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MÉMOIRE« L’Algérie est aux mains d’une mafia », accuse Ali BenhadjPublié depuis 3 joursle 14 janvier 2019Par La Rédaction
A l’occasion de la 24e année de l’arrêt du processus électoral, Ali Benhadj a tenu un meeting pour édicter ses « vérités ».
L’ancien chef du FIS dissous n’a pas perdu de sa suffisance. Comme à l’époque de la Djabha, il s’en prend au pouvoir. « Le peuple a choisi », soutient-il. « Le peuple a voté pour un parti pour un temps », ajoute l’auto-proclamé imam. « C’est une mafia », accuse-t-il.
« Mais que fait l’armée dans la politique ? » s’interroge-t-il. « Nous sommes des enfants du peuple, nous ne venons pas de Mars… un groupe avait le pouvoir a liquidé ce parti », détaille-t-il. Il a dénoncé les tortures, les arrestations et l’arrêt du processus électoral.
Devant des milliers de personnes, comme au temps du FIS, Ali Benhadj a tenu son meeting sans qu’il soit interdit de parole. Pourtant habituellement tout rassemblement est interdit. L’ancien chef du FIS dissous dénonce l’absence de justice, d’Etat et de justice. « L’Algérie est au mains d’une mafia », dit-il.
Curieusement, quand Ali Benhadj parle de l’identité nationale, il cite : l’islam en premier, l’amazighité en deuxième puis la nationalité. Point d’arabité.
Mais il a une mémoire sélective. Aujourd’hui, contrairement à 1992, il invoque la démocratie et le respect de la constitution. Pourtant dans les années 1990, il criait : « La doustour, la qanoun »….
MÉMOIRE« L’Algérie est aux mains d’une mafia », accuse Ali BenhadjPublié depuis 3 joursle 14 janvier 2019Par La Rédaction
A l’occasion de la 24e année de l’arrêt du processus électoral, Ali Benhadj a tenu un meeting pour édicter ses « vérités ».
L’ancien chef du FIS dissous n’a pas perdu de sa suffisance. Comme à l’époque de la Djabha, il s’en prend au pouvoir. « Le peuple a choisi », soutient-il. « Le peuple a voté pour un parti pour un temps », ajoute l’auto-proclamé imam. « C’est une mafia », accuse-t-il.
« Mais que fait l’armée dans la politique ? » s’interroge-t-il. « Nous sommes des enfants du peuple, nous ne venons pas de Mars… un groupe avait le pouvoir a liquidé ce parti », détaille-t-il. Il a dénoncé les tortures, les arrestations et l’arrêt du processus électoral.
Devant des milliers de personnes, comme au temps du FIS, Ali Benhadj a tenu son meeting sans qu’il soit interdit de parole. Pourtant habituellement tout rassemblement est interdit. L’ancien chef du FIS dissous dénonce l’absence de justice, d’Etat et de justice. « L’Algérie est au mains d’une mafia », dit-il.
Curieusement, quand Ali Benhadj parle de l’identité nationale, il cite : l’islam en premier, l’amazighité en deuxième puis la nationalité. Point d’arabité.
Mais il a une mémoire sélective. Aujourd’hui, contrairement à 1992, il invoque la démocratie et le respect de la constitution. Pourtant dans les années 1990, il criait : « La doustour, la qanoun »….
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