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Affaire KIA Algérie : comment un marché de près de 300 millions d’euros a été “détourné” au profit d’un ami de Bouchouar

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  • #31
    pourquoi être surpris, les Achaibou étaient bien main dans la main avec le système. Par hasard en 99 il lance KIA Algérie avec quels fond alors que le pays sortait à peine d'une guerre civile, tous ces pseudo patron de l'import import plus affairiste les un que les autres alors que hommes et des femmes étaient assassinés par millier eux se constituaient des fortunes obtenant des lignes de crédits des banques du système se constituant des fortunes indécentes planqués dans des paradis fiscaux sous la protection de barons du régime. Les Achaibou ont tous simplement perdu leur parrain et aujourd'hui vous voulais qu'on soit solidaire.
    Réviser vos archives et regarder quel nom apparait dans le scandales de mobilis dont le PDG n'était autre qu'un Achaibou. On mange à tous les râteliers. Comme Khalifa comme Achaibou ni victime ni sidi zekri.

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    • #32
      Dandy,

      Ouvrir le capital, même à une proportion très marginale, d'une entreprise publique à des investisseurs privés est une opération de privatisation (Khawssassa chez les maghrebins et Khasskhassa chez les orientaux).
      Tu veux certainement faire la distinction entre une privatisation totale et partielle.
      Bonjour Boubtis,

      Absolument, au temps pour moi !

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      • #33
        Bonjour Dandy

        désolée, mais je viens juste de voir ton post. Merci pour tes éclaircissements.

        Autant pour moi, je viens d'en lire un peu plus, et il parait que c'est une ouverture de capital. Mais le Pr. Mebtoul émet de sérieuses interrogations à ce propos.

        Ci dessous le lien vers l'article que j'ai posté hier :

        Bonjour Pomaria,

        En réalité, je réagissais plus par rapport à la présentation malhonnête de l'information par certains "journaleux" que par rapport aux réserves exprimés par certains forumistes.

        Personnellement, je ne sais pas quoi en penser : je ne suis pas un grand fan de l'ultra-libéralisme et cela me rend probablement instinctivement peu enclin à adhérer aux ouvertures de capital. Maintenant, si j'en juge par l'avis d'amis qui occupant des postes importants dans de grandes groupes de stratégie à l'international, il semble que cette ouverture de capital soit nécessaire et que de leur point de vue, l'Algérie accuse même un retard à ce niveau.

        Donc au final, je n'ai pas encore tranché entre mes convictions idéologiques (Etat fort, jouant un rôle central dans les secteurs stratégiques) et le pragmatisme économique.
        Dernière modification par Dandy, 23 janvier 2018, 10h02.

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        • #34
          re-salam Dandy
          Personnellement, je ne sais pas quoi en penser : je ne suis pas un grand fan de l'ultra-libéralisme et cela me rend probablement instinctivement peu enclin à adhérer aux ouvertures de capital. Maintenant, si j'en juge par l'avis d'amis qui occupent des postes importants dans de grandes groupes de stratégie à l'international, ils semblent que cette ouverture de capital est nécessaire et que de leur point de vue, l'Algérie accuse même un retard à ce niveau.

          Donc au final, je n'ai pas encore tranché entre mes convictions idéologiques (Etat fort, jouant un rôle central dans les secteurs stratégiques) et le pragmatisme économique.
          Pareil.

          Mais la gestion archaique, familiale et tribale auquelles sont soumises nos entreprises publiques, (ou même privées), fait qu'une ouverture de capital de nos entreprises, est la seule manière de sortir de cette ornière.

          pour moi, 'SI' ouverture du capital veux dire : brader les seuls biens du peuple aux escrocs, et aux imposteurs
          et ce au lieu et place de les vendre avec leur vraie valeur et aux meilleurs investisseurs capables de les gérer et de les faire grandir,

          je dirai résolument : NON.

          je ne suis point spécialiste pour parler du fond du sujet, mais pour moi, les préconditions pour oser parler "ouverture du Capital" en Algérie, est en premier la totale transparence :
          - dans la gouvernance de ces entreprises
          - dans la mise en place des modalités de vente et de gestion des parts de ces sociétés
          .

          D'ailleurs, il faut suffisamment de temps et des échanges transparents et ouverts sans exculsive entre parties prenantes (patronat, état, représentants syndicats, employés, et surtout usagers), pour prétendre définir des modalités de cession qui assurent au minimum les interets du peuple, des biens des algériens, et de l'économie du pays.

          Les gardes-fous ne sont donc pas suffisant pour passer à l'ouverture du capital (et éviter ce qui est arrivé aux entreprises privatisés dans les années 90s !!!). Pire, ces gardes fous sont pratiquement absents.

          Pour aboutir à un processus d'ouverture de capital qui tienne la route et qui réussisse vraiment, le maitre mot ici : c'est la TRANSPARENCE TOTALE. Le dialogue sera difficile et dur, mais c'est la seule et unique clé de succès.

          Et cette transparence, ce n'est pas qu'on y est pas, où qu'on y est loin. Non. Mais, on n'en veut pas !
          Dernière modification par Pomaria, 23 janvier 2018, 09h56.
          Lorsque vous changez votre manière de voir les choses, les choses que vous voyez changent !

          Ne cédez donc plus à la tentation de victimisation, si vous voulez êtes l’acteur principal de votre vie.

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