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L'Algérie est-elle menacée ? les troupes Turques en Libye ?

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  • #16
    l'Algerie n'est même pas concernée par ce problème.
    la question qu'il faut posé pourquoi Boutflika et Gaid Salah a laisser ce dossier a l’abondance ...cert l’Algérie a des propriété de défense mais sa ne veux pas dire quel'est aveugle sur ce qui ce passe au nord du mali et la région sahal
    dz(0000/1111)dz

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    • #17
      Vers une internationalisation du conflit L’Algérie face au bourbier libyen

      La situation explosive en Libye était au cœur de la réunion du Haut Conseil de sécurité qui s’est réuni, jeudi, sous la présidence d’Abdelmadjid Tebboune. Alger n’a pas répondu aux sollicitations du Gouvernement d'union nationale libyen (GNA), soutenu par Ankara, dans sa guerre contre le maréchal Khalifa Haftar.
      Tarek Hafid - Alger - (Le Soir) - L’Algérie ne semble pas prête à déroger à la sacro-sainte doctrine de non-intervention de son armée en dehors de ses frontières. Et ce n’est pas l’alarmisme du ministre libyen de l’Intérieur ni même les pressions d’Erdogan qui y changeront quelque chose. « Si Tripoli tombe, Tunis et Alger tomberont à leur tour. Il s’agit d’une tentative de semer l’anarchie dans la région et faire main basse sur l’Afrique du Nord», a affirmé Fathi Bachagha lors d’une conférence de presse animée jeudi matin à Tunis. «Nous serons dans une même alliance de manière à servir nos peuples et notre stabilité et construire une coopération économique sur la base de la coopération politique et sécuritaire», a assuré le représentant du Gouvernement d'union nationale libyen. «L’alliance» à laquelle il fait référence est censée regrouper les armées algérienne, tunisienne, turque et libyenne pour faire face à l’avancée militaire du maréchal Khalifa Haftar.
      La réponse des autorités algérienne est venue le soir-même à travers un communiqué du Palais d’El-Mouradia annonçant la tenue d’une réunion du Haut Conseil de sécurité sous la présidence d’Abdelmadjid Tebboune. «Le Haut Conseil de sécurité a examiné la situation dans la région, notamment au niveau des frontières avec la Libye et le Mali et a décidé d'une batterie de mesures à prendre pour la protection de nos frontières et notre territoire national et la redynamisation du rôle de l'Algérie au plan international, particulièrement en ce qui concerne ces deux dossiers, et de manière générale dans le Sahel, la région saharienne et l'Afrique», précise le communiqué. En clair : l’Algérie se concentre sur la «protection de ses frontières» et ses seules actions dans les dossiers malien et libyen seront essentiellement diplomatiques dans le cadre de «la redynamisation de son rôle au plan international».
      Face à la progression des troupes du maréchal Haftar, le Gouvernement d'union nationale libyen tente de se prémunir en impliquant ses voisins qu’il considère être ses alliés. Une stratégie qui fait l’affaire de la Turquie, son partenaire principal. C’est d’ailleurs dans cette optique que le Président Recep Tayyip Erdogan a effectué, mercredi, une visite surprise à Tunis pour discuter avec son homologue tunisien Kaïs Saïed «des moyens de coopérer pour parvenir à un cessez-le-feu en Libye dans le cadre de la relance du processus politique». Une visite très critiquée par la classe politique tunisienne qui y a vu une volonté d’Ankara de forcer la main au chef de l’Etat tunisien. Il est important de noter qu’Erdogan était accompagné du patron des services secrets et des responsables des opérations militaires de l’armée turque. Autre élément qui dénote du caractère urgent et prioritaire de cette visite tunisienne : Emine Erdogan, son épouse qui est de tous les voyages officiels, n’a pas fait le déplacement avec lui.
      Les visées expansionnistes de la Turquie se sont confirmées dès le retour d’Erdogan à Ankara. Jeudi, le Président turc annonçait le vote par le Parlement turc de l’envoi de troupes en Libye. En fait, Erdogan se base sur l’accord de coopération signé entre son pays et le Gouvernement d'union nationale libyen le 27 novembre dernier. « Nous irons là où nous sommes conviés, nous n’irons pas là où nous ne sommes pas invités. Comme nous y sommes conviés, nous répondrons favorablement. Nous soutiendrons par tous les moyens le gouvernement de Tripoli, qui résiste contre un général putschiste soutenu par des pays arabes et européens», a-t-il lancé pour justifier cette ingérence.
      Ce jeudi 26 décembre a été fort en rebondissements puisque la présidence tunisienne a répondu par la négative aux sollicitations turque et libyenne : «La Tunisie n’acceptera pas d’être membre d’une quelconque alliance. Aucun pouce du territoire n’échappera à la souveraineté tunisienne». Dossier clos. Reste toutefois la réalité du terrain et cette avancée vers l’ouest des troupes du maréchal Haftar. Son objectif est de contrôler les points de passage de Ras Jedir et de Dhehiba à la frontière tuniso-libyenne. Reste maintenant à savoir si Haftar a réellement la volonté et la capacité de sortir des limites géographiques de la Libye. Et s’il prendra le risque de s’attaquer à l’armée algérienne…
      T. H.
      Il ne faut pas de tout pour faire un monde. Il faut du bonheur et rien d'autre.
      (Paul Eluard)

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      • #18
        >>> L'Algérie est-elle menacée ?

        La réponse est tout simplement : OUI.

        Il y a un champ pétrolier planté juste à la croisée des frontières Algerie-Tunisie-Libye (certains disent qu'il produit 25% du pétrole algérien), objet de plusieurs prises de tête avec le colonel libyen Maamar El Kadafi, et des menaces de guerre dans les années 90.
        Haftar et ceux qui sont derrière lui ne vont pas laisser cette affaire dans la poche, tôt ou tard ils vont brandir ce différent et le mettre sur la table y compris en menaçant l'algérie (il l'a déjà fait par le passé) donc la menace est plus que réelle.
        Il s'agit d'une menace purement militaire et j'ignore si l'ANP y pourra faire face efficacement. Les raisons tout le monde les connaît, 1000 km de frontière qui nécessite une logistique hors du commun avec en face des groupes très mobiles dont la capacité de nuisance est tout sauf non négligeable.
        Le pretexte du champ pétrolier pourra être utilisé par Haftar, mais en arrière plan, les parties prenantes (Imartes, Egypte, Saoudiens, Russes, Français, Italiens et Turques) ont chacun un bifteck à défendre d'où la situation complexe.

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        • #19
          Prise en charge totale des emmigration libyenne par les Turques

          si les Turques s y melent DOIVENT ACCEPTER TOUTE L EMMIGRATION QUI PASSE PAR LA ( car pourrait etre détournée ailleurs et compliquer la vie )
          et LA MEILLEURE GUARANTIE EST QU ILS MENTIONNENT QU ILS DOIVENT DONNER VISAS + REFUGES + FRAIS TOUS COMPRIS s ils veulent mettre leur pieds en Libye.

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          • #20
            strategie de la carie dentaire
            le sujet des napes phréatique d'eau est devenu une question prioritaire a l’Algérie
            dz(0000/1111)dz

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            • #21
              HISTORIQUEMENT il ya qq années passées ISRAEL cherchait une base dans cette région .


              C est l histoire qui se repete mais DEGUISEE en ami religieux et historique.

              N oublions pas que LES ARABES ONT ETES VENDUS PAR CE PAYS SIGNATAIRE DE L OTAN et toute <<bonne action << de sa part est guarantie d une prosperite assurée de 10 ANS au moins .
              Dernière modification par m1111, 28 décembre 2019, 13h38.

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              • #22
                non ingerence de l algerie

                la loi de non ingerence de l Algerie n interdit pas , d AIDER LES LiBYENS A LIBERER LEUR PAYS ..........................oeilfermé

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                • #23
                  citoyen le gisement dont tu parles doit représenter 1 ou 2% de la production algérienne.
                  c'est hassi messaoud et de très loin qui est le principal gisement dz.

                  il faut plus s'inquièter de la nappe du continental intercalcaire .demain les lybiens pourront forer et faire n'importe quoi .comme la rivière de khadafi mais cette fois a la frontière dz.

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                  • #24
                    Oui mais la réserve est énorme, il n'y a jamais d'accord avec khadafi pour l'exploiter conjointement, les négociations ont été reportées à plusieurs reprises pour cause de délimitations frontalières et volume de production partagé.
                    En effet les ressources hydriques sont également mis dans le panier des négoces, khadafi à l'époque n'avait pas de soutien international pour revendiquer quoi que ce soit, aujourd'hui les rôles sont inversés, l'Algérie a presque zéro soutient et Haftar ou ses ennemis en ont d'où la menace.

                    Sur le dossier libyen l'Algérie est quasiment inaudible, les tunisiens sont bien plus bavards malgré leur influence très réduite, l'algérie quant à elle se contente de faire des réunions de sécurité pour "étudier la situation". Pendant ce temps, un affrontement majeur est en phase d'avoir lieu à moins de 80 Km de nos frontières.

                    Des bruits qui courent des missiles scuds ont été dépéché dans la région de Tripoli, malgré le fait que les russes ont rassuré quant à l'état opérationnel de ces missiles, mais ils ont omis de dire que les yéménites houtis les avez réactivés en un temps record. Que dire de haftar qui a la moitié de la planète derrière lui et son dévouement à la CIA de Trump.

                    Il n'est pas question de nappe mais de l'intégrité du pays qui d'abord subit une tentative de division de la part de ceux qui en sont responsables et d'un front intérieur totalement disloqué, une armée avec un commandement qui a d'autres priorités que de défendre le territoire, bref si on mets côte à cote ces anomalies, haftar ou d'autres n'auront aucun mal à allumer l'incendie non pas en faisant la guerre à l'ANP mais simplement à introduire des armes et les distribuer à qui veut les utiliser en Algérie, et de ce que j'ai vu hier, il y a beaucoup de candidats qui souhaiteraient avoir des armes.

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                    • #25
                      Haftar a été ridiculié par les Tchadéens

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                      • #26
                        Oui ses hommelettes se sont fait tailler en pièce par les tchadiens motivés à défendre leur territoires.

                        À part tirer en l'air en s'excitant face à des civiles les libyens restent des fiotes au combat.

                        Kadhafi, hafthar ou un autre guignol.

                        Il faut arrêter avec cette histoire pour détourner les algériens de l'essentiel.

                        La mafia est même prête à envoyer s'il le faut des soldats mourir sans raison pour calmer le hirak en nous disant que ce n'est pas le moment.
                        “Les mensonges sont nécessaires quand la vérité est très difficile à croire”
                        Pablo Escobar après avoir brûlé le tribunal qui devait le juger.

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                        • #27
                          Il y a un champ pétrolier planté juste à la croisée des frontières Algerie-Tunisie-Libye (certains disent qu'il produit 25% du pétrole algérien), objet de plusieurs prises de tête avec le colonel libyen Maamar El Kadafi, et des menaces de guerre dans les années 90.
                          Il s’agit des deux gisements Alrar/Wafa situés à cheval sur lafrontière et exploités depuis les années 60, une étude récente a confirmé la communication entre les deux champs ce qui provoque des dépressions de part et d’autre.

                          En 2004, Sonatrach avait dénoncé un ''détournement'' du pétrole algérien par les Libyens avec l'appui du groupe italien ENI.

                          Un accord-cadre a été signé en Janvier 2018 entre Sonatrach et la NOC portant sur la gestion conjointe , c’est plus un échange d’informations techniques pour une "exploitation optimum" qu’un partage de production.

                          Sera-t-il respecté par Haftar ?

                          Dernière modification par sako, 28 décembre 2019, 15h44.

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                          • #28
                            La mafia est même prête à envoyer s'il le faut des soldats mourir sans raison pour calmer le hirak en nous disant que ce n'est pas le moment.
                            tebboune et la renaissance des confit frontiers de boukhrouba mais cette fois a l'est
                            dz(0000/1111)dz

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                            • #29
                              En 2004, Sonatrach avait dénoncé un ''détournement'' du pétrole algérien par les Libyens avec l'appui du groupe italien ENI.

                              C est vraiment débile , et dire qu un petit citoyen qui creuse un petit PUITS D EAU pour son hammam ou jardin ET TRES VITE REPERé ET PUNIT SEVEREMENT DANS N IMPORTE QUEL POINT DU PAYS ( ça sent ..... ISSABA .... payements en devises .....

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                              • #30
                                L'Algérie ne doit pas laisser faire à ses frontières. Qu'est ce que les Turcs viennent faire là à nos portes ? Ils veulent s'y installer ou quoi ?

                                C'est vraiment des fouteurs de m erde ces Turcs. Après avoir détruit la Syrie, ils viennent massacrer à nos portes !
                                Définitivement, l'Algérie ne doit pas laisser faire.
                                La guerre c'est le massacre entre gens qui ne se connaissent pas au profit de gens qui se connaissent mais qui ne se massacrent pas.

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