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Tizi Ouzou : un mort et deux blessés dans des feux de forêts

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  • #16
    Acapulco

    oui justement, il faut que toute la population se mobilise grands et petits hommes et femmes comme au temps de la révolution où tout le monde travaillait et aidait l'autre , donc il faut que tous les habitants des villages se réunissent pour parler de ce problème d'incendies de foret et de leurs cultures
    C'est ce qu'il se passe. Jeunes, vieux, femmes et enfants se sont mobilisés pour faire face aux feux. Même les soldats de l'ANP, dont ce n'est pourtant pas le rôle, se sont joints aux villageois alors qu'ils n'avaient pas les équipements adaptés. Il y a un immense mouvement de solidarité où pour la première fois depuis des décennies les soldats de l'armée algérienne se sont joints. C'est miraculeux.

    Non zwina , c'est une pure coïncidence , si grazziani a été tué c'était pour le bien de la population qui combattait l'ennemi , bref, perso j'en suis sur que ce sont des détritus qui sont responsables de ces incendies
    Personne ne regrette la mort de Graziani qui n'a eu que ce qu'il méritait, autant de feux simultanés même les soldats ne croient plus à l'accident de la nature ou de détritus...
    Dernière modification par zwina, 14 juillet 2017, 22h59.
    Les libertés ne se donnent pas, elles se prennent

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    • #17
      zwina

      C'est encourageant , il y a encore des hommes dans ce pays
      Il ne faut pas de tout pour faire un monde. Il faut du bonheur et rien d'autre.
      (Paul Eluard)

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      • #18
        zwina

        Même les soldats de l'ANP, dont ce n'est pourtant pas le rôle, se sont joints aux villageois alors qu'ils n'avaient pas les équipements adaptés. Il y a un immense mouvement de solidarité où pour la première fois depuis des décennies les soldats de l'armée algérienne se sinchallahont joints. C'est miraculeux.
        C'est encourageant , il y a encore des hommes dans ce pays, ce qu'il faut faire c'est tirer des enseignements de ces feux afin que les années à venir nos cultures et forêts seront épargnées inchallah
        Dernière modification par ACAPULCO, 14 juillet 2017, 22h56.
        Il ne faut pas de tout pour faire un monde. Il faut du bonheur et rien d'autre.
        (Paul Eluard)

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        • #19
          Acapulco

          ce qu'il faut faire c'est tirer des enseignements de ces feux afin que les années à venir nos cultures et forêts seront épargnées inchallah
          L'enseignement à tirer c'est qu'il faut des canadairs, des citernes, de l'eau et des soldats pour faire face à ceux qui brûlent la Kabylie ...
          Les libertés ne se donnent pas, elles se prennent

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          • #20
            zwina,

            crois-moi que la chaleur étouffante de ces feux de forêt est arrivée jusqu'à Alger , ici on suffoque , tous les jours c'est pareil , aucun rafraîchissement de la température n'est prévu par la météo
            Il ne faut pas de tout pour faire un monde. Il faut du bonheur et rien d'autre.
            (Paul Eluard)

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            • #21
              Il est toujours de bon aloi de rejeter la responsabilité sur l'autre ...

              Si les incendies prolifèrent en Kabylie jusqu'à atteindre les habitations ; c'est la faute avant tout au manque de débroussaillage de la proximité tout au moins des zones habitées, ceci est un travail qui doit-être fait en amont (avant les départs de feux) .

              Pour qu'une vache brule dans une étable, un poulailler soit ravagé par les flammes, une treille de raisin soit consumée dans la coure d'une maison etc ... il y va de la négligence et de la responsabilité humaine ...

              Au lieu de procéder par une forme de bénévolat, au nettoyage, débroussaillage environnementale ... on se bouscule à remplir les mosquées tous les vendredi que Dieu fait ...au risque de voir sa gandoura et même son tapis de prière flambé sous une fournaise plus ou moins volontaire ...
              Dernière modification par infinite1, 14 juillet 2017, 23h45.

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              • #22
                ...

                (. . . La vidéo est lisible sans dommage ni trucage...)

                La "militarité" des "soldats du feu" doit renaître et croître de ces cendres, de ses moyens, de ses possibles, des vies l'attestent et le demandent, autant la résonance attristée des plus jeunes le rappellent, et, pour tout peuple, pour tout état, pour chaque raison, la nature en flamme est un danger majeur...

                Les valeurs préventives doivent atteindre chaque proximité, les valeurs défensives doivent porter chaque enseignements, les valeurs humaines doivent entendre tous risques et toutes peines, les valeurs écologiques doivent valoir toutes biologies, ..., ..., ...

                Les besoins du climat ne sont ni les contraintes ni les vides des lois du droit, d'ailleurs celui de la Méditerranée n'épouse-t-il encore, en guise d'exemple à venir ou à réfléchir, toutes celles et tous ceux conscient d'un accord uni et réel sur le sujet, sur la planète...

                Protéger communément, naturellement, efficacement (tout) l'espace méditerranéen est donc loin d'être une histoire ou un acte hors sujet ou hors rayon...

                merci...
                ...Rester Humain pour le devenir de l'Homme... K.H.R.

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                • #23
                  Avant-hier jeudi, 8h du matin. Le jour se levait sur cette localité qui avait, la veille, vécu l’enfer.

                  Au cœur d’une zone sinistrée
                  Une brise matinale rafraîchissait quelque peu le chef-lieu communal, l’ex-Oued Ksari, 25 kilomètres au Sud-ouest de Tizi-Ouzou, encore sous le poids de la fatigue de la veille. Les militaires encore sur les lieux après une nuit passée à surveiller la situation, montaient enfin dans les camions pour rejoindre leurs casernes, après des vingt quatre heures de dévouement. Les citoyens, eux, commençaient à sortir de chez eux, vaquant à leurs occupations, mais toujours sous le choc de ce qu’ils ont enduré la veille. Nous prenons le CW152 qui mène vers Tachtiouine et les autres villages du flanc ouest du chef-lieu communal. L’air était toujours irrespirable. De part et d’autre de ce chemin sinueux, de la cendre à perte de vue. Notre première escale fut le premier hameau de cette grappe de village (Rabets), dévasté par les flammes.

                  Aâmi Mouh et les volontaires racontent…

                  Des villageois, les yeux encore rougis par la fumée, ramassaient les câbles électriques qui traînaient par terre. «II ne nous reste plus rien. Je suis resté des heures enfermé à l’intérieur de la maison avec mes enfants. Nous ne pouvions pas sortir au risque d’être asphyxiés. On aurait cru que c’était la fin du monde», nous confie l’un d’eux, accablé. Son père le rejoint : «Par où commencer ? Peut-être par remercier Dieu qui a épargné nos vies, puis les jeunes volontaires qui ont lutté contre les flammes comme des lions». Emu, il ajoutera : «Durant toute ma vie, en tant que conducteur d’engin à l’APC, j’ai pris part des dizaines de fois à des interventions d’extinction d’incendies. Mais cette fois-ci, je n’arrive pas à comprendre ni à expliquer ce qu’il s’est passé. Le feu qui a pris là-bas juste en face, au lieu-dit Amalou Oubayred (la forêt du lion) n’a pas mis plus de dix minutes pour ravager tout le maquis avant de traverser l’oued et d’arriver chez nous. En vingt minutes à peine, vous voyez les dégâts. Le lycée a été sauvé in extrémis par un camion-citerne de l’entreprise turque». Notre destination suivante fut le village Imoulak. Tout est calciné. Plus aucun olivier, ni aucun figuier, ni aucun poirier n’est debout. Tout a été réduit en cendres. Les villageois, qui avaient passé la nuit dans le noir, les câbles électriques ayant brûlé, s’étaient regroupés et attendaient la commission de la daïra qui devait évaluer les dégâts. Un éleveur, accablé par la perte de tout son cheptel, accourt : «Il ne me reste plus aucun olivier et j’ai assisté, impuissant, à la dévastation de mes vingt moutons par les flammes. Je suis ruiné », lança-t-il, ne pouvant retenir ses larmes. Les témoignages sont de plus en plus poignants. «Vous savez, avant-hier, un sexagénaire a trouvé la mort alors qu’il voulait aider son baudet à sortir de l’étable. Hier, un autre a failli mourir asphyxié. Il fut évacué à la polyclinique du chef-lieu avant d’être transféré à l’hôpital Krim Belkacem de Draâ El-Mizan où il a été hospitalisé. Ses jours ne sont heureusement plus en danger», nous racontera un habitant du village.

                  De gros moyens déployés, en vain…

                  Contrairement aux incendies qui avaient touché, mardi, six villages importants, à savoir Ath Rahmoune, Afir, Ath Slimane, Tarikht, Imaksnène, Ath Ouacifs et Ath Attella, l’incendie du lendemain, mercredi, a complètement ravagé Rabets, la cité au chef-lieu, Tala N’Rabets, Imoulak et plusieurs autres hameaux. L’appel lancé à toutes les communes de la wilaya par le maire, ainsi que le déploiement de la protection civile, des militaires, des gendarmes et les services des forêts ont néanmoins permis d’épargner les vies humaines et un grand nombre de maisons. «Dès que la situation a commencé à devenir inquiétante, nous avons installé une cellule de crise. Celle-ci était présidée par le maire et constituée de trois autres élus, à savoir un chargé de la communication et de l’information, un autre de l’organisation des moyens matériels et un agent technique. Nous l’avons installée au siège de l’APC. Mais au fur et à mesure que la situation évoluait, nous faisions des sorties sur le terrain pour organiser les secours. Des camions-citernes nous ont été envoyés en renfort de Mechtras, Assi Youcef, M’Kira, Draâ El-Mizan, Tizi-Ghenif, Draâ Ben Khedda, Sidi Naâmane et plusieurs autres municipalités, suite à l’appel que j’ai lancé aux maires de ces communes que je tiens à remercier pour avoir répondu présents. Le plan Orsec-incendie de la daïra a été déclenché et le wali a installé une cellule de crise qui a suivi l’évolution de la situation aussi bien dans notre commune que dans les autres municipalités de la wilaya», expliquera le maire. Devant la mairie, face aux jeunes volontaires qui avaient participé à la lutte contre les flammes, l’un d’eux nous relate : «Les pompiers n’ayant pas d’accès vers plusieurs hameaux touchés par les flammes, ce sont des volontaires munis de seaux remplis à partir de ces camions qui se sont attelés à protéger les maisons. Nous sommes en 2017 et nous continuons à utiliser des moyens rudimentaires pour lutter contre ce genre de catastrophes. Avec les 1 000 milliards de dollars du pétrole, notre pays n’a toujours pas de canadairs pour lutter efficacement contre des sinistres comme ceux d’hier et d’avant-hier».

                  Le maire fait le point sur les dégâts

                  «Pour seulement les deux journées de mardi et mercredi, pas moins de quatre cents hectares (oliviers, figuiers, chêne-liège) sont partis en fumée», dira le maire, M. Said Bougheda : «Jusqu’au jour d’aujourd’hui (Jeudi matin ndlr)), nous avons recensé près d’une cinquantaine d’habitations touchées, 50 ovins brûlés vifs, quinze poulaillers réduits en cendres, des centaines de mètres de câbles électriques brûlés et tombés à terre et 20 000 arbres fruitiers décimés, notamment des oliviers. Les enquêtes sont toujours en cours et le bilan des dégâts risquent encore de s’alourdir», poursuit-il. Beaucoup d’habitants du chef-lieu et des villages croisés déclareront presque en chœur : «Certes, nous avons vu des camions-citernes arriver sur les lieux, mais les secours ne sont pas arrivés à l’heure. Le plus gros des dégâts a été enregistré dans la matinée», regrette-t-ils en substance. «Ceux qui ont provoqué ces feux sont des criminels de la pire espèce, ils méritent la guillotine. Ce sont des ennemis de la vie», dénonceront plusieurs citoyens.

                  L’APC réclame un statut de commune sinistrée

                  Aït Yahia Moussa est l’une des communes des plus pauvres de la wilaya, toutes les enquêtes sociales l’ont démontré. Avec ces deux sinistres, elle le devient un peu plus, quand on sait que la plupart des habitants de cette municipalité ne survivent que grâce à leurs oliveraies et à leurs élevages. «Nous avons rédigé un rapport détaillé sur ces deux incendies. Tous les dégâts y sont notés. Nous avons sollicité le wali pour que notre commune soit déclarée zone sinistrée, en espérant qu’un programme d’indemnisation soit mis en place», enchaîne le maire. Et de conclure : «Je tiens à remercier de vive voie tous les services de sécurité (police, gendarmerie, ANP) qui nous ont assistés durant cette journée cauchemardesque. Nous remercions également tous les maires qui ont mis leurs moyens à notre disposition».

                  Amar Ouramdane
                  Les libertés ne se donnent pas, elles se prennent

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                  • #24
                    Ça m'étonnerait que tous ces départs d'incendie soient d'origine naturel, il y a des pyromanes, soit des locaux qui méritent la punition du voleur d'Akbou sans intervention de la police pour les proteger, soit les militaires, ce qui ne m'étonnerait pas, et qui méritent pire encore .

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                    • #25
                      Je pense que tizi ouzou doit exiger du wali l’installation de gardes -forestiers en nombre suffisant afin de comprendre plus clairement si ces incendies sont naturels ou provoqués par des pyromanes.

                      A peu près tous les 500m dans la forêt il doit être installé une cabine saharienne pour les gardes-forestiers où ils pourront se reposer et s'alimenter lors des rondes dans la forêt et bien-sur muni de talki walkie et toute la panoplie pour pouvoir communiquer avec la ville la plus proche d'eux
                      Dernière modification par ACAPULCO, 15 juillet 2017, 13h40.
                      Il ne faut pas de tout pour faire un monde. Il faut du bonheur et rien d'autre.
                      (Paul Eluard)

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                      • #26
                        Acapulco

                        Je pense que tizi ouzou doit exiger du wali l’installation de gardes -forestiers en nombre suffisant afin de comprendre plus clairement si ces incendies sont naturels ou provoqués par des pyromanes.
                        Vu le nombre d'incendies, ce n'est plus du ressort du wali mais du ministère de la défense, donc l'armée, qui doit faire la lumière sur l'origine de ces feux et trouver les coupables. Autant parfois le doute pouvait exister mais là même des soldats ont vu les flammes surgir près de maisons où il n'y avait ni broussailles ni détritus pouvant expliquer l'origine des incendies. Il y a des pyromanes qui allument ces feux, ils doivent être rapidement trouvé et sanctionné.
                        Les libertés ne se donnent pas, elles se prennent

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                        • #27
                          Oui zwina , hélas il se peut que c'est un acte de détraqués mentaux , c'est pour ça que j'ai suggéré des garde-forestiers et des chiens de garde dans chaque maison du village, tu sais un chien peut prévenir son maître lorsqu'il sent une présence d'un "étranger" et lorsque le propriétaire du chien entend des aboiements ça veut dire qu'il doit sortir pour vérifier les alentours.
                          Dernière modification par ACAPULCO, 15 juillet 2017, 14h59.
                          Il ne faut pas de tout pour faire un monde. Il faut du bonheur et rien d'autre.
                          (Paul Eluard)

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                          • #28
                            Envoyé par Ayarezki
                            Ça m'étonnerait que tous ces départs d'incendie soient d'origine naturel, il y a des pyromanes, soit des locaux qui méritent la punition du voleur d'Akbou sans intervention de la police pour les proteger, soit les militaires, ce qui ne m'étonnerait pas, et qui méritent pire encore .
                            Quel intérêt aurait l'armée a brûler des vaches, des poules et des arbres fruitiers pour ensuite mobiliser ses propres troupes afin d'éteindre ces mêmes feux ???

                            ∑ (1/i²) = π²/6
                            i=1

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                            • #29
                              Azul zwina
                              Vu le nombre d'incendies, ce n'est plus du ressort du wali mais du ministère de la défense, donc l'armée, qui doit faire la lumière sur l'origine de ces feux et trouver les coupables. Autant parfois le doute pouvait exister mais là même des soldats ont vu les flammes surgir près de maisons où il n'y avait ni broussailles ni détritus pouvant expliquer l'origine des incendies. Il y a des pyromanes qui allument ces feux, ils doivent être rapidement trouvé et sanctionné.
                              moi je dirais que c'est le MAKqui a fait tout çà !

                              bref, c'est le syndrome de la VICTIMISATION à outrance.

                              nous sommes tous responsable de ces feux. Ou au moins, tous ceux qui habitent aux alentours et ceux qui en sont responsables de ces régions dévastées..

                              Alors de grâce, arrêtons cette victimisation et la politisation systématique. c'est grave wallah ! ca rend la population de ces lieux, complètement irresponsables de ce qu'il lui arrive.

                              Arrêtons de pleurer sur notre sort, ni de se victimiser. Soit, on est acteur de notre destin, soit on ne l'est pas.
                              Place au débat pour des solutions radicales partagées par tous, tant que c'est chaud.


                              les feux sont actuellement presque partout, d'est en ouest, et les difficultés pour les éteindre, sont strictement les mêmes. Le peu de forêts et de verdures qu'on a en Algérie ( surtout au centre et à l'Est du pays), nous ne savons absolument pas ni les nettoyer, ni les préserver. Des solutions préventives, ou curatives existent. Mais leur application est l'affaire de nous tous. Personne n'est innocent. On est tous coupables. Qu'on se le dise !

                              Ainsi, les détritus en verres jetés sur ces lieux, sont des bombes à retardement. Leur activation par ces grosses chaleurs sont là pour nous rappeler la gravité de nos incivilités et notre laisser-aller face à ces incivilités criminelles !

                              Il est là le premier problème à résoudre dans notre société. L'étape suivante serait d"impliquer tout le monde, pour la préservation de notre environnement.

                              Photo satellite Nord de l'ALGERIE (prise il y a quelques jours) qui montrent le début des feux de forets
                              ===========================
                              Mais à l'heure actuelle, les feux sont à peu près partout. malheruesement, c'est les régions forestières qui sont ainsi les plus difficile à éteindre.

                              Dernière modification par Pomaria, 15 juillet 2017, 15h51.
                              Lorsque vous changez votre manière de voir les choses, les choses que vous voyez changent !

                              Ne cédez donc plus à la tentation de victimisation, si vous voulez êtes l’acteur principal de votre vie.

                              Commentaire


                              • #30
                                Photo Satellite (NASA)
                                https://eoimages.gsfc.nasa.gov/image...007241_lrg.jpg
                                Lorsque vous changez votre manière de voir les choses, les choses que vous voyez changent !

                                Ne cédez donc plus à la tentation de victimisation, si vous voulez êtes l’acteur principal de votre vie.

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