Envoyé par zaki17
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L’école algérienne entre incompétence et obscurantisme
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Qui sont ces pays qui s'en sortent bien ?
Je suis d'accord avec toi, le problème de l'école algérienne n'est pas la langue arabe.
mais malgré tout je ne vois aucun pays arabe ayant une bonne école. C'est la médiocrité étendue d'un bout à l'autre du monde arabe.
L’Égypte, tout les enseignements se font en langue arabe
L'Iraq, la Syrie ...
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L’Égypte, tout les enseignements se font en langue arabe
L'Iraq, la Syrie ..tu tombe je tombe car mane e mane
après avoir rien fait ...on a souvent le sentiment d'avoir faillie faire ....un sentiment consolateur
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J'en conclus donc à la mauvaise foi et je laisse tomber. Désolée.
Non c'est toi qui est de mauvaise foi !
J'affirme et je signe :
Il y avait des classes bilingues jusqu'à la fin des années 80. L'arabisation n'a "commencé" tout doucement qu' au début des années 70 comme tu le dis toi même !
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quand je te lis, j'y vois un pur produit de notre malheureuse école..
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Bachi : oui, c'est vrai. Ce n'est pas fort en cohérence mais à sa décharge, il essaie de bâtir un raisonnement en français sans maîtriser cette langue.
C'est vrai que je maitrise pas le français, mais je maitrise autres choses. Je ne me moque pas des gens, je reste courtois et je réponds qux gens qui m'adressent la parole
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il avait pas dit " qui s'en sorte bien " ????
Bon ben,on sait maintenant ce qu'il ne faudrait pas faire...ارحم من في الارض يرحمك من في السماء
On se fatigue de voir la bêtise triompher sans combat.(Albert Camus)
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Zaki,
C'est vrai que je maitrise pas le français, mais je maitrise autres choses. Je ne me moque pas des gens, je reste courtois et je réponds qux gens qui m'adressent la parole
excuses-moi si je t'ai blessé.
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Envoyé par prenpalateteles faits sont têtus!
les égyptiens nous ont envoyé leurs déchets avec l'aval, je te l'accorde, de nos dirigeants et nous en payons les conséquences jusqu'à maintenant.
C'est aussi le résultat d'une situation héritée de la période coloniale avec un taux d'analphabétisme de la population qui dépassait les 80% en 1962 en plus du départ de pratiquement tous les enseignants, techniciens, cadres moyens et supérieurs, et fonctionnaires français à cette date. Avec l'indépendance, a démarré la scolarisation massive des enfants. Pour doter les écoles en enseignants, le pouvoir a aussi fait appel à des "sous-diplômés" (avec un niveau du cycle moyen, on pouvait devenir moniteur — enseignant du primaire — après un stage à l'école normale). Cela a eu un effet en cascade sur les générations suivantes d'enseignants.
L'effet du vide suite au départ brusque des français s'est répercuté aussi sur l'administration publique après l'indépendance. D'ex fonctionnaires, simples exécutants, se sont retrouvés nommés à des postes de responsabilité: de simples agents dans un tribunal durant la période coloniale ont été bombardés juges, des caissiers dans des banques en sont devenus directeurs, des walis et des chefs de daïras (on les appelait préfets et sous-préfets) avaient à peine le niveau du brevet des collèges ou de 1ère année secondaire (par la suite, grâce aux années d'études préparatoires à l'entrée à l'université, ils vont pour la plupart décrocher une licence en droit avec 1 point supplémentaire dans leur moyenne de passage pour chaque 2 ans de participation à la Guerre de libération nationale, sans compter les points qu'ils pouvaient avoir grâce à la complaisance de l'administration universitaire), etc.
Durant les années 1960-70, le sous encadrement dans le pays était tel que certaines administrations offraient aux étudiants de graduation des présalaires qui approchaient du SNMG et le dépassaient même à partir de la 2ème ou 3ème année, pourvu qu'ils signent un contrat de travail de quelques années avec ces administrations après l'obtention de leur diplôme. Certaines grandes sociétés nationales de l'époque (Sonatrach, Sonelec, Sns...) contactaient elles-mêmes des étudiants pour leur proposer des bourses pour suivre à l'étranger des études de post-graduation."Je suis un homme et rien de ce qui est humain, je crois, ne m'est étranger", Terence
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Parce que l’islam n’est pas qu’une religion, il est aussi une culture. S’il n’était resté qu’une religion, il n’aurait même pas pu ni su développer ses propres sciences religieuses telle que la théologie. Car toutes ces sciences nécessitent la maîtrise d’une pensée spéculative que l’on ne peut acquérir ni développer en l’absence de la logique. Or la logique n’est ni arabe ni islamique, elle est grecque. Les livres mêmes dans lesquels sont exposées ces sciences religieuses ont emprunté leurs techniques de composition, leurs modèles d’écriture et leurs traditions littéraires à la plus prestigieuse de toutes les cultures antiques : la culture hellénistique. Les faux défenseurs de la langue arabe de chez nous, ceux qui sont responsables de son naufrage scolaire, ne savent pas – bien sûr – qu’ils sont tributaires de la culture grecque jusque dans la façon dont ils ont appris à lire et à écrire la langue arabe, et qui est celle que les écoles coraniques ont perpétuée depuis des siècles.
Notre intellectuel est le pur produit de l'occident colonial ....un occident métamorphosé qui a fini par reconnaitre l'apport des autres civilisations dans l’odyssée humaine ....Notre intello ne s'est pas encore affranchi
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Envoyé par Zaki17C'est vrai que je maitrise pas le français, mais je maitrise autres choses. Je ne me moque pas des gens, je reste courtois et je réponds qux gens qui m'adressent la parole
quand je vois comment certains ici s'expriment en français et sont issus de l'école algérienne ça me laisse songeuse sur leur "arabisation" forcé... Ce collectif avec cet article c'est juste un coup d'épée dans l'eau ça fera peu de vagues et l'incompétence au sein de l'éducation nationale algérienne sera toujours reine...
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tu maîtrises bien le français mais tu m'as donné l'impression que tes réponses ne tenaient pas compte des nôtres.
excuses-moi si je t'ai blessé.
Bien sûr que je tenais compte de vos réponses, on discute prenpalatete et chacun donne son avis !
Pour moi ce n'est pas la langue arabe qui est le problème de l'enseignement en Algérie ! Le problème est ailleurs, dans les programmes, dans la surcharge des matières, ...
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quand je vois que des cultivateurs attendent des semences pour cultiver de la pomme de terre alors que cette semence ils peuvent la faire eux même je me dis ce n'est pas possible, comment est ce que le pays en est arrivé là ?
ça aussi c'est la faute de l'arabisation et de la bigoterie ??
purée ça me fait vraiment de la peine sincèrement, qu'une bande d'intellectuels se permettent de raconter des niaiseries alors qu'il y a un réel problème au sein de l'éducation nationale en Algérie et ce à tous les niveaux aussi bien général que professionel !
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tu t'exprimes très bien en français, il ne faut pas faire attention, aux piques insignifiants ça veut clairement dire que quand ils n'ont plus d'arguments, ça part en moqueries, ça fait dans le sarcasme et pire quand ils viennent en meute ça se congratule, ça se donne de la force
quand je vois comment certains ici s'expriment en français et sont issus de l'école algérienne ça me laisse songeuse sur leur "arabisation" forcé... Ce collectif avec cet article c'est juste un coup d'épée dans l'eau ça fera peu de vagues et l'incompétence au sein de l'éducation nationale algérienne sera toujours reine...
Je connais bien FA, ça fait 10 ans que je suis ici.
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