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Un collectif d’intellectuels et d’universitaires algériens s’inquiète de la «néo salafisation» de la langue arabe

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  • #31
    Y a-t-il un lien entre la langue arabe et la salafisation?
    Pas sûr même si les arabisants algériens sont beaucoup plus salafistes que les francisants. Quoique les francisants en Algérie sont devenus denrée rarissime.


    Y a-t-il un lien entre l'école et la salafisation?
    Sûrement, c'est toujours l'école la source de toutes les idéologies.
    ce qui se conçoit bien s'énonce clairement et les mots pour le dire arrivent aisément

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    • #32
      Y a-t-il un lien entre la langue arabe et la salafisation? Bachi

      La langue arabe, non; enseignée oui! Sans rentrer dans les détails, en 2009, en compagnie d'universitaires, nous avons visité des écoles, universités, bibliothèque...Perso, j'ai dit que ce n'est pas l'Algérie que j'ai connue. Les enseignants, sans généraliser, sont d'un niveau suspect, tenue vestimentaire douteuse, comportement moyenâgeux (manque de respect et de tolérance), la majorité des enseignantes voilées. Il y avait absence du beau, de qualité, de propreté et du savoir se comporter.

      Y a-t-il un lien entre l'école et la salafisation?

      Les pratiques remarquées, les méthodes d'enseignement salafisent et compromettent toutes les chances des enfants à maîtriser les outils à s'émanciper, à construire une pensée logique.
      J'ai même vu une enseignante envoyer un élève lui acheter des sardines dehors dans la rue, pendant le cours!!!
      Les plus chanceux, et ils sont nombreux, ont des cours privés et surtout en français.

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      • #33
        La langue arabe, non; enseignée oui! Sans rentrer dans les détails, en 2009, en compagnie d'universitaires, nous avons visité des écoles, universités, bibliothèque...Perso, j'ai dit que ce n'est pas l'Algérie que j'ai connue. Les enseignants, sans généraliser, sont d'un niveau suspect, tenue vestimentaire douteuse, comportement moyenâgeux (manque de respect et de tolérance), la majorité des enseignantes voilées. Il y avait absence du beau, de qualité, de propreté et du savoir se comporter.
        D'accord avec toi, si bien sûr tu fais allusion à Benghebrit et son doctorat ou à Sellal qui se dit énarque (poste 30) !

        Same question, que j'avais déjà posée. Peux tu nous dire de quel moyen-age il s'agit et que tu méprise tant ! voilée ou non, la femme occidentale n'avait même pas le droit aux études en ce moyen-age occidental !

        Chez nous monsieur ou madame, la beauté est innée et naturelle. Elle n'est pas imaginée comme dans les contes de cendrillon ou au maquillage comme les actrices de cinéma !

        Concernant la propriété des pieuses femmes voilées, dit toi qu'elles se lavent au moins 5 fois par jour !
        Dernière modification par abderahmane1, 26 novembre 2016, 18h35.
        "نحن قوم أعزنا الله بالإسلام ..." Omar Ibn El Khettab RA

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        • #34
          la propriété ou la propreté?

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          • #35
            la propriété ou la propreté?
            mais la "Propreté" bien sûr, ses "propriétés" tu les trouveras dans ce lien http://www.algerie-dz.com/forums/sho...d.php?t=373640
            "نحن قوم أعزنا الله بالإسلام ..." Omar Ibn El Khettab RA

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            • #36
              "Chez nous monsieur ou madame, la beauté est innée et naturelle. Elle n'est pas imaginée comme dans les contes de cendrillon ou au maquillage comme les actrices de cinéma " Abdrahmane
              Vous voulez que je vous montre films et photos comment les femmes s'habillent dans les fêtes ? En mini-jupe! Robes de stars! Certes, sans les hommes mais ...
              les gaouris sont tolérés!!!
              La propreté! Je laisse ceux qui y vivent te répondre, s'ils le désirent.
              Et pour les européens je vais leur poser la question: pourquoi n'ont-ils pas garder le latin, langue du "peuple chrétien" !
              Je demanderai aux japonais pourquoi dans leurs foyers s'habillent traditionnellement et dehors vivent le 3° millénaire!
              Nous voulons, (j'espère que vous l'êtes aussi) une Algérie au diapason de l'histoire humaine et, que le peuple algérien qui a tant donné puisse vivre comme il le mérite, et comme bon lui semble.

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              • #37
                Chez nous monsieur ou madame, la beauté est innée et naturelle.
                La mocheté aussi est naturelle et innée.

                Surtout la mocheté la plus grave, celle à l'intérieur, chez les salafistes puisqu'on parle d'eux.
                ce qui se conçoit bien s'énonce clairement et les mots pour le dire arrivent aisément

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                • #38
                  Vous voulez que je vous montre films et photos comment les femmes s'habillent dans les fêtes ? En mini-jupe! Robes de stars! Certes, sans les hommes mais ...
                  Pourquoi "mais" ? la Awra (partie à cacher), entre femmes et comme celle des hommes, c'est à dire du nombril jusqu'au genou. wa Allah A3lem

                  les gaouris sont tolérés!!!
                  Goret issu du mot Gawri, signifie petit cochon.

                  La propreté! Je laisse ceux qui y vivent te répondre, s'ils le désirent.
                  il y a http://www.algerie-dz.com/forums/sho...d.php?t=373640

                  Et pour les européens je vais leur poser la question: pourquoi n'ont-ils pas garder le latin, langue du "peuple chrétien" !
                  Le latin agonisant et réservé seulement aux prêches de l’église à partir de 1600, et pour je ne sais quelle raison, a été par loi écarté de l'administration française et remplacé par la nouvelle langue; appelée langue française ou langue de Moliere !

                  Je demanderai aux japonais pourquoi dans leurs foyers s'habillent traditionnellement et dehors vivent le 3° millénaire!
                  Quelle est la relation entre la longueur du bateau et l'age de l'amiral !!!

                  Nous voulons, (j'espère que vous l'êtes aussi) une Algérie au diapason de l'histoire humaine et, que le peuple algérien qui a tant donné puisse vivre comme il le mérite, et comme bon lui semble.
                  Certainement d'accord pour la sauvegarde de l'Histoire. Les bons sauts nécessitent les bons élans !
                  Dernière modification par abderahmane1, 26 novembre 2016, 20h28.
                  "نحن قوم أعزنا الله بالإسلام ..." Omar Ibn El Khettab RA

                  Commentaire


                  • #39
                    Surtout la mocheté la plus grave, celle à l'intérieur, chez les salafistes puisqu'on parle d'eux.
                    le salafisme est une école sunnite, et comme toute école personne ne peut t'obliger, si tu n'as pas la compétence et le savoir ou la volonté, d'y accéder ! je ne vois donc pas où est ton problème si personne n'en parle ici sauf pour délirer !
                    "نحن قوم أعزنا الله بالإسلام ..." Omar Ibn El Khettab RA

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                    • #40
                      Un collectif d’intellectuels et d’universitaires algériens s’inquiète de la «néo salafisation» de la langue arabe : «Ni guerre aux conservateurs, ni soutien à Benghebrit, mais un besoin urgent d’une école moderne»
                      Des intellectuels algériens, dans une tribune qu’ils ont conjointement signée, ont alerté sur l’état «déplorable» de l’école algérienne, «délabrée», selon eux, par les tenants de «l’obscurantisme et de la salafisation» qui se servent de la langue arabe pour porter atteinte à la qualité d’une école «ruinée», à mille lieues des sciences et du véritable savoir.
                      Le mathématicien, historien des sciences, professeur émérite à l’université des sciences et des technologies de Lille, également ancien ministre de l’Education nationale Ahmed Djebbar ; le linguiste et professeur à l’université d’Alger Abderrezak Dourari, l’historien et ancien dirigeant du FLN Mohammed Harbi, l’écrivain et professeur de littérature moderne aux universités d’Alger et de Paris-III-Sorbonne-Nouvelle Wassiny Laredj ; la linguiste et enseignante à l’université d’Alger Khaoula Taleb-Ibrahimi et enfin l’historien, directeur d’études à l’Ecole des hautes études en sciences sociales (EHESS) à Paris, Houari Touati, ont signé, en date du 21 novembre, une tribune dans le quotidien français le Monde dans laquelle ils dénoncent «l’appauvrissement et la néo-salafisation de la langue arabe dans la société», particulièrement dans le système éducatif, otage, selon eux, «de l’incompétence et de l’obscurantisme».


                      Faux diplômés

                      El Watan le 30.11.10
                      L’ancien ministre de l’Education du gouvernement de Belaïd Abdesslam, actuellement enseignant universitaire et consultant dans l’Hexagone, Ahmed Djebbar, a rompu le silence qu’il a secrètement gardé depuis près de deux décennies en révélant qu’il avait fait délivrer de faux diplômes universitaires à de hauts responsables algériens dont il s’est abstenu de citer les noms. La confidence de l’ancien ministre connu pour sa droiture, sa probité morale et intellectuelle faite au détour d’une conférence qu’il avait donnée en Algérie et reprise par notre confrère Le Soir d’Algérie dans sa page «Périscope» a été reléguée au registre des faits divers.
                      La déclaration n’a suscité aucun commentaire, indignation ou dénonciation. En voulant libérer sa conscience ou pour d’autres considérations qui lui sont propres, Ahmed Djebbar ignorait-il à ce point la gravité de son geste au double plan de l’éthique universitaire et pénal ? Dans un pays qui se respecte, l’aveu de M. Djebbar ne resterait pas sans suite. La justice se serait immédiatement autosaisie du dossier pour débusquer les diplômés faussaires.
                      Des plaintes avec constitution de parties civiles auraient fusé de partout : de la communauté universitaire, du ministère de l’Enseignement supérieur pour faire la lumière sur ces allégations qui auraient provoqué, ailleurs, un véritable tsunami juridico-médiatico-politique. Le statut social, politique, l’appartenance à des réseaux d’influence interfèrent-ils sur l’action de la justice ? Nul doute que si cette affaire de trafic de diplômes était le fait de simples citoyens aux épaules frêles, leur sort aurait été vite scellé par la justice. Mais dans le cas de figure qui nous intéresse, parce qu’il s’agit de gros poissons, le pavé de Ahmed Djebbar ne semble pas près de connaître de suite.
                      Affaire classée ? L’ancien ministre de l’Enseignement supérieur que l’on disait proche du regretté président Boudiaf n’a pas de quoi être fier de s’être fourvoyé dans cette condamnable affaire de trafic de faux diplômes pour le compte de hauts dignitaires de l’Etat. La meilleure manière de se repentir de son geste qui ne l’absout pas pour autant de la responsabilité pénale, c’est d’avoir le courage politique de livrer à l’opinion et à la justice les noms des faux «doctours» qui nous gouvernent et dont il a eu à gérer les dossiers.
                      Ce dossier de faux diplômes impliquant des personnalités haut placées intervient après bien d’autres scandales touchant d’autres secteurs tels que les affaires des faux moudjahidine, des faux magistrats… qui ont paradoxalement valu aux personnes qui ont sorti ces dossiers des démêlés sans fin avec la justice. Tout laisse penser que la sortie de M. Djebbar s’apparente à une autre bouteille à la mer qui n’arrivera jamais à bon port.
                      Omar Berbiche

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                      • #41
                        La déclaration n’a suscité aucun commentaire, indignation ou dénonciation
                        on attend solas par là

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