Chakib Khalil répond à l’ambassadeur de France
« Nous voulons des actes pas des paroles »
M. Chakib Khelil, ministre de l’Energie et des Mines, a considéré les propos de l’ambassadeur français quant à la volonté de développer le nucléaire Algérien comme de vaines paroles, dans la mesure où la position française n’a pas changé, sur le terrain.
M. Khalil a appelé l’ambassadeur français et « les autorités françaises à adresser une lettre officielle, s’ils veulent, réellement, aider l’Algérie à développer son programme nucléaire. « Nous voulons des actes, pas des paroles ».
M. Chakib Khalil, a estimé, en marge de la conférence organisée avant-hier, par le Club Excellence Management, qu’il n’a reçu, jusqu’à présent, aucune proposition officielle de la part des autorités françaises.
Par ailleurs, le ministre de l’Energie et des Mines, a abordé, durant le débat qu’il a animé à El Aurassi, à Alger, plusieurs sujets relatifs au secteur, en affirmant que les prix du pétrole resteraient stables en 2007. Puis, il a parlé de la diminution de la production, à plus d’un million de barils jour, décidée par l’Opep, en affirmant que cela avait contribué à stabiliser le marché, et à créer une force de production inutilisée, qui permettra de maîtriser la hausse des prix.
Concernant le marché du gaz, Khalil a précisé que la relation entre les pays producteurs de gaz et les pays importateurs, devait créer une interdépendance, qui peut être bénéfique pour les deux parties, à condition que les responsables aient la volonté nécessaire.
2007-03-24
Par Sofiane Bouayad
« Nous voulons des actes pas des paroles »
M. Chakib Khelil, ministre de l’Energie et des Mines, a considéré les propos de l’ambassadeur français quant à la volonté de développer le nucléaire Algérien comme de vaines paroles, dans la mesure où la position française n’a pas changé, sur le terrain.
M. Khalil a appelé l’ambassadeur français et « les autorités françaises à adresser une lettre officielle, s’ils veulent, réellement, aider l’Algérie à développer son programme nucléaire. « Nous voulons des actes, pas des paroles ».
M. Chakib Khalil, a estimé, en marge de la conférence organisée avant-hier, par le Club Excellence Management, qu’il n’a reçu, jusqu’à présent, aucune proposition officielle de la part des autorités françaises.
Par ailleurs, le ministre de l’Energie et des Mines, a abordé, durant le débat qu’il a animé à El Aurassi, à Alger, plusieurs sujets relatifs au secteur, en affirmant que les prix du pétrole resteraient stables en 2007. Puis, il a parlé de la diminution de la production, à plus d’un million de barils jour, décidée par l’Opep, en affirmant que cela avait contribué à stabiliser le marché, et à créer une force de production inutilisée, qui permettra de maîtriser la hausse des prix.
Concernant le marché du gaz, Khalil a précisé que la relation entre les pays producteurs de gaz et les pays importateurs, devait créer une interdépendance, qui peut être bénéfique pour les deux parties, à condition que les responsables aient la volonté nécessaire.
2007-03-24
Par Sofiane Bouayad
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