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Tu as des preuves que NEZZAR est vraiment innocent ? ???
Toujours le réflexe des dictateurs. On accuse et c'est l'accusé qui doit prouver son innocence. Celui qui ne peut pas prouver son innocence est coupable. On connaît mal nos personnages politiques et, à leur mort, des historiens se mettent parfois à écrire et nous font découvrir des détails qu'on ne soupçonnait même pas. Je sais que Boudiaf était aussi détesté que Nezzar parce qu'il a barré la route au FIS. De très grands patriotes ont réagi quand le pays allait basculer dans l'obscurantisme, entre autres Nezzar, Benhammouda, Ghozali, BelKaid, ils ont fait venir Boudiaf qui savait ce qu'il risquait mais néanmoins accepté le risque. La plupart ont été assassinés officiellement par des terroristes, mais les vrais ennemis sont ailleurs. Nezzar était militaire mais s'est retiré car il était en dehors de la bande
Wallaou âlem. On n'est pas dans un tribunal, mais dans un forum de discussion.
Ici, on parle de l'assassinat ODIEUX de BOUDIAF, et pas d'autre chose !
et comment les Criminels MAFFIEUX qui l'ont ramené l'ont utilisé puis l'ont éliminé parce qu'il les gênait dansleur prise de contrôle du pouvoir en Algérie. S'en sont suivit 30 ans de rapine, de massacres, et de destruction de tout ce qui pouvait construire ce pays !!!
Son fils "Nacer boudiaf":"Nezzar et Toufik sont derrière l'assassinat de mon père "
Dernière modification par Pomaria, 30 juin 2019, 00h04.
Lorsque vous changez votre manière de voir les choses, les choses que vous voyez changent !
Ne cédez donc plus à la tentation de victimisation, si vous voulez êtes l’acteur principal de votre vie.
Hommage de Aït Ahmed àBoudiaf: "Au prix de sa vie"
Hommage de Hocine Aït Ahmed à Mohamed Boudiaf: "Au prix de sa vie"
“On l’a sacrifié comme un mouton de l’Aid”. “On l’a tué par derrière, le vieux père tranquille”. “On a mis en scène et porté sur scène l’exécution d’un chef historique”, “toutes les limites du cynisme sont dépassées”, “c’est le coup de grâce à l’Algérie, il n’y a plus rien à faire”. Ainsi s’est exprimée une Algérie de douleur et de drame part la bouche de ses enfants de tout âge et presque de toute opinion politique.
Pour elle et pour eux, Mohamed Boudiaf a cessé sous le choc insensé d’un traquenard spectaculaire d’être le chef de l’Etat pour revêtir le burnous de la légende révolutionnaire.
Pour chacun de ses compagnons de lutte, la mort a restitué à Boudiaf, l’essentiel de son identité réelle, de responsable politique, de militant, de camarade, d’homme tout court.
Comment pourrais-je prétendre, pour ma part, résumer, en quelques heures, le vaste et complexe itinéraire qui m’a lié à Mohamed. Pourtant ce jour, le 1er juillet 92 au siège de la Présidence, il n’a pas fallu plus de quelques secondes pour que les péripéties importantes de cet itinéraire se déroulent dans ma tête. Devant la dépouille du défunt, une sélection étrange d’images fortes résume un rapport fort, comme dans un film. Même l’indicible y était dit.
Il s’appelait Si Tayeb, cet homme à, l’imperméable fripé que me présenta Belouizdad en Novembre 1947. C’est au sein de l’Organisation Secrète, au niveau de l’Etat-Major et sur le terrain que nous travaillons ensemble jusqu’en décembre 1949. Notre amitié s’est tissée au coures de nos longs périples à travers le Constantinois. Les trains, les gares, la clandestinité, les trains pleins de punaises, les problèmes humains et de structures liés à une ambition démesurée par rapport aux moyens disponibles, ce sont tous ces souvenirs qui se bousculent avec en prime, de nombreuses anecdotes qui émaillent nos visites d’inspection et qui ont surtout pour mérite de souligner son sens de l’humour. Grâce notamment à ce trait de caractère majeur, Si Tayeb échappe à la catégorie des apparatchiks qui ont prospéré dans les structures du mouvement nationaliste algérien. Certes il apparait sévère avec ses “subordonnés” mais il est d’abord dur avec lui-même, en s’astreignant à une rigueur, à une ponctualité et à un dévouement exemplaires.
Payant de sa personne, il est payé de retour en crédibilité. Il acquiert ainsi, l’autorité morale qui le portera aux grandes responsabilités dans la préparation et le développement de la Révolution Algérienne. Certes, Boudiaf que je retrouve au Caire avant le déclenchement du 1er Novembre 1954 et que je revis souvent à Madrid ou il assume des tâches de coordination tant avec l’Ouest de notre pays, qu’avec la Résistance Marocaine, a beaucoup muri. Mais la géographie ne refait pas le caractère. Mohamed reste égal à ce socle rural et à ce radicalisme politique tourmenté qui l’ont façonné. Ni l’emprisonnement consécutif à l’arraisonnement de l’avion marocain par la “classe coloniale”, en octobre 56, ni l’opposition et l’exil après l’indépendance, n’ont altéré ses certitudes opiniâtres et angoissées. Sa fougue faite d’émotions plus que d’idée, de précédents plus que d’anticipation semble comme toujours défier la tiédeur voire la mesure, sa crudité de langage est la même, son regard aussi, que d’aucuns diraient teinté de gentillesse et de paranoïa.
Sans doute la plus vivace de toutes ces facettes qui se suivent, s’alternent et se mêlent dans mon esprit est celle qui resurgit de la prison de la santé. Cet intarissable et agréable conteur que fût le codétenu de Bou Saada. Ses éclats de rires rauques et syncopés ponctuant les épisodes comiques. Il aimait raconter comme s’il voulait faire partager son bonheur de dire, comme les troubadours de Msila.
Telle est ma façon de contribuer à faire revivre le souvenir de cet homme qui tout donné pour l’indépendance de son pays et qui a été assassiné au 30ème anniversaire de cette indépendance.
* Tiré du livre du défunt Hocine Aït Ahmed “complot sur scène”
Huffpost
"Tout ce que je sais, c'est que je ne sais rien."
Socrate.
Mais pas Nezzar, il fait partie de ceux qui ont décidé Boudiaf à venir.
.
Faut penser à l en dessous ?? Raison d état !!!
Boudiaf ne connaissait rien de l Algérie .
ni il avait participé à la politique intérieure et exterieure algérienne menées par les DAF ( dont Khalled Nezzar / Lamari /Arbi Belkher & co ) ,
boudiaf , Allah Yarhamou , il s occupait que de ses affaires au Maroc ???
Il a été tué par les généraux algériens wled frança, qui attendaient de lui qu'il les soutienne dans leurs pillages, leurs vols et leur prise du pouvoir en 92.
Biudiaf, ou "Tayeb El Watani" comme on le surnommait, a bien compris leur manège, et s'est décidé de les remettre à leur place. Des dossiers compromettants ont été rassembler par deux de ses hommes de main. Alors ces généraux l'ont éliminé de sang froid. Ainsi, ils vécurent de années heureuses depuis. Remplies de rapine des meilleurs casses du siècle, et des centaines de milliards de dollars détournés.... Le peuple hébété et terrorisé par tant de violence entretenue, ne demandait qu'à le laisser survivre !
Meskine Boudiaf ! Meskine le peuple algérien ! Slek men França, hakmouh wled França ! C'est déjà arrivé à tant d'autres héros de notre révolution.
Mais à ce jour, 57 ans après, rien ne dit que cette hécatombe est finie.
Dernière modification par Pomaria, 30 juin 2019, 01h07.
Lorsque vous changez votre manière de voir les choses, les choses que vous voyez changent !
Ne cédez donc plus à la tentation de victimisation, si vous voulez êtes l’acteur principal de votre vie.
j'adore lire des
les banalités hypocrites
wled França ... le complot oeilfermé
Alors que ce sont des Algériens qui l'on tué
cela dénote de la maladie qui décime le pays jour après jour
diaboliser les autres pays
Même avec un hôpital psychiatrique énorme pour soigner plein de contaminés
qu'on appellerait la maladière mais qui va venir soigner ? edwa aand rabi à ça il n'y à rien à faire
Des algériens l'on fait venir l'on tué et en 2019 tu trouves encore la chanson
c'est franca qui l'a tué
chkoun had elmahboul dans le monde qui va faire confiance à l’irrationalité qui se bat contre l’irrationalité
Une chose sur laquelle on doit être d'accord, c'est le degré de protection alloué a sa personne en tant que président en exercice,il était très faible ou même inexistant,ce qui amènerait a se poser des questions sur les responsabilités dans ce domaine (protection rapprochée) au moins.
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