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Issad Rebrab répond à Abdes​lam Bouchouareb

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  • #91
    Encore un exemple de psychorigidité!!! La méthode citée concerne les écrits des journalistes. Je ne vis pas à travers les billet de Daoud comme toi!!!!

    PS : Tiens j'ai pensé à toi, pour t'initier à avoir un peu de recul sur les paroles prophétiques, oups pardon, les paroles jourlanistines...

    http://www.algerie-dz.com/forums/sho...99#post5442399
    Dernière modification par ott, 03 octobre 2015, 18h36.
    Othmane BENZAGHOU

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    • #92
      le manque de certaines compétences est visible (gestion du conflit.... manque de formation, indisponibilité des ressources financières, etc. ..... )que ce soit aux niveaux des décideur du gouvernement et opérateurs économiques normalement en doit réspecter les programme présidentiel de bouteflika!
      dz(0000/1111)dz

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      • #93
        Encore de la lecture et je suis désolé de ne pouvoir l'analyser scientifiquement .


        Après une semaine de polémique entre le patron de Cevital et le ministre de l’Industrie

        L’opinion publique largement favorable à Issad Rebrab



        M. Abdesselam Bouchouareb, ministre de l’Industrie et des Mines.
        Le ministre de l’Industrie et des Mines n’en finit pas de subir les affres du ressac violent que lui renvoie l’accusation qu’il a proférée contre le capitaine de l’industrie.

        Tel est pris qui croyait prendre. Le ministre de l’Industrie et des Mines, Abdesselam Bouchouareb, est pris dans les rets de la polémique qu’il a engagée avec le patron de Cevital, Issad Rebrab. Le piège qu’il a désiré tendre au patron du plus grand groupe industriel privé s’est refermé sur lui.

        Depuis une semaine, le ministre de l’Industrie n’en finit pas de subir les affres du ressac violent que lui renvoie l’accusation qu’il a proférée contre le capitaine de l’industrie. Pensant détenir de quoi l’accabler, il a livré à la presse, à la classe politique et à l’opinion en général les arguments pour instruire son procès. La polémique aura été, pour Abdesselam Bouchouareb, médiatiquement désastreuse et politiquement désavantageuse.

        L’effet boomerang de son accusation a été terrible. En effet, dès l’instant où il s’est laissé aller à une réplique publique à une tribune de Rebrab, en présence, fait aggravant, d’un hôte étranger, le ministre de l’Industrie et des Mines s’est attiré les foudres des journaux et des médias électroniques. Sur la forme et dans le fond. Les médias ont reproché au ministre une attitude qu’il devait s’interdire à ce niveau de responsabilité : s’en prendre à un investisseur national, le plus grand, et de surcroît, devant son homologue tunisien.
        Mais aussi ses maladresses politiques, celles, entre autres, ayant consisté à mettre en opposition les peuples algériens et français. Les plus grands tirages de la presse écrite ont quasiment tous épinglé Bouchouareb, en faisant notamment réagir le patron incriminé qui a apporté tout de suite un démenti formel mais surtout argumenté à l’accusation que le ministre a proférée à son encontre. Les commentaires n’ont pas été en reste, rivalisant, pour certains, de virulence, tout en étant pertinents.

        Rebrab et d’autres investisseurs seraient coupables de “délit de non-allégeance”, signait le quotidien El Watan qui se demande “pourquoi certains entrepreneurs privés du club du ‘Cac 40’ algérien, qui ont arraché des parts de marché en Algérie dans un contexte économique et commercial fortement concurrentiel et réussi même la prouesse de placer leurs produits à l’exportation, rencontrent-ils les pires difficultés pour promouvoir leurs investissements ?”. El Khabar, journal et télévision, a également mis en exergue les attaques inappropriées et injustifiées du ministre de l’Industrie et des Mines. Mais ce sont les réseaux sociaux qui taillent le plus de croupières à Bouchouareb, soupçonné d’un “règlement de comptes” qui sort du cadre de ses missions. Beaucoup d’internautes ont fait parler leur génie, comme celui qui a ironisé sur la fonction de Bouchouareb, en postant ce commentaire : “Un ministre de l’Industrie qui bloque l’industrie, ça ne se produit qu’en Algérie !” Ou encore cet autre qui assène que “l’Algérie est le seul pays où il est interdit de réussir”, et enfin, cette remarque judicieuse de ce que “le contrôle de l’investissement est incompatible avec une économie libérale”. Outre les internautes, les partis politiques ont, eux aussi, dénoncé la sortie de Bouchouareb.

        La secrétaire générale du PT, Louisa Hanoune, s’est même autorisée de rappeler au ministre le b.a.-ba du politiquement correct : “Quand on est à l’étranger, on dit mon pays, mais quand on est en Algérie, on dit notre pays”, lui a-t-elle fait remarquer. Le chargé de communication au RCD, Mazouz a qualifié les accusations de Bouchouareb contre Rebrab de “chasse aux sorcières contre des personnes qui disent des vérités, comme Rebrab qui n’a fait que mettre le doigt là ou ça fait mal”. Soufiane Djilali, président de Djil el-djadid, a fait remarquer, pour sa part, qu’“un ministre de la République ne doit pas exprimer des humeurs”.
        Comble de malheur pour le ministre de l’Industrie et des Mines, c’est qu’il n’a pas trouvé de soutien y compris auprès de sa chapelle partisane, le RND. Une disgrâce qui pourrait lui coûter même sa place au gouvernement.
        " Celui qui passe devant une glace sans se reconnaitre, est capable de se calomnier sans s'en apercevoir "

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        • #94
          Hahaha, là c'est du Liberté tout craché... La réponse de Bouchouareb a été censurée par l'APS (source Algérie patriotique autre ligne de la matrice), et Liberté le traduit comme émanant de Ouyahia... La proximité entre Ouyahia et Bouchouareb est telle que la réponse à cette polémique sera cadencée. L'objectif du RND, c'est d'éviter des polémiques stériles, et sortir de cette histoire par le haut. Rabrab aura le même objectif, sauf qu'il est allé trop loin dans ses manipulations, car le fond du problème n'est pas la forme critiquable de ce ministre, mais la surfacturation de Rabrab pour transfert illicite de devises. Tout le monde y a perdu des plumes, et Rabrab perdra plus de plumes dans cette histoire, pour la simple raison qu'il a plusieurs cadavres dans son placard, et qu'il est allé trop loin dans sa réponse à ce ministre, sur en plus une tentative d'arnaque de ce dernier. Rabrab a besoin du soutien politique du gouvernement sur Piombino, qui semble tourner au vinaigre pour lui, avec des pressions syndicale et la menace de demission du direxteur de l’aciérie. Le gouvernement pourra lui demander de passer la main à son fils s'il veut une aide pour des appuis diplomatiques auprès des italiens, car tout le monde a intérêt à réussir l'acquisition de Piombino...

          J'espère ne pas trop décevoir ta sollicitation... La propagande lénifiante du journaliste de libertée est particulièrement inintéressante, car basique et à sens unique, pour ne pas s'y attarder...

          PS: L'épisode El Magharibia a du générer beaucoup de crispation pour que Rabrab se sorte indemne de cette histoire...
          Dernière modification par ott, 04 octobre 2015, 11h15.
          Othmane BENZAGHOU

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          • #95
            Aferpi, dopo quattro mesi rinuncia già il direttore generale
            Zambon, ai ferri corti con Tidjani, fa un passo indietro. Le dimissioni non sono state ancora accettate, Rebrab tenta di ricucire lo strappo

            di Alessandro De Gregorio

            Stampa - 10 settembre 2015

            L'amministratore delegato Farid...
            L'amministratore delegato Farid Tidjani e il presidente Issad Rebrab (foto Pabar)
            PIOMBINO. Non è una buona notizia quella anticipata dal Sole 24 ore e rilanciata anche da Siderweb. Il direttore generale di Aferpi, Adriano Zambon, ha presentato le proprie dimissioni. Notizia che l’azienda non commenta, non conferma ma neanche smentisce. I rapporti tra Zambon e l’amministratore delegato Farid Tidjani a quanto pare sono giunti a un punto di rottura, anche se Zambon da tempo avrebbe manifestato l’intenzione di rinunciare. E ora, a soli quattro mesi dall’incarico, ha già consegnato la propria lettera di dimissioni nelle mani del presidente Issad Rebrab. A quanto abbiamo appreso, lo stesso Rebrab avrebbe preso tempo nel tentativo di ricomporre la cosa e nei prossimi giorni verrà a Piombino per incontrare i due manager.
            In questo braccio di ferro tra Zambon e Tidjani, sembra blindata la posizione dell’amministratore delegato, amico e socio di vecchia data di Rebrab. Non si esclude che il presidente del gruppo riesca davvero a ricucire lo strappo e convinca sia Zambon a ritirare le dimissioni, sia Tidjani a proseguire la collaborazione con l’ingegnere chimico veneto, ex direttore generale del Gruppo Beltrame. Ma le possibilità in questo senso sono poche.
            Se le dimissioni verranno accettate, si dovrà nominare un nuovo direttore generale. Il giornale della Confindustria ipotizza già il nome del successore: Pierre Varnier, il supermanager francese già designato nel 2011 dal pool di banche creditrici per guidare la ristrutturazione finanziaria del gruppo Lucchini. Ma è un’ipotesi piuttosto azzardata, considerando appunto il ruolo già avuto da Varnier in Lucchini e seguito dal commissariamento da parte di Piero Nardi. Più probabile che, perso Zambon, Rebrab punti su un nome nuovo.
            LEGGI ANCHE:

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            Certo è che questa “guerra” tra Zambon e Tidjani non se la aspettava nessuno. Almeno all’esterno. Fonti interne dell’azienda rivelano invece che i loro rapporti non sono mai stati idilliaci, a quanto pare per una certa indole autoritaria e decisionista del manager algerino. C’è chi sostiene che alcune frizioni sarebbero nate sulla questione degli approvvigionamenti di billette e blumi per i treni di laminazione, chi invece allude al forno elettrico; e chi riferisce di divergenze totali sulla questione dell’appalto per la bonifica dell’area a caldo.
            In ogni caso, i rapporti sarebbero precipitati nelle ultime due settimane producendo il raffreddamento, diciamo così, dell’entusiasmo iniziale manifestato da Zambon per l’operazione Aferpi. Forse è solo una coincidenza, ma a fine agosto il direttore generale era l’ospite di punta della festa dell’Unità, in una serata in cui si sarebbe dovuto parlare di industria, di acciaio, di Aferpi. Più volte annunciato, all’ultimo momento Zambon aveva disertato quell’incontro.
            Formalmente, lui e Tidjani hanno continuato a lavorare e a mostrarsi insieme. Per esempio lunedì mattina, nell’incontro con il consigliere regionale ed ex sindaco Gianni Anselmi. Il quale Anselmi non si era accorto di nulla, tanto da inviare alla stampa un comunicato con cui esprimeva grande ottimismo anche sul fronte dei tempi.
            Ed è proprio questa la domanda che ora si pongono in tanti: comunque vada a finire, quali riflessi potranno avere queste dimissioni? Sicuramente non faranno guadagnare tempo, e il tempo in questa fase è il vero capitale. Senza contare l’immagine, sul fronte internazionale, di un’azienda che investe per far nascere una "stella del Mediterraneo” ma che al primo intoppo perde il proprio direttore generale.
            Intanto i sindacati hanno chiesto un incontro urgente all’azienda. “Qualunque decisione verrà presa – dice Luciano Gabrielli a nome di Fim, Fiom e Uilm – dovrà essere compatibile con i tempi e i contenuti del progetto: acquisizione dei forni elettrici, bonifiche, investimenti. Che Zambon ritiri le dimissioni o che venga nominato un nuovo direttore, non vogliamo che si perda tempo prezioso. L’azienda ha grosse ambizioni, per questo la invitiamo anche a strutturarsi in modo adeguato”.
            Pour avoir fait une partie de mes études en Italie, connaissant un chouya le syndicalisme italien et la veille tradition politique florentine, Rabrab s'est engouffré dans un sacré rébus... Les florentins sont très différents des bougiautes ou Setifois...
            Othmane BENZAGHOU

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            • #96
              Polémique Rebrab –Bouchourab : Hamid Temmar tacle Bouchouareb
              El Watan - le 04.10.15 | 14h30 Réagissez


              S’exprimant au sujet de la polémique entre l’actuel ministre de l’industrie et des mines, Abdeslem Bouchourab, et le patron de Cevital, Issad Rebrab, l’ancien ministre de l’industrie, Hamid Temmar, a jugé que s’il était à la place de Bouchourab, il aurait « invité le patron de Cevital à investir dans l’industrie lourde »




              Sans pour autant s’étaler sur le sujet, l’ancien ministre, qui s'exprimait aujourd’hui, en marge de sa conférence donnée au département des sciences économiques de l'université de Bouira, a déclaré également que du point de vu des arguments et autres déclarations faites par M Rebrab, ce dernier, a entièrement raison.



              La déclaration faite par Hamid Temmar, est du point de vu des présents à la conférence, un soutien à l’industriel Rebrab. « Une chose est sûre, investir dans le sucre et l’huile c’est bien, mais pour l’intérêt de l’économie nationale, il faudrait que le secteur privé investisse dans l’industrie lourde », a-t-il encore ajouté.



              Hamid Temmar, a dressé par ailleurs, un tableau peu reluisant de l’économie du pays à l’occasion de sa conférence au tour du thème, « l'Economie algérienne et le contre choc pétrolier : enjeux et perspectives ». D’emblée, le conférencier qui s’exprimait devant les étudiants et les enseignants a estimé que l’économie nationale est tout bonnement en panne. Chiffres et détails à l’appuie, l’ancien membre du gouvernement, et ex-conseiller économique du président de la République est allé plus loin en soulignant que les indices économiques confirme cet état de fait, tout en préconisant la relance des investissements.
              A mon tour de souhaiter une réaction de notre avocat invétéré de Rabrab...
              Othmane BENZAGHOU

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