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Bouteflika plaide pour l’unicité du Monde arabe

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  • #16
    Là voila enfin, ... mais t'en as pris du temps !!!

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    • #17
      Far

      Au début rien à dire juste un sourire puis ton intervention où tu prônais l'union des algeriens encore rien à dire mais tes vieux démons t'ont repris et je n'ai pu qu'en rire Chasser le naturel et il revient au galop ; Elle est belle ton union des algeriens Tu veux que je rajoute du sel ou de l'harissa ?
      Les libertés ne se donnent pas, elles se prennent

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      • #18
        «la disparition de l’Etat-providence» a appauvri les populations au moment où «l’effacement de l’idéologie et de la culture officielles impulsées par l’Etat-nation les a provisoirement privées de repères».
        Bouteflika reconnait les erreurs mais oublie simplement qu'il fait parti de ceux qui ont contribué à l'effacement des repères. S'il commençait déjà par réunir le peuple algérien cela serait déjà un début......
        Les libertés ne se donnent pas, elles se prennent

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        • #19
          tes vieux démons t'ont repris et je n'ai pu qu'en rire
          Vieux démons !!? hahahahahaha
          Si tu le dit
          Tu veux que je rajoute du sel ou de l'harissa ?
          oui j'aime bien le salé, mais tu peut rajouter aussi du ketchup et de la salade, mais pas d'ognons stp.

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          • #20
            Bouteflika plaide pour l’unicité du Monde arabe !


            encore un discour , qui va provoquer une tempète dans un verre d'eau ; nos politiciens n'arrivent pas unir 5 pays ou il existe vraiment une identité maghrébine et voila , qu'on passe la grande vitesse pour une unité à 22 .

            Avec ce message , le chef de l'état na pas pris de risque .
            Mr NOUBAT

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            • #21
              Noubat

              Il faut bien que Bouteflika justifie enfin sa candidature au prix Nobel de la paix. Nous allons certainement assister dans les prochains mois à des discours auquel il ne nous avait pas habitué mais être le premier president algerien à prétendre au prix Nobel mérite quelques sacrifices. C'est le bon moment pour revendiquer car il ne pourra se permettre de refaire les erreurs du passé..........
              Les libertés ne se donnent pas, elles se prennent

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              • #22
                zwina :
                la construction de l'UMA est bloquée , attendons nous à une surprise les mois prochains , prix nobel oblige .
                Mr NOUBAT

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                • #23
                  Il faut bien que Bouteflika justifie enfin sa candidature au prix Nobel de la paix.

                  .................................................. ...........
                  ZWINA

                  Les seuls qui pouvaient le soutenir sont ses pairs ( les dictateurs arabes )mais tu vois comment il les toise et il se permet meme de les critiquer.

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                  • #24
                    Moumed

                    Les seuls qui pourraient le soutenir c'est son peuple mais d'abord il va lui falloir les unir.........
                    Les libertés ne se donnent pas, elles se prennent

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                    • #25
                      "Même si l’arabe a plus d’écho que Tamazight … elle n’a pas d’écho dans le monde qu’il faut ... donc pour avancer comme tu dis l’arabe n’est pas la langue qu’il faut."

                      pour avancer il faut se raccrocher au reste du monde, et l'arabe langue parlée dans une partie non négligeable du monde c'est pas une si mauvaise idée pour avancer.
                      alors à moins de mettre l'anglais comme langue officielle en algérie, pour l'instant y a pas de meilleure solution.


                      quant à Bouteflika plaidant pour l'unicité du monde arabe, dans une allocution d'ouverture d'une manifestation culturelle s'appellant "alger capitale du monde arabe" ça n'a rien d'étonnant, c'est logique, je ne vois pas de quoi d'autre il aurait pu parler.....discours que l'on oublira probablement assez vite.
                      ne dépense pas deux mots, si un seul te suffit.

                      Commentaire


                      • #26
                        "Tu as raison, les algériens n'officialiseront jamais notre langue, la seule solution possible est l'independance de la kabylie". (quote libreFFX)

                        Donc, à lire ta prose, tu n'es pas Algérien! L'indépendance de la Kabylie? Autonomie ou autodétermination? Première variante bienvenue, la seconde est irréalisable...à moins de se contenter de manger des sangliers et des châtaignes apprêter à l'huile d'olive!!

                        "Nos destins sont si étroitement liés".

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                        • #27
                          Des sangliers et des châtaignes apprêtés à l'huile d'olive peuvent caler un estomac pas le pétrole. D'ailleurs touts les pays riches n'ont pas de pétrole ce qui ne les a pas empêché de se développer..........
                          Les libertés ne se donnent pas, elles se prennent

                          Commentaire


                          • #28
                            Zwina

                            Des sangliers et des châtaignes apprêtés à l'huile d'olive peuvent caler un estomac pas le pétrole. D'ailleurs touts les pays riches n'ont pas de pétrole ce qui ne les a pas empêché de se développer..........
                            aeeeeeeeeeeeinh c'est donc ça que tu cherche Zwina !! Dacord on prend note

                            ps. ramasse vite le masque

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                            • #29
                              Pauvres pays qui n'ont pas de pétrole...preuve la Norvège 3eme exportaeur!
                              _______________________________________

                              Son nationalisme attisé par la fièvre de l'or noir, l'Ecosse rêve d'indépendance


                              ROYAUME-UNI. Au lendemain des élections du 3 mai, le Parti national écossais pourrait lancer un référendum explosif.

                              En prenant le train de Glasgow à Londres, va-t-on un jour traverser deux Etats? L'hypothèse n'est pas saugrenue. L'indépendance de l'Ecosse a peut-être été longtemps une menace que brandissaient sous forme de provocation les supporters du Glasgow Rangers devant les fans de Chelsea. Aujourd'hui, la volonté indépendantiste écossaise entre dans le champ politique et est prise très au sérieux. Tony Blair, le premier ministre britannique, craint un «cauchemar constitutionnel» et a sermonné ses troupes pour qu'elles se mobilisent contre une telle perspective. Un ministre de son cabinet, cité dans The Independent, évoque même un risque «d'éclatement du Royaume-Uni».

                              Pour mesurer l'ampleur de la menace, il faudra attendre le 3 mai prochain, quand les Ecossais renouvelleront leur parlement. Le Parti national écossais (Scottish National Party, SNP), porteur du rêve indépendantiste, a le vent en poupe. Il pourrait devenir le premier parti à l'issue du scrutin et envisager rapidement un référendum sur la question. Cette revendication fait écho à un constat préoccupant: selon un sondage réalisé à la fin 2006, 51% des 5 millions d'Ecossais se disent favorables à l'indépendance et 59% des Anglais seraient prêts à accepter le divorce.

                              Le débat sur l'indépendance de l'Ecosse résume en substance les tensions qui parcourent le Royaume-Uni et dont le Parti national écossais a su tirer profit. Chantre de l'indépendance, il bénéficie de l'essoufflement du blairisme et du New Labour. Le travailliste Jack McConnel et la coalition qu'il dirige avec les libéraux démocrates à Edimbourg sont en train de faire les frais de la chute de popularité de Tony Blair. Les conservateurs étant quasi inexistants, le SNP est la seule force d'opposition et est susceptible d'engranger les voix du mécontentement.

                              Deuxièmement, le Parti national écossais a aussi compris les gains à tirer de l'or noir. Il estime ainsi que les gisements pétroliers du Shetland appartiennent à 90% à l'Ecosse. Vu les prix élevés du brut, il pense pouvoir faire de l'arme pétrolière un levier pour l'indépendance. L'éditorialiste Steve Richards résume la donne en une formule: «Le SNP cartonne quand les revenus de la mer du Nord sont élevés. Actuellement, le Trésor encaisse environ 12 milliards de livres (ndlr: près de 30 milliards de francs) de l'extraction pétrolière.» Leader du SNP, Alex Salmond a en tout cas une idée très claire de son projet d'indépendance. Dans un forum de la presse britannique, il précisait lundi qu'il n'y aurait plus de parlementaires écossais à Londres, ni d'armes nucléaires (Trident) dans le port de Firth of Clyde, à l'ouest de Glasgow. Il n'y aurait pas non plus de contrôle aux frontières avec l'Angleterre. Quant à Elizabeth, elle resterait la reine d'Ecosse. Enfin, le pays deviendrait un membre à part entière de l'Union européenne.

                              La quête indépendantiste touche souvent à l'identité régionale exacerbée par une mondialisation perçue comme menaçante. Sans remonter aux Stuarts, les Ecossais peinent à s'identifier aux arrogants Londoniens et plus généralement aux Anglais down south qui profitent de la manne pétrolière écossaise.

                              Cette quête concerne aussi les Anglais eux-mêmes, qui montrent des signes d'agacement vis-à-vis de leurs cousins du nord. Selon le Financial Times, l'Ecosse touche, au travers du Royaume-Uni, 11 milliards de livres nets. Les Anglais déplorent aussi que les Ecossais aient décrété la gratuité des soins pour les plus âgés et rejeté la hausse de l'écolage pour les universités. Ils pestent contre la grande liberté que leur a conférée la décentralisation. De plus, certains trouvent inacceptable que les 56 parlementaires écossais de la Chambre des communes puissent toujours voter sur des questions purement anglaises alors que pour les Anglais, la réciproque n'est pas vraie. Probablement conscient du danger nationaliste outre-Manche, Gordon Brown, le chancelier de l'Echiquier, a tenté de rapprocher les cousins en développant, l'an dernier, la notion de «britannité» (britishness) pour les rallier autour de l'Union Jack, le drapeau du Royaume-Uni.

                              La menace indépendantiste, si elle est réelle, doit toutefois être relativisée. Il est en effet peu probable que le Parti national écossais, dont l'un des principaux sponsors est l'acteur Sean Connery, obtienne une majorité absolue des 129 sièges du parlement à Edimbourg. Contraint de composer avec un autre parti, il aura de la peine à vendre son désir d'indépendance.

                              Les milieux politiques se demandent, inquiets, quel impact aurait une indépendance aboutie sur l'Union. La dévolution (décentralisation), mise en œuvre en 1998, fut l'une des grandes réalisations du premier mandat de Tony Blair. L'indépendance de l'Ecosse constituerait dès lors un cinglant échec. De plus, elle pourrait donner des idées aux Gallois, qui ont aussi leur parlement, et attiser à nouveau les velléités indépendantistes irlandaises.

                              La crise constitutionnelle qui s'ensuivrait pourrait faire une victime d'importance: Gordon Brown. Le chancelier de l'Echiquier est Ecossais. Grand favori à la succession de Tony Blair, il perdrait sa légitimité à gouverner le Royaume-Uni. Pour celui qui a attendu son heure pendant plus d'une décennie, il serait pour le moins ironique que ce soient les Ecossais eux-mêmes qui le privent de pouvoir. Au moment où Angleterre et Ecosse célèbrent le tricentenaire de leur union scellée en 1707.

                              Source:journal Le Temps, 11/1/2007

                              ______________________________________________


                              Les compétences héritées de la dévolution

                              Dans le cadre de la dévolution mise en œuvre en 1998, l'Ecosse, 5 millions d'habitants, a hérité, au même titre que le Pays de Galles et l'Irlande du Nord, d'un parlement avec diverses compétences. Celui-ci peut adopter des lois en matière sociale, économique et locale. Il est notamment responsable de la police, de la santé, de l'éducation et de l'aménagement. Actuellement, les travaillistes détiennent 38,7% des sièges, le Parti national écossais 19,4%, le Parti conservateur et unioniste 13,2%, et les libéraux démocrates 13,2%. Le gouvernement écossais, appelé Exécutif du parlement, est actuellement dirigé par un premier ministre (first minister), le travailliste Jack McConnell.

                              Source:journal Le Temps,11/1/2007

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                              • #30
                                Far

                                Pourquoi tu manges du pétrole ???
                                Les libertés ne se donnent pas, elles se prennent

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