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]Quoi que l’on dise, quoi que l’on fasse, le monde est divisé entre deux catégories:
- Les peuples libres ou aspirant à être libres et,
- Les peuples soumis aux aléas de l’histoire.
Les premiers avancent comme citoyens responsables et où la classe privilégiée peut se faire bousculée.
Les seconds attendent leur pitance aux coins des rues pour le bonheur de leurs dirigeants, leurs maîtres.
Quel est l’avenir de cette classe de privilégiée?
Berthold Brecht disait:
De qui dépend cette oppression? De nous!
De qui cette oppression cesse? De nous!
Monique Pinçon….
«*C’est nous le peuple qui avons tous les pouvoirs, c’est nous les plus nombreux, c’est nous qui faisons fonctionner l’économie réelle et, on se laisse oppresser, opprimer, déshumaniser, esclavagiser par une petite caste apatride qui s’est accaparé avec le système capitaliste toutes les richesses et tous les pouvoirs.
Tous les dominos, aujourd’hui, basculent en leurs faveurs«*.
Les peuples soumis, abreuvés aux mensonges, sur le long terme acceptent la soumission volontaire et intègre ces prérogatives dans leur subconscient et pour leurs progénitures.
La dictature présente dans tous les pays est graduée selon cette prédisposition à la soumission du peuple.
En vérité, le comportement, la réactivité, la combativité …Bref, la résistance est liée à l’histoire de chaque peuple.
Warren buffet déclarait en 2005:
«*Nous sommes effectivement en guerre de classes, c’est nous les riches qui sommes en train de la gagner.*»
M.P. «*C’est tout à fait possible de pousser les dominos dans l’autre sens, à condition, et à la seule condition que nous nous unissons (le peuple ou les peuples), au-delà de nos divisions, de nos égos, au-delà de tout ce qui nous sépare, pour sauver la planète et l’humanité«*.
- Les peuples libres ou aspirant à être libres et,
- Les peuples soumis aux aléas de l’histoire.
Les premiers avancent comme citoyens responsables et où la classe privilégiée peut se faire bousculée.
Les seconds attendent leur pitance aux coins des rues pour le bonheur de leurs dirigeants, leurs maîtres.
Quel est l’avenir de cette classe de privilégiée?
Berthold Brecht disait:
De qui dépend cette oppression? De nous!
De qui cette oppression cesse? De nous!
Monique Pinçon….
«*C’est nous le peuple qui avons tous les pouvoirs, c’est nous les plus nombreux, c’est nous qui faisons fonctionner l’économie réelle et, on se laisse oppresser, opprimer, déshumaniser, esclavagiser par une petite caste apatride qui s’est accaparé avec le système capitaliste toutes les richesses et tous les pouvoirs.
Tous les dominos, aujourd’hui, basculent en leurs faveurs«*.
Les peuples soumis, abreuvés aux mensonges, sur le long terme acceptent la soumission volontaire et intègre ces prérogatives dans leur subconscient et pour leurs progénitures.
La dictature présente dans tous les pays est graduée selon cette prédisposition à la soumission du peuple.
En vérité, le comportement, la réactivité, la combativité …Bref, la résistance est liée à l’histoire de chaque peuple.
Warren buffet déclarait en 2005:
«*Nous sommes effectivement en guerre de classes, c’est nous les riches qui sommes en train de la gagner.*»
M.P. «*C’est tout à fait possible de pousser les dominos dans l’autre sens, à condition, et à la seule condition que nous nous unissons (le peuple ou les peuples), au-delà de nos divisions, de nos égos, au-delà de tout ce qui nous sépare, pour sauver la planète et l’humanité«*.
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