«*J’ai la volonté d’aller plus loin que ce que demande*» le Hirak, promet Benflis
par Adherbal
Ali Benflis commence par reconnaître que sa candidature «*ne plaît pas à l’ensemble des citoyens*», mais pour lui l’heure est à la prise des responsabilités. «*Les soucis que peut me causer ma candidature ne pèsent rien devant les problèmes de l’Algérie qui sont appelés à s’accentuer*», déclare-t-il.
Ainsi, il affirme que son programme est celui d’un «*homme qui croit en la démocratie, un homme qui n’a pas attendu le 22 février pour résister au système […]*». «*J’ai la volonté d’aller plus loin que ce que demande la Révolution démocratique pacifique*», assure-t-il.
L’ombre du 5e mandat
S’il se dit optimiste, l’ancien chef du gouvernement (2000-2003) ne cache toutefois pas des craintes. «*Si la Révolution (le Hirak) a peur que le système se reproduise, moi j’ai peur que ce système fasse des élections le prolongement du 5e mandat (de Bouteflika)*», dit-il, affirmant qu’il ne va pas laisser la voie libre au système.
Pour lui, il y a une situation d’urgence politique, économique et sociale. Cette situation d’urgence nationale doit, selon lui, correspondre à un programme d’urgence nationale. «*Mon programme se veut à cet effet celui de l’urgence nationale, sous forme d’une transition globale, ayant pour but la modernisation politique, économique et sociale de la nation*», argue-t-il.
par Adherbal
Ali Benflis commence par reconnaître que sa candidature «*ne plaît pas à l’ensemble des citoyens*», mais pour lui l’heure est à la prise des responsabilités. «*Les soucis que peut me causer ma candidature ne pèsent rien devant les problèmes de l’Algérie qui sont appelés à s’accentuer*», déclare-t-il.
Ainsi, il affirme que son programme est celui d’un «*homme qui croit en la démocratie, un homme qui n’a pas attendu le 22 février pour résister au système […]*». «*J’ai la volonté d’aller plus loin que ce que demande la Révolution démocratique pacifique*», assure-t-il.
L’ombre du 5e mandat
S’il se dit optimiste, l’ancien chef du gouvernement (2000-2003) ne cache toutefois pas des craintes. «*Si la Révolution (le Hirak) a peur que le système se reproduise, moi j’ai peur que ce système fasse des élections le prolongement du 5e mandat (de Bouteflika)*», dit-il, affirmant qu’il ne va pas laisser la voie libre au système.
Pour lui, il y a une situation d’urgence politique, économique et sociale. Cette situation d’urgence nationale doit, selon lui, correspondre à un programme d’urgence nationale. «*Mon programme se veut à cet effet celui de l’urgence nationale, sous forme d’une transition globale, ayant pour but la modernisation politique, économique et sociale de la nation*», argue-t-il.
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