’énergie solaire, une ressource disponible, inépuisable, propre et rentable ».


                  Maghreb Emergent : Les opposants à l’exploitation du gaz de schiste mettent en garde contre la pollution des nappes phréatiques par le forage horizontal des roches. Selon une étude américaine publiée en septembre dernier, c’est la qualité du ciment et les techniques d’exploitation qui sont responsables de la pollution et non cette technique en soi. Qu’en dites-vous?

                  Nazim Zouiouèche : Le forage horizontal en soi ne constitue aucunement un danger pour l’environnement. Le danger proviendrait des erreurs, des déviations, des non-précisions qui pourraient survenir lors de ce forage. Aussi, y a-t-il une question principale qui réside au niveau de l’étanchéité des puits et de la qualité des cimentations. Je voudrais préciser aussi que les nappes phréatiques en Algérie ne sont pas très profondes : elles sont situées entre 800 et 1.200 mètres de profondeur selon les endroits. Si on fracture au niveau de 2.000 ou 3.000 mètres de profondeur, cela ne représentera aucun inconvénient pour nos nappes phréatiques.

                  Ce que vous dites est loin de faire l’unanimité chez les spécialistes. Certains estiment qu’à côté des préjudices causés à l’environnement, le pays n’a ni les moyens ni la technologie ni les compétences pour assumer de tels projets dans le non-conventionnel. Qu’en pensez-vous ?

                  Il n’est un secret pour personne que les coûts des techniques de fracturation hydraulique et de forage horizontal des roches sont faramineux partout dans le monde. Ayant pratiqué des forages et des fracturations hydrauliques, je peux vous dire que le forage horizontal d’un seul puits prendra entre 2 et 3 mois chez nous, contre trois semaines aux Etats-Unis, par exemple, où les appareils de forage sont très sophistiqués. Cela nous renseigne sur les coûts énormes de production de ce gaz pour notre pays !

                  Avec une meilleure maîtrise des techniques du forage horizontal et de la fracturation hydraulique, et aussi avec une sensibilisation adéquate, ne pensez-vous pas que cette énergie non fossile serait quand-même un plus dans le mix énergétique algérien, étant donné que le pays recèle les troisième réserves mondiales de gaz de schiste estimées à environs 19.800 milliards de m3 ?

                  Je dirais plutôt qu’il faut tout d’abord connaître notre potentiel en gaz de schiste avant de décider de l’exploiter. Je veux affirmer ici que nos ressources en la matière ne sont pas encore complètement connues. On sait que le gaz de schiste existe en Algérie mais on ignore en quelles quantités. Les données sur lesquelles nous nous basons aujourd’hui sont celles de bureaux internationaux, lesquels les obtiennent uniquement des images satellitaires. Ces images satellitaires sont approximatives et incapables de nous donner des informations sur le potentiel d’extraction des roches. Une fois le potentiel connu, on pourra définir le pourcentage qu’on pourrait en produire. Aux Etats-Unis, par exemple, ils ne produisent que 10% du totale de leurs ressources en gaz de schiste. Il faudrait qu’on fasse ce travail sérieux à notre niveau.

                  Les coûteux investissements dans l’exploitation des hydrocarbures non conventionnels ne sont-ils pas indispensables au vu de l’épuisement annoncé des autres ressources fossiles?

                  Non, car cet investissement colossal risque de n’être même pas rentable pour l’Algérie à court terme. Je suis certain que la production du gaz de schiste ne sera pas rentable avant quinze ans. Etant donné la particularité de nos roches peu poreuses et non perméables, cela nécessiterait de grands moyens technologiques. Et puisque la technologie avance vite, on risque de rester toujours à la traîne en la matière. Je préconise de mettre le paquet sur l’énergie solaire, une ressource disponible, inépuisable, propre et rentable.




                  Maghreb Emergent
                  05.01.15
                  كلّ إناءٍ بما فيه يَنضَح

                  Commentaire


                  • #10
                    cout exorbitant

                    contrairement au gas conventionel le gas de schiste requiret un nombre de puits multiplie par 10/100 pour un meme volume de production. donc un champ exploite risque de devenir une sorte de couscoussiere si tu vois ce que je vx dire et ca peut causer bcp d'inconvenients autour des zones habitables et l'environment. pour le cas de l'algerie ca ne pas representer un grand probleme vu que les champs de gas de schiste sont eparpilles dans un vaste desert loin des oiasis ou zone habitables. sinon la marge d'erreur qu'il y ait fuite de boue de forage a cause d'une mauvaise cimentaions reste tres minimale. autre facteur la duree de vie d'un reservoir de gas de schiste est tres limite par rapport au gas convetionnel. donc on arrete jamais de forer.

                    Commentaire


                    • #11
                      Désobéissance civile ?

                      A défaut de prendre contact avec les populations locales, avant d'entamer ses recherches d'exploration (on n'en est même pas à l'exploitation), les "têtes bien pensantes" d'Alger ont brillé non seulement par leur incompétence notoire mais également par une politique d'information désastreuse. J'ai lu aujourd'hui dans El Khabar un responsable qui se plaint de ce que la population a été mal orientée par des campagnes lui faisant croire que le gaz de schiste est pire que la bombe atomique. Admettons, mais qu'a fait alors le gouvernement pour expliquer aux gens la réalité des choses ?

                      Aujourd'hui, on est au bord d'une insurrection d'une des régions les plus paisibles du pays, par la faute d'un pouvoir central qui se croit tout permis...
                      كلّ إناءٍ بما فيه يَنضَح

                      Commentaire


                      • #12
                        DES RENFORTS SÉCURITAIRES IMPRESSIONNANTS ACHEMINÉS AUX PORTES DE LA VILLE
                        Peur sur In Salah



                        La tension reste de mise à In Salah, où la population occupe toujours le siège de la daïra et a installé cinq grandes tentes dans la ville. Environ 300 policiers URS, sont arrivés hier d’Alger, à bord de deux avions militaires. Des nombreux gendarmes sont déployés à la périphérie, en plus de l’arrivée de trois unités du GIR de Laghouat. Ce qui fait craindre le pire.

                        Plusieurs sources locales s’accordent à dire que le climat régnant à In Sallah est à l’allure d’une ville qui se prépare à de rudes affrontements au vu des renforts sécuritaires qui arrivent de partout.

                        Des citoyens solidaires affluent d’autres villes mitoyennes. D’abord d’Inghar, à 65 km d’In Salah où le chef de daïra a été également chassé de la ville.

                        Ensuite, de trois autres villes dépendant de la wilaya d’Adrar, qui sont Tit, Aoulef et Akebli, qui se situent approximativement à 120 km d’In Salah. «Nous nous attendons à une intervention des forces de l’ordre demain (aujourd’hui ndlr), mardi. La population contrôle totalement la ville, qui lui est abandonnée. La RN 1 a été encore une fois coupée à la circulation par les manifestants. Entre-temps, le nombre des gendarmes déployés à la périphérie, a été considérablement augmenté, avec l’arrivée de renforts à partir de Tamanrasset, Ouargla et Ghardaïa. Il y a aussi le dépêchement de trois unités du groupement d’intervention rapide de la gendarmerie de Laghouat et l’arrivée de 300 policiers des unités républicaines de sécurité, à bord de deux avions militaires, en provenance d’Alger», affirment nos sources.

                        Enquête sur des tracts suscitant la haine

                        Toujours selon des sources locales, la gendarmerie nationale a ouvert une enquête sur des tracts suscitant la haine, distribués dans la région. «Il est mentionné dans ces tracts que le pouvoir central d’Alger méprise et considère les habitants de la région comme un sous-peuple», indiquent nos sources. Elles s’indignent de voir les choses en arriver là, alors que la protestation est partie d’un rejet du puits de gaz de schiste inauguré récemment dans la région. «La population voulait être rassurée sur une démarche faite en catimini. A savoir l’inauguration du puits d’exploitation de gaz non conventionnel, à Tidikelt, par le ministre de l’Energie sans la présence et l’information de la société civile. Cette démarche a suscité la suspicion de la population qui s’inquiète du devenir écologique de sa région. Au lieu d’engager un débat et faire les choses dans la transparence, les autorités publiques ont préféré la répression. Voilà le résultat aujourd’hui», regrettent nos sources.

                        Possible visite d’une délégation ministérielle mercredi

                        Plusieurs sources avancent une visite imminente d’une délégation ministérielle, probablement ce mercredi. «Les forces publiques vont intervenir demain (aujourd’hui ndlr), mardi, pour reprendre le contrôle de la ville et préparer le terrain à la visite de la délégation ministérielle attendue pour mercredi.

                        C’est fort probablement le Premier ministre, Abdelmalek Sellal, qui conduira la délégation, pour avoir été en 1988, chef de daïra à Tamanrasset», ajoutent nos sources. Mais un tel scénario reste difficile à concrétiser dans la mesure où s’il y a intervention des forces de l’ordre dans la ville, les affrontements risquent de durer un peu longtemps, pensent des observateurs des évènements sur les lieux.


                        Le Soir d'Algérie
                        06.01.15
                        كلّ إناءٍ بما فيه يَنضَح

                        Commentaire


                        • #13
                          bonjour

                          Beaucoup prient et souhaitent l'embrasement du sud parmi ceux sont pressés d'en découdre avec le pouvoir par tous le moyens.

                          Pour ceux qui sont pressés de voir le changement, tout est bon à prendre pourvu qu'on enclenche le changement ... Quel changement ?

                          Or, c'est totalement irresponsable vis à vis de tous les algériens (du nord ou du sud) d'engager des stratégies folles et des aventures sans issues.

                          Nous avons assisté à une floraison de mots et des textes assassins suscitant l’angoisse et la peur suite à l'engagement du gouvernement dans l'exploitation du shit.

                          Les associations et les nouveaux convertis à l'écologie (des politiciens opportunistes) doivent être responsables en évitant de jeter les allumettes sur un terrain qu'ils savent puant de poudre. C'est bon pour personne et surtout pour les gens du sud. Cette région est très fragile d'autant plus qu'il y subsiste encore un tribalisme très fort.
                          Dernière modification par Gandhi, 06 janvier 2015, 13h27.
                          Rebbi yerrahmek ya djamel.
                          "Tu es, donc je suis"
                          Satish Kumar; "Tout est lié, c'est le don qui est le lien naturel entre tout".

                          Commentaire


                          • #14
                            je pense que ca devient serieux !

                            Commentaire


                            • #15
                              Environ 10.000 personnes assiègent la Daïra d'In Salah

                              كلّ إناءٍ بما فيه يَنضَح

                              Commentaire

                              Chargement...
                              X