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Mehri inaugure un complexe à El Oued qu'il dédie à sa mère ...

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  • #16
    Envoyé par zwina
    Je n'ai pas reçu d'invitation pour l'inauguration

    Ca vaut vraiment le coup de le vivre avec ou sans invitation
    Envoyé par Arezki
    Moi qui n'a fait que rédiger l’annonce...
    Encore merci Mr Mhri , pour votre apport qui ma permis de me sentir d' avoir été utile dans ma vie ...
    “On a trois ou quatre fois dans sa vie l'occasion d'être brave, et tous les jours, celle de ne pas être lâche.”

    Cet "insignifiant" acte a été l’expression du joyau en toi, sahit.
    Dernière modification par GLP, 29 mai 2016, 01h32.
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    • #17
      Chacun son metier et a chacun sa personalite !!

      Mehri est un véritable pro du Tourisme qui travaille en silence et en toute discrétion !!!!!
      Voila un véritable homme d'affaires !!
      Dernière modification par Fouad, 29 mai 2016, 08h19.
      Le Sage

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      • #18
        J'attendais la sortie de certains forumeurs, sur l'origine de la fortune de Mehri ( vu qu'il a longtemps été responsable au FLN) mais jusqu'à présent le silence est de rigueur , mais jusqu'à quand ?

        Rebrab n'a pas echappé aux critique, car tout algérien qui investit et crée des emplois au pays est trés mal vu .

        Quant au complex , je ne sais plus qui a posté des photos et un article à ce sujet.

        IL y avait même une vidéo sur youtub , mais élas elle est supprimée

        https://www.youtube.com/watch?v=kfp7uT6k3FM
        " Celui qui passe devant une glace sans se reconnaitre, est capable de se calomnier sans s'en apercevoir "

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        • #19
          mehri n'a jamais été responsable au fln, d'ailleurs, son vrai nom est mehria et non pas mehri. quand mehria, en homme d'affaires d'envergure internationale, voyageait en avion personnel, votre rabrab rassemblait les factures à la sogedia.

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          • #20
            Il a été député ( indépendant , si ce mot peut dire quelque chose ) .
            " Celui qui passe devant une glace sans se reconnaitre, est capable de se calomnier sans s'en apercevoir "

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            • #21
              il a été député independant proche du parti hams de nahnah à l'époque, mais jamais responsable du fln comme un certain faïste vient de le prétendre si légèrement.

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              • #22
                comme un certain faïste vient de le prétendre si légèrement.
                Ce certain faiste , c'est moi, et j'ai précisé qu'il a été élu député "indépendant".

                Il n'y a jamais d'élus en Algérie, ils sont tous désigné par le pouvoir, et le pouvoir c'est le FLN , puisque son président d"honneur est le président de la république .
                " Celui qui passe devant une glace sans se reconnaitre, est capable de se calomnier sans s'en apercevoir "

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                • #23
                  Cet héritage n’a pas été perdu pour tout le monde !
                  Au sixième étage d’une luxueuse résidence de l’avenue Montaigne, à deux pas de l’immeuble de l’ancien Premier ministre libanais Amine Gemayel, se trouve le superbe loft de Djillali Mehri, ce milliardaire algérien grand intermédiaire entre Paris et Alger. Sur les murs de son appartement, des photos encadrées le montrent en compagnie des grands de ce monde, Djillali Mehri pose aussi bien avec le président de la République François Mitterrand, qu’avec le maire de Paris, Jacque Chirac, ou le rois du Maroc, Hassan II. On le surprend en compagnie de Cheikh Abbas, l’ancien recteur algérien de la Mosqué de Paris, à laquelle, grand seigneur, notre homme offrait en 1985 de superbes fontaines.

                  Vieille famille marchande de Metlili, une bourgade toute proche d’El Oued dans le Sud algérien, les Mehri faisaient commerce de thé, de sucre et de tissus avec les nomades. Le clan fut toujours au mieu avec les puissants, comme le montre une autre photos accrochées avenue Montaigne : on y voit le propre père de l’homme d’affaire en grande discussion avec Max Lejeune, alors ministre SFIO du Sahara sous la IVe République. Chaque jour, en milieu d’après-midi, les Mehri prenaient le thé. « Jobéissais à son regard », se plaît à raconter le fils, des années plus tard. En France, où il réside depuis vingt ans, Djillali Mehri est surtout connu pour le rachat de Chaffoteaux et Maury en février 1985. Leader européen du chauffe-eau à gaz, l’entreprise présentait un lourd passif de 325 millions de francs. La légende a été savamment cultivée : Mehri aurait appris sur le chemin de La Mecque que Chaffoteaux était en vente. La grâce est pourtant de courte durée. En 1989, Mehri revend l’affaire, après un plan de licenciements et avec une forte plus-value : « A l’impossible, déclare-t-il alors, nul n’est tenu. » Entre temps, cet Algérien s’est construit une image de milliardaire au grand coeur, dénonçant toutes les formes de racisme et plaidant pour l’intégration de ses compatriotes moins nantis.

                  Plus qu’un industriel Mehri est un de ces intermédiaires qui constituent la partie visible de cet iceberg qu’est le monde obscur des affaires se traitant entre la nomenklatura algérienne et ses interlocuteurs français. « Un négociant international », corrige-t-il. Tout l’intéresse. Au point qu’en 1986 cet homme d’affaires tente, sans succès, de prendre une participation de 20% dans les chaînes de télévisions française, TF1 ou la Cinq. Ses intérêts sont regroupés au sein du GIMMO (Groupe d’investisseurs du Maghreb et du Moyen-Orient), qui passa longtemps pour être le faux nez de la famille du président Chadli. Pour plus de sécurité, les fonds transiteraient, d’après le journal Jeune Afrique, par l’intermédiaire de Gem Petroleum et de Spiralstream, des sociétés financières du groupe basées au Luxembourg.

                  Comme beaucoup de dignitaires de son pays, Djillali Mehri a surtout investi dans l’immobilier. Mehri vit sur un grand pied. On se bouscule aux receptions qu’il donne dans sa superbe propriété de la région parisienne : deux villas de maître, des dépendances, cent dix hectares, une piscine olympique, des tennis, un héliport. Une vingtaine d’employés participent à l’entretien de cette somptueuse résidence. Le majordome de cette belle demeure fut longtemps Bernhardt Brinkmann, ancien officier de la Wehrmacht. La propriété est bien gardée. Djillali Mehri y reçoit aussi bien le roi Fayçal d’Arabie que Valéry Giscard d’Estaing. Homme de bonne compagnie, Mehri est propriétaire d’une galerie de peinture, rue de Lisbonne. L’orientaliste Etienne Dinet, qui a donné son nom à ce haut lieu de l’art parisien, fut le peintre officiel sous l’ère du président Chadli. Mehri lui consacre une rétrospective et un livre. D’où vient son joli patrimoine ? A l’entendre, sa force de travail aurait suffi à construire sa coquette fortune : « Je ne suis pas un intermédiaire mais un homme d’affaires international : nous sommes commerçants de père en fils, je n’ai jamais cessé de travailler depuis l’âge de seize ans. » L’affaire est pourtant plus complexe.
                  The truth is incontrovertible, malice may attack it, ignorance may deride it, but in the end; there it is.” Winston Churchill

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                  • #24
                    Débutant à El Oued qui fut une région de contrebande avec la Tunisie, Mehri voit déjà grand, vendant des Renaults Dauphine, des réfrigérateurs et des primes d’assurance. Montant à Alger dès 1960 sans même le certificat d’études, Djillali Mehri rachète des pneus à l’armée française pour les revendre à la Libye, partenaire fidèle et constant de ses réseaux d’affaires. Avant l’indépendance, Mehri traite avec les Juifs algériens de la rue de la Lyre qui contrôlent traditionnellement une partie des exportations vers Paris. Depuis toujours, ces familles séfarades jouent un rôle considérable dans le commerce extérieur algérien. A la fin du XVIIIe siècle, les familles Bacri et Bouchenak se spécialisèrent déjà dans l’import-export de grains, ravitallèrent les armées françaises pour les campagnes d’Egypte et d’Italie et devinrent une vraie puissance économique.

                    Les chambres de commerces françaises eurent souvent à se plaindre de cette concurrence féroce. A l’époque, le grand Joseph Bacri eut le plus grand mal à se faire rembourser par l’Etat français. Talleyrand lui-même fut son soutien le plus fidèle. Installés en France après l’indépendance, les Juifs d’Alger continuent leurs affaires avec l’Algérie, notamment la Compagnie algérienne de minoterie (CAM) dirigée par Prosper Amouyal qui continue à exporter vers l’Algérie beaucoup de blé et de semoule importés. Mehri servit d’intermédiaires à ces anciens grossistes séfarades et à quelques autres. Aux premières années de l’indépendance, cet homme entreprenant travaille avec Slimane Offman, un cacique du FLN, et avec Draya, le redoutable chef de la police sous Boumediene, et rachète les magasins du Bon Marché à Alger. Grâce à ses nouvelles relations, Mehri obtient de l’Etat algérien deux ateliers de bateaux en gérance, lance les premiers réfrigérateurs à pétrole « Kelvinator », monte une industrie de jute en Oranie, rénove le Royal Hôtel d’Oran, puis acquiert une librairie en plein centre d’Alger, La Croix du Sud, où l’on trouvera des livres pro-islamistes après les élections municipales de 1990 lorsque les fous d’Allah ont le vent en poupe. Avec ces premiers succès, Mehri révèle un vrai talent de commerçant.

                    L’horizon algérien ne suffit plus à Djillali Mehri qui « monte » à Paris au début des années 70. C’est là que se négocient en effet beaucoup des gros marchés d’import-export qui approvisionnent l’Algérie sur la plupart des marchés vitaux. Longtemps, la France fut le seul vrai interlocuteur du commerce extérieur algérien. Avec la signature du contrat sur le gazoduc Transmed entre l’Algérie et l’Italie, via le cap Bar en Tunisie, Rome entre en force, à la fin des années 80, sur ce marché algérien. Le montant de ces contrats est considérable. L’Algérie d’aujourd’hui ne produit pas plus sur le plan agricole qu’au moment de l’indépendance et importe plus de 70% de sa consommation alimentaire. Or, de rapides et solides fortunes se bâtissent grâce aux commissions obtenues sur ces contrats d’importations. La dénonciation à Alger de « la maffia politico-financière » ne relève pas de la seule rhétorique. Au coeur de l’impasse algérienne, la corruption discrédite tout sens de l’effort.

                    L’Algérie est loin d’être le seul pays à être touché par cette gangrène. Mais l’affaire a pris des proportions plus grandes qu’ailleurs : l’importance de la manne pétrolière a augmenté les tentations. Le monopole étatique du commerce extérieur a facilité la mainmise sur les marchés par une poignée de dignitaires algériens. La dépendance vis-à-vis de l’ancienne métropole a simplifié les contacts avec les fournisseurs français qui ont, autant que les Algériens, trempé dans ces arrangements. La distribution des commissions a toujours été réglée au plus haut niveau. Déjà, pendant la guerre d’Algérie, Abdelhafidh Boussouf, le chef omnipotent du MALG (ministère de l’Armement et des Liaisons générales) régnait sur cette manne. Son contrôle se poursuit officiellement après l’indépendance. Les fonctionnaires de la toute-puissante Sécurité militaire algérienne participent bel et bien, au titre « de la prévention et de la sécurité préventive » (PSP), aux commissions gouvernementales qui désignent les bénéficiaires étrangers de ces gros marchés d’importation. Simple courtier en assurances, mais en fait homme de confiance de Boumediene et fondateur de ce qui est devenu la Sécurité militaire, Boussouf possède des fiches sur les principaux dignitaires du régime et surveille la distribution des prébendes

                    D’autres hommes du MALG, en Suisse ou à Paris, se reconvertissent dans les affaires. « On ne peut récolter le miel sans y avoir trempé le doigt », avait même l’habitude de dire le très austère colonel Boumediene qui exerçait une vraie régulation politique sur l’attribution de ces commissions. A sa mort, en 1979, commence l’ère Chadli qui autorise la généralisation de ces rentes. Avec un baril à 40 dollars jusqu’en 1985-1986, époque de la chute brutale des cours, les marchés d’importation sont particulièrement juteux. Les années 80 sont celles des Programmes antipénurie (PAP) et de la multiplication des marchés. Encore faut-il, à Paris, des intermédiaires pour négocier les commissions avec les fournisseurs français pour le compte de l’Algérie. Pour Djillali Mehri, au mieux avec Abdellaziz Khellaf, successivement ministre du Commerce puis ministre de l’Economie et des Finances, originaire lui aussi d’El Oued, le cahier des charges est simple : inspirer confiance, séduire les Occidentaux et négocier les contrats à Paris. Inimitable, le numéro de Djillali Mehri sur l’ouverture de l’Algérie vers l’extérieur, l’économie de marché, le code d’investissement. Apparemment ça marche : « Mehri a une vraie capacité d’accès, il est bien introduit en Arabie Saoudite, connaît bien Kadhafi, il connaît tout le monde. » Le compliment vient d’un connaisseur, Gille Ménage, l’ancien directeur de cabinet de François Mitterrand, devenu le président d’EDF.

                    En Algérie, l’habile marchand sait rester au mieux avec les régimes successifs : dès l’indépendance, Mehri répare le bateau offert par l’Egyptien Nasser à Ahmed Ben Bella, le premier président algérien. Ses liens ont toujours été très forts avec Bouteflika, le ministre des Affaires étrangères de Boumediene qui fut pressenti, fin janvier 1994, pour la présidence algérienne. La montée des islamistes ne le laisse pas plus désemparé : candidat à El Oued comme indépendant, appuyé par le mouvement Hamas, le second parti islamiste algérien dirigé par le cheikh Nahnah, Mehri, cet ami de la Grande Mosquée de Paris, offre trois cents pèlerinages à La Mecque à ses électeurs et mène une vraie campagne à l’américaine : posters, auto-collants…Toujours suspicieux, l’ancien président Boumediene s’était posé des questions sur la fortune de Mehri, lorqu’il visita son domaine d’El Oued. De quoi en effet s’interroger : ce véritable palais des mille et une nuits est construit sur des dunes aplanies ; la bâtisse blanche est surmontée d’une coupole centrale et d’une quinzaine d’autres argentées ; des palmiers innombrables cernent les bâtiments pour les chasses géantes au sanglier qui y sont organisées. Quand les jets d’eau marchent chez Djillali Mehri, dit-on en Algérie, la ville d’El Oued, toute proche, n’a plus d’eau.

                    Pour le mariage d’une de ses filles avec Djanan Hoceini, fils d’un conseiller financier du roi Fahd, la cérémonie à El Oued fut même filmée par hélicoptère. Les cassettes ont été distribuées à Alger. Une vraie légende court sur Mehri, seigneur du désert qui finança longtemps l’équipe algérienne de football.

                    Nicolas Beau
                    source extraits « Paris, Capitale, Arabe ». Editions Le Seuil
                    The truth is incontrovertible, malice may attack it, ignorance may deride it, but in the end; there it is.” Winston Churchill

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                    • #25
                      Les malversations bancaires

                      au Cpa remontent à beaucoup plus loin en 1976 un certain pdg du Cpa Allali Abdelkader s’est livre à de la délinquance financière avec la complicite de Djillali Mehri, l’homme de Jacques Foccart et le directeur de la sureté nationale de l’époque un certain Draia ont monté une association mafieuse pour escroquerie et vol de millions de francs au travers de montages financiers via les crédits créés et mis à la disposition des anciens maquisards pour les éloigner de la politique. Tout ça a été porté à la connaissance de Boumediene par un certain Mohamed Benyahia qui a été une des victimes de Boumedene qui ensuite est juste intervenu pour que son passeport lui soit restitué car on l’empêchait de quitter le territoire. Cet homme a ensuite fait l`objet de lynchage et d`expropiation de ses biens par un ancien mercenaire qui était prefet et qui faisait partie de cette association mafieuse un certain Slimane Hoffmann.
                      Mohamed Benyahia a immortalisé ce temoignage dans dans son récit « Conspiration au pouvoir, récit d`un maquisard » paru aux éditions arcanteres en 1988. Ce livre est épuisé alors qu’il vaut son pesant d`or, les éditions Arcantères egalement et le propriétaire de ces éditions qui était à une adresse 8 rue Passage Folies Regnault dans le 11 arrondissement de Paris a disparu dans la nature depuis son départ un jour pour son pays d`origine, un pays du Maghreb, ses coordonnées restent sur internet mais les éditions et l’éditeur ont disparu.
                      Donc les magouilles du Cpa qui est directement lie à la mafia et ce mot est bien transcrit ainsi dans le livre de Benyahia remontent aux années de Boumediene sans que celui ci ni Merbah n`aient pu empêcher les prédation du Trésor public les ordres venant de leurs maîtres qui les ont placés au pouvoir
                      The truth is incontrovertible, malice may attack it, ignorance may deride it, but in the end; there it is.” Winston Churchill

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                      • #26
                        l’auteur nicolas beau omet de preciser comme l’a fait un autre auteur ancien capitaine du gign paul barril dans son temoignage « guerres secrètes de l’elysée » que c’est sous la houlette de giles menage que les services secrets francais interieurs et exterieurs ont été regoupes et centralisés a l’elysees
                        et que mehri est très lié a giles menage qui le recevait sans intermediare tout comme mitterand et que les reunions dans sa maison du sud est gardé par la dgse française donc conclusion il est de la dgse française
                        lié a l’arabie saoudite et au hamas algerien et kadafi revenu s’installer en algerie
                        il n’est pas besoin de sortir de st cyr
                        pour avoir une idée sur le role de mehri dans le fouttoir algerien
                        The truth is incontrovertible, malice may attack it, ignorance may deride it, but in the end; there it is.” Winston Churchill

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                        • #27
                          Azul Solas

                          L'auteur de ton article Nicolas Beau fait souvent dans la mythologie, dès le 1er paragraphe il y a des erreurs :

                          A la fin du XVIIIe siècle, les familles Bacri et Bouchenak se spécialisèrent déjà dans l’import-export de grains, ravitallèrent les armées françaises pour les campagnes d’Egypte et d’Italie et devinrent une vraie puissance économique.
                          Les Bacri c'est les intermédiaires qui avaient vendu le blé à l'état français qui refusait de payer, ce qui valu à l'envoyé du Roi de France une gifle par Hussein Dey et déclencha la colonisation, ils sont algérois. C'est Michael BouchnakI qui était associé à Joseph Bacri, les Bouchenak ne sont pas juifs, ils sont de la région de Tlemcen.

                          Il y a plein d'autres erreurs mais ça serait trop long de toutes les énumérer. Il ne faut jamais prendre à la lettre ce que peuvent écrire les journalistes français sur l'Algérie, ça colle rarement à la réalité. Il ne faut pas oublier que les principaux médias français sont détenus par des financiers qui ont souvent des actions dans les compagnies pétrolières ou bancaires africaines. Le monde des affaires est un milieu impitoyable. L'autre problème que soulève ton article c'est que les principaux cités pour la partie française sont tous de la fameuse cellule Afrique de l'Elysée. Ce qui revient à dire que la France envoie des agents de la DGSE comme interlocuteurs pour les contrats. et partenariats. Si c'est le cas c'est plutôt inquiétant pour les algériens.
                          Dernière modification par zwina, 29 mai 2016, 17h49.
                          Les libertés ne se donnent pas, elles se prennent

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                          • #28
                            Oui solas il faut se mefier de ce personnage.

                            Il s'est fait même condamner pour diffamation a paris par saadani !!!

                            Une véritable prouesse journalistique
                            « Great minds discuss ideas; average minds, events; small minds, people. » Eleanor ROOSEVELT

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                            • #29
                              Peu importe, pourvu qu'il investisse en Algérie et crée des emplois pour les jeunes dans la région, à l'instar de Rebrab .
                              " Celui qui passe devant une glace sans se reconnaitre, est capable de se calomnier sans s'en apercevoir "

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                              • #30
                                J'ai horreur de Mickepédia, car n'importe qui peut écrire n'importe quoi , mais j'ai trouvé ceci :

                                Son père était un important grossiste dans l'agroalimentaire de la région3.

                                En 1970, Djillali Mehri acquiert le fonds de commerce du "Bon Marché", grand magasin de la rue Larbi Ben M'Hidi à Alger, établissement fermé depuis plus de quarante ans pour cause de blocage administratif4.

                                Il s'est fait connaître dans les années 1980 à travers le GIMMO (Groupe d'Investisseurs du Maghreb et du Moyen Orient).

                                Dans les années 1980, il est propriétaire de la galerie Etienne Dinet, 30 rue de Lisbonne, Paris, 8e, exposant sa collection des œuvres de ce peintre qu'il présente dans une "lettre de Djillali Mehri" introduisant la présentation de la galerie.

                                En 1985, il rachète la société Chaffoteaux et Maury, qui est revendue en 19891, devenant pendant cette période le second employeur dans la région Bretagne3.

                                En 1986 il est candidat au rachat de 20% de la chaîne de télévision TF15.

                                Dans les années 1990 il fonde le groupe Mehri qui investit dans plusieurs secteurs en Algérie dont les boissons et l'hôtellerie.

                                En 1995 il signe un contrat avec Pepsi pour devenir l'embouteilleur et distributeur exclusif de la marque en Algérie à travers la société Atlas Botteling Company Pepsi. En 2014, il revend 33% des actions au fonds d'investissement américain Emerging Capital Partners pour 80 millions de dollars6.

                                À partir de 1996 il est le représentant d'Ericsson en Algérie7.

                                En 2000 il crée Setifis Botteling Company qui fabrique des produits Pepsi mais aussi les marques Jufré, Bonjos et Farha.

                                En 2001 il crée la brasserie Tango, qui détient 40% du marché algérien de la bière lorsqu'il la revend à Heineken en 2008 pour 135 millions d'euros8.

                                En 2002 il crée la société CEPRO spécialisée dans la production des produits d’hygiène pour bébé et pour femmes9.

                                En 2005 il signe un contrat de partenariat avec le groupe Accor en Algérie à travers la société Sieha SPA detenue à 50% par les deux groupes10. Ce partenariat vise à construire trente-six hôtels moyenne gamme sous les marques Ibis, Novotel et Etap1.

                                En 2006 il inaugure l'Hôtel Royal à Oran qu'il avait acheté en 1967.

                                En 2016 il inaugure le complexe touristique La Gazelle d'Or à El Oued d'une superficie de 140 hectares.

                                Djillali Mehri est un collectionneur d'arts1. En 2003, il confie à Lynne Thornton l'organisation d'une exposition ouverte à Paris de peintures orientalistes issues de sa collection11.
                                Est-ce- ce vrai tout cela?
                                " Celui qui passe devant une glace sans se reconnaitre, est capable de se calomnier sans s'en apercevoir "

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