Doute sur le passé révolutionnaire de Djamel Ould Abbès Le moudjahid Abid El Berkchi persiste et signe

[ELKSOURI]

Il s'agit de M. Bellahcene Bali, ancien moudjahid, et historien, auteur de plusieurs ouvrages sur la Révolution algérienne,

Historien ?? Quels sont ses ouvrages ??
Tu as oublié de préciser qu'il est de Tlemcen .Tout une mise en scène préparée avec DOA .
Demander le témoigages de vrais et grands historiens tel que Harbi .

[zwina]

Iska

Zwina , donc pour toi tout ce qui est MALG est à rejeter , tu insultes des moujahidine qui ont fait parti du MALG , qui ont combattu pour l'indépendence, et qui sont retournés dans l'anonymat .

Autre chose dans tous les noms , il faut mettre la filiiation compléte, nom prenom , date et lieu de naissance , nom du pére de la mére, or là il n'en est rien .

Tous les anciens du MALG ne peuvent que reconnaître que les renseignements fournis par Boussouf n'ont pas été à la hauteur de la tâche qui lui fut confiée. Si la plupart ont préféré l'anonymat, c'est justement parce qu'ils savent parfaitement que Boussouf a fait beaucoup de mal à la Révolution ne serait ce qu'en tuant de ses propres mains Abane Ramdane. Donc qu'aujourd'hui des anciens du MALG prétendent désigner les vrais ou faux Moudjahidin, c'est gonflé vu tout le monde sait que Boussouf a fait de nombreuses bourdes en désignant comme traître tout ceux qui remettaient en cause son autorité ou qui exigeaient des explications sur les armes qui n'arrivaient jamais jusqu'aux maquis. Les faux renseignements ont causé de nombreux morts dans les rangs des Moudjahidins, il est directement responsable vu qu'il était infiltré par les services français mais qu'il ne le savait pas alors qu'il était sensé les contrer. On ne peut donc se fier aujourd'hui aux déclarations de ceux qui furent à ses côtés. Bellahcene Bali a fait un formidable travail d'histoire pour l'Algérie sans s'enrichir alors que Senoussi est devenu un homme d'affaires que l'on dit millionaire. L'un est donc plus attiré par l'argent que l'autre, ce qui est un trait de caractère qui a causé plus de mal que de bien à l'Algérie.

[mesmar]

.... Il lui créa des ailes .....

.... Un proverbe que Iska et elksouri connaissent: ""lorsque DIEU a voulu

torturer la fourmi, il lui créa des ailes"" ... Qui aurait dit que viendra un jour

où les gens se mettent à juger les puissants du FLN ..... Regardez c'est

le 2 ème homme fort du FLN (après Saadani) à être projeté au devant de

la scène pour être juger de cette manière. ..... Rien qu'à être interpellé de la

sorte est plus ou moins humiliant. .... Si on pioché sur le passé de ces gens ... 80 pour cent de ces gens en prison ..... ceci on supposons avoir une justice.

[Pomaria]

ELKSOURI

Historien ?? Quels sont ses ouvrages ??

tous d'abord, tes émoticônes indiquent que pour toi, Bellahcene Bali c'est un HARKI de LA PIRE ESPÈCE ! ha ha ha !

il a été si "harki" , qu'il a été jugé par contumace et condamné à mort à 3 reprises par la justice coloniale française.

Bali a été si Harki, qu'il était très connu dans sa région, fut un vrai fedaï invétéré, et a donné beaucoup de fil à retordre aux services de sécurité du colonialisme français.
Il a été si HARKI qu'il a fait parti de l'avis de recherche des quelques 40 maquisards les plus dangereux d'Algérie et diffusé par la direction de la Sûreté coloniale partout en Algérie. Sa photo figurait ainsi aux côtés entre autres des Amirouche, Abane Ramdane, Ben Boulaïd, Ben Bella, Ben M'hidi, Bouzidi, Boubnider, Boussouf, Boudiaf, Mahsas, Ouamrane, Zighout Youcef, Krim Belkacem....

C'est un historien passionné dans le sens où ce vieux monsieur non seulement vécu cette période et connait personnellement tous ses compagnons d'arme de sa région, mais a passé sa fin de vie dans de nombreuses recherches d'éléments historiques. Il a ainsi réussi à alimenter le musée du moudjahid de la wilaya V, de nombreux documents historiques récupérés de l'administration coloniale, et en faisant du porte à porte pour tout élément à valeur historique concernant notre glorieuse guerre de libération et une collection d'objets et de photos des martyrs de la Révolution tombés au champ d'honneur dans la wilaya V.

Quelques uns de ses livres :

- L’épopée d'une jeunesse saignée à blanc

- Mémoires d’un jeune combattant de l’ALN à Tlemcen et sa région, 1956-1958, Beyrouth, 1999

- le Rescapé de la ligne Morice, Casbah Editions, Alger, 2004.

- Le Colonel Lotfi - Thala editions, 2012

- Héros anonymes de la wilaya IV

[ELKSOURI]

Il a été si HARKI qu'il a fait parti de l'avis de recherche des quelques 40 maquisards les plus dangereux d'Algérie

Tu me fais dire ce que je n'ai pas dit . Pourquoi utiliser le chiffre 40 ??Peux-tu apporter les preuves de ce que tu avances .TOUS les grands chefs de la révolution que tu as cité sont décédés . IL ne reste que lui de vivant mais ignoré de l"ensemble de la population algérienne .Triste sort pour un grand parmi les grands oublié par l'histoire et inconnu du peuple algérien .
Tu n'es pas du tout crédible .
J'ai voulu me renseigner ,mais meme google ne le connait pas oeilfermé

[Iska]

Et ça continue

Silence embarrassé
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le 27.04.17 | 12h00 Réagissez

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Le feuilleton de la qualité de moudjahid et d’ancien condamné à mort du secrétaire général du FLN, Djamel Ould Abbès, n’en finit pas d’alimenter la polémique. Les témoignages d’anciens moudjahidine ayant servi dans les rangs de l’Aln dans la même zone où Ould Abbès affirme avoir milité se multiplent. Ces témoignages venant de personnalités connues pour leur parcours militant et leur probité convergent pour dénier à Ould Abbès le passé révolutionnaire dont il se prévaut et les hauts faits d’armes qu’il s’attribue.

C’est de Tlemcen, lors d’un meeting électoral, que le secrétaire général du Fln a répondu à ses détracteurs en exhibant un procès-verbal des forces armées coloniales, remis par un ancien compagnon d’armes présent au meeting, consignant sa condamnation à mort. Qui dit vrai, qui ment dans cette nouvelle affaire d’accusation et de contre-accusation sur la question de la participation à la Guerre de Libération nationale ?

Le procès du scandale des «magistrats faussaires» révélé dans les années 1980 par un ancien cadre de la justice, M. Melouk, qui avait accusé ces derniers d’avoir usurpé la qualité de moudjahid, court toujours au niveau du tribunal. L’ancien fonctionnaire de la justice n’en a pas fini jusqu’à aujourd’hui de manger son pain noir et de subir les pires représailles, qui ont eu raison de sa santé et de sa carrière professionnelle, pour avoir osé ouvrir cette boîte de Pandore.

Ce genre de débat controversé sur l’histoire portant sur des faits, des individus et des acteurs décédés tombés en martyrs ou encore en vie n’est pas nouveau. On se souvient de l’indignation qu’avaient suscitée les déclarations de Daho Ould Kablia, ancien officier du Malg (ministère de l’Armement et des Liaison générales) sur Abane Ramdane, ou encore les feux nourris émanant de témoignages d’anciens moudjahidine essuyés par le héros de la Bataille d’Alger, Yacef Saâdi, sur l’épisode relatif à la localisation et le dynamitage de la cache de ses compagnons à La Casbah par les parachutistes de Massu.

Face à ces polémiques et à d’autres, où l’histoire, la dignité, l’honneur et la mémoire de nos moudjahidine et de nos valeureux chouhada ont été piétinés, souillés, l’autorité politique, le gouvernement, par l’entremise du ministère des Moudjahidine, l’Organisation nationale des moudjahidine censée détenir les fichiers de tous les moudjahidine et moudjahidate se murent dans un silence douteux. N’est-ce pas l’ONM qui examine les dossiers de reconnaissance de la qualité de moudjahid et qui délivre les attestations en la matière ?

Même l’Association des anciens condamnés à mort ne se sent pas concernée par cette diatribe. Dans la polémique autour du passé révolutionnaire de Djamel Ould Abbès, il aurait pourtant suffi d’un communiqué s’appuyant sur des faits historiques vérifiés pour, sinon clore le débat, du moins canaliser dans un cadre approprié le débat sur l’histoire pour ne pas le laisser exposé aux surenchères politiques auxquelles on assiste.

La personnalité de Djamel Ould Abbès, que l’on dit proche de la famille du président Bouteflika, pourrait bien expliquer l’embarras des institutions officielles à se positionner sur ce dossier. Déjà que la crédibilité des institutions est sérieusement mise à mal, que peut valoir, aux yeux de l’opinion, le document exhibé par Djamel Ould Abbès à Tlemcen pour prouver qu’il est un authentique moudjahid ?

[zwina]

Azul Iska

Face à ces polémiques et à d’autres, où l’histoire, la dignité, l’honneur et la mémoire de nos moudjahidine et de nos valeureux chouhada ont été piétinés, souillés, l’autorité politique, le gouvernement, par l’entremise du ministère des Moudjahidine, l’Organisation nationale des moudjahidine censée détenir les fichiers de tous les moudjahidine et moudjahidate se murent dans un silence douteux. N’est-ce pas l’ONM qui examine les dossiers de reconnaissance de la qualité de moudjahid et qui délivre les attestations en la matière ?

Tu sais que l'ONM ne détient pas les fichiers de tous les Moudjahidin et Moudjahidate, tout comme El Watan le sait parfaitement. Le redac chef joue un jeu c'est son droit mais il devrait faire attention à ne pas tomber dans son propre piège.

Sa photo figurait ainsi aux côtés entre autres des Amirouche, Abane Ramdane, Ben Boulaïd, Ben Bella, Ben M'hidi, Bouzidi, Boubnider, Boussouf, Boudiaf, Mahsas, Ouamrane, Zighout Youcef, Krim Belkacem....

@Pomaria, Boussouf n'a jamais figuré dans les personnes recherchées puisque l'armée coloniale savait parfaitement où il était. C'est ainsi qu'ils ont pu tranquillement arraisonner ou faire sauter toutes les cargaisons d'armes avant même qu'elles passent la frontière.

Les déclarations d'un ancien du MALG, Abderrahmane Berrouane, confirme que Boussouf était aussi l'ami de Jean de Broglie qui participa aux négociations d'Evian et qui était un giscardien.

Boussouf, qui avait connu et combattu la subversion ennemie pendant huit ans, s’avoua vaincu face à la subversion intérieure, «provoquée cette fois par ses anciens élèves et subordonnés». Retiré de la vie politique après l’indépendance de l’Algérie en raison de son conflit profond avec Boumediène, Boussouf faisait parvenir des informations sensibles au pouvoir, selon Abderrahmane Berrouane, par le canal de Kasdi Merbah.

D’après l’auteur, les services français (SDECE) avaient liquidé, dans les années 1960 et 1970, certains amis étrangers de Boussouf comme Enrico Mattei, patron de la société pétrolière italienne ENI, et le prince Jean de Broglie.