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Les zouaves ne sont pas kabyles

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  • #16
    attribué le zouavisme à toute la population kabyle est ridicule nié leur existence est une escroquerie intellectuelle
    L'escalier de la science est l'échelle de Jacob,il ne s'achève qu'aux pieds de Dieu
    Albert Einstein

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    • #17
      attribué le zouavisme à toute la population kabyle est ridicule nié leur existence est une escroquerie intellectuelle
      en language des chiffre crée une désertification électorale dans ces région ....
      fabrique le régionalisme et le tribalism crée des problem sociale de type extrémiste et le radicalisme ......tous ces indice indique la haine d'une guerre caché en vert cette région depuis les ottoman et la colonisation française et dernièrement par ces mouche électronique qui travail des agenda étranger bien connue par la division et l'aspect de corruption .....
      pour comprendre le mutique hold up .
      de fabriquer la illégitimité puis chercher a fabrique la légitimité d'un pouvoir a un lapin par la piraterie et escroquerie politique
      dz(0000/1111)dz

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      • #18
        Les zouaves, parlons-en ! 1

        Introduction

        Force nous est donnée ces temps-ci de constater que dès que les propagandistes anti-Kabyles découvrent un mot en lien avec l’histoire ou la culture kabyles, ils se lancent dans son exploitation malicieuse et manipulatrice espérant asséner ainsi un coup à la Kabylie.

        C’est ainsi que récemment, dans le cadre de la campagne anti-kabyle, certains arabo-islamistes, incultes, ne pouvant digérer la visibilité des Kabyles et les couleurs kabylo-amazighes dans les manifestations, nous ont sorti du placard le mot "zouave" et prennent un raccourci en créant une confusion entre l'origine du mot et le mot adopté plus tard par les Français pour nommer les bataillons composés "d'indigènes''.
        Nous ne pouvons extraire des mots et des faits de leur contexte pour leur donner une orientation que l’on veut en fonction des aspirations idéologique. La réalité et le contexte historiques que nous allons reprendre ici vont surprendre plus d’un et feront regretter aux auteurs de ces raccourcis de l’avoir évoqué. Il est regrettable que seulement une poignée d’Algériens arabophones aient pu échapper à l’endoctrinement idéologique arabo-islamique ayant pris conscience de leur vraie identité amazighe et percevant dans le combat des Kabyles leur propre salut identitaire. Il n’en est malheureusement pas ainsi de la masse, bonne à être manipulée et dressée contre les Kabyles. Mais ces derniers resteront zen car confiants dans le combat qu’ils mènent, ayant à l’esprit que la vérité historique finit toujours par triompher.
        Dans ce qui suit, je rappelle d’abord l’origine et l’usage du mot zwawa chez les populations arabophones. Avant d’évoquer la forme francisée de ce vocable en zouave, je rappellerai d’abord que le nom Algérie est lui-même une création française et non pas la Francisation de l’appellation arabe Al-Djazair lequel, au début, désignait la ville et la régence d’Alger plutôt que l’Algérie. Ce contexte va permettre de saisir l’évidence selon laquelle les Zouaves des français étaient essentiellement des éléments arabophones puisés en dehors de la Kabylie et non pas des Kabyles comme certains charlatans essaient de nous le faire croire en usant de raccourcis qui sont loin d’être innocents.
        Le mot Zwawa
        Le nom Zwawa fut rapporté par les chroniqueurs, historiens ou voyageurs de langue arabe tel qu’Ibn Hawqel (en 988), Ibn Khalikan (1274), Ibn battuta (1356) et Ibn Khaldoun (1406). Le mot est une déformation du nom d’une confédération kabyle Igawawen (pluriel de Agawaw), une confédération de villages dans le versant est de la Kabylie occidentale et dont la limite territoriale allait jusqu’aux alentours de Bougie (selon Ibn Khaldoun). Ce terme fut par la suite généralisé chez les populations arabophones pour désigner tous les Kabyles. Il est évident qu’Ibn Khaldun n’avait pas réussi à délimiter de façon précise le territoire de cette confédération et sa classification recèle un degré de confusion assez élevé.
        Les Igawawen étaient d’abord recrutés au 9ème siècle par les Kabyles Ikettamen (Kutama en arabe), habitant la région de la Kabylie orientale, pour soutenir la dynastie des Fatimides contre les Aghlabides, une dynastie installée à la frontière de la Kabylie par les Abbassides. Le recrutement des Igawawen par Ikettamen s’expliquent donc par la proximité géographique des deux confédérations. Rappelons ici que les Kabyles Ikettamen (kutama) constituaient le pilier de l’armée aghlabide et conquirent même l’Égypte en 969 où ils fondèrent le Caire (al-Qahira), selon Ibn Khaldun, et d’où ils partaient en expédition contre Damas, la capitale du califat abbasside.
        Confédération des Igawawen
        Plus tard, le mot zwawa fut adopté par les Turcs dès le 16ème siècle en référence aux soldats qu'ils recrutaient au sein de la même confédération en Kabylie pour combattre les Espagnols. Le recrutement turc en Kabylie recelait une signification politique en ce sens que la Kabylie n’était pas soumise aux Turcs et elle jouissait de son indépendance. Les Turcs ne sont jamais parvenus à soumettre la Kabylie contrairement aux autres régions comme Alger, devenue régence (Dar Es-soltan) sous l’autorité du dey, ainsi que les trois beylicats, à savoir le beylik de l’est (région de Constantine), le beylik de l’ouest (région de l’Oranie et de Médéa) et le beylik de Titteri (région de Médéa). Les trois beylicats étaient sous l’influence du dey d’Alger à qui ils étaient redevables en termes d’impôts, mais la Kabylie n’était ni un beylicat, ni soumise à l’influence du dey d’Alger. Malgré les multiples tentatives de la conquérir, la Kabylie est restée indépendante. Elle l’était encore à l’arrivée des Français et le restera jusqu’à la défaite de Fadhma n Soumer 1857 et surtout l’échec de la révolte de 1871 à laquelle avaient appelé Ccix Amoqran et Ccix Aheddad.
        Portraits présumés du Chérif Boubaghla et de Lalla Fatma n'Soumer conduisant l'armée révolutionnaire kabyle, signée F. Philippoteaux (1866)

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        • #19
          Les zouaves, parlons-en ! 2

          La France et le nom Algérie
          Pour convoquer le contexte, rappelons d’emblée que le mot Algérie fut créé par la France en ajoutant le suffixe –ie au nom d’Alger, conformément aux règles de dérivation de la langue française. Il fut officiellement adopté le 14 octobre 1839 par le ministre de la Guerre de l’époque en charge de l’Algérie, Antoine Virgile Schneider. Le nom Alger était la traduction du mot Zzayer qui renvoyait au beylicat, la ville d’Alger actuelle et ses environs et non pas le pays Algérie tel que nous le connaissons aujourd’hui.
          L’origine du nom Zzayer est controversé et sa forme en arabe avec l’article défini Al-Djazair est le résultat d’un procédé d’arabisation du nom Zzayer et ne résulte pas du lexème arabe signifiant « les îles » comme l’historiographie officielle algérienne veut nous le faire croire. Ce territoire ne constitue pas une île, encore moins plusieurs îles, et toutes les hypothèses voulant nous forcer à en voir deviennent une forme de corruption.
          Remarquons au passage que ce procédé idéologique consistant à arabiser des toponymes pour corrompre et falsifier l’histoire existe encore aujourd’hui comme en témoigne la toponymie algérienne en kabylie faisant de Imcheddalen « Mched-Allah », de Amechras « Mecht-al-ras » et de Iwadhiyen « Oued-Hiyas » en détournant la forme francisée « les Ouadhias.
          L’Algérie en tant que pays unifié tel qu’on le connaît aujourd’hui n’existait pas à l’arrivée des Français. Il existait en revanche une régence (Dar Es-soltan) qui comprenait la ville d’Alger et ses environs, sous l’autorité du dey (dey Hussein) et les 3 beylicats distincts, mentionnés plus haut, la Kabylie en tant que pays indépendant et des communautés autonomes dans les Hauts Plateaux et le Sahara.
          La question de la dénomination de tout ce vaste territoire n’a été posée qu’à l’arrivée des Français lorsqu’ils ont opéré un changement au niveau de leur objectif et lorsque leur visée de soumettre et de dominer tout cet espace était devenue claire; la Kabylie ne faisait pas encore partie de cette visée et nous y reviendrons. Il convient aussi de rappeler que le plan initial des Français au début ne consistait pas à conquérir tout le territoire mais seulement à occuper les côtes afin de mettre fin à la piraterie des Corsaires et des pirates des régences turques en Méditerranée. Or, pour ce faire, il fallait que les Français imposent un traité au dey d’Alger. Pour imposer un tel traité, il fallait que le dey capitule, ce qui arriva le 5 juillet 1830, comme le proclama le commandant en chef français Bourmont, le 6 juillet 1830 dans son quartier général de La Casbah « vingt jours ont suffi pour la destruction de cet État dont l’existence fatiguait l’Europe depuis trois siècles. »
          Portrait du dey Hussein
          Les Français ont gardé les mêmes structures de gouvernance et militaires que celles utilisées par les Turcs comme en témoignent d’ailleurs les noms de fonctions Agha, bachagha, qayed, etc. que les Français adoptèrent pendant toute la période coloniale.
          Les Zouaves des Français n’étaient pas kabyles mais arabophones
          Le dey s’étant rendu et ayant accepté les conditions de capitulation qui lui assuraient une belle vie avec sa famille, à condition de quitter Alger, ses soldats se sont rendus avec armes et bagages et les Français ont commencé à recruter des soldats indigènes immédiatement pour former deux sortes de bataillons qu’ils appelaient zouaves et spahis. Le premier bataillon zouave ayant servi l'armée française fut formé par le général Clauzel dès 1831. D’autres bataillons seront formés dès novembre 1831 sous les noms de « Chasseurs indigènes » et « chasseurs d’Afrique ». Or, à cette époque-là, non seulement les Français ne s’étaient pas encore aventurés en Kabylie, mais ils n’avaient nullement l’intention d’occuper ce territoire qu’ils considéraient dangereux. La Kabylie ne sera conquise qu’après avoir vaincu la résistance organisée par Lalla Fadma n Soumer lors de la bataille d’Icerriden de 1857 et, surtout, après avoir réprimé la révolte à laquelle avaient appelé Ccix Ameqran et Cix Aheddad en 1871. Les Français avaient déjà commencé à recruter des soldats parmi les "indigènes", les populations arabophones, alors que la Kabylie n’étaient pas encore conquise, tandis qu’Abdelkader lui-même se résigna à l’occupation française en signant le traité de Tifna en 1837, avant de se rendre définitivement en 1847 à l’armée française pour devenir l’un des meilleurs amis de la France.
          1847 : Reddition d'Abd El-Kader
          Par ordonnance du 7 décembre 1841, les régiments zouaves n’étaient composés que de soldats d’origine française. À partir de là, les indigènes formaient alors des bataillons de tirailleurs seulement. Dès 1852, Napoléon III décida de rétablir les régiments zouaves composés d’indigènes. C’est ainsi que fut levé à Blida, le 1er canton le 13 février 1852, suivi du 2ème canton levé à Oran et le 3ème à Constantine. Pendant tout ce temps, la Kabylie n’était pas encore conquise. C’était sur ces régiments que l’armée de Napoléon III s’appuiera lors de ses expéditions en Kabylie entre 1854 et 1957 avant de venir à bout de la résistance menée par notre héroïne Lalla fadhma n Soumer.
          Portrait de Lalla Fatma N'Soumer signée F. Philippoteaux (1866)
          Il est un fait connu que Napoléon III voulut créer un grand royaume arabe dans le cadre de l'empire français, et c'est ce qui va valoir plus tard la sympathie à la France des membres de l'association des Oulamas dont Ben Badis et Bachir Brahimi (le père de Taleb Ibrahimi qui fut plusieurs fois ministres sous Boumediene et Chadli et que Gaid Salah veut réactiver aujourd’hui). Avons-nous besoin de rappeler que l'Association des Oulamas était contre l'indépendance de l'Algérie et prêchait la mixité entre les peuples algériens et la France (Al-indimadj).
          Conclusion
          Pour conclure, les soldats zouaves dont s’était servie l’armée françaises n’étaient pas kabyles des soldats arabophones et c’était avec l’appui de ces soldats que la France a vaincu la résistance de Fadhma n Soumer lors de la bataille d’Icerriden en 1857 et la révolte de Moqrani et Ccix Aheddad en 1871. D’ailleurs, c’était en bon ami de la France qu’Abdelkader, rendu en 1847, condamna la révolte kabyle de 1871 contre la France en ces termes : « Je dénonce cette insurrection contre la justice, contre la volonté de Dieu et la mienne. Nous prions le tout puissant de punir les traitres et de confondre les ennemis de la France ».
          Mac-Mahon et les 1er zouaves à Malakoff, le 8 septembre 1855
          Les faits historiques parlent d’eux-mêmes; ni les fantasmes des arabo-islamistes ni le charlatanisme, produit de l’école algérienne, ne réussiront à les altérer.
          Pour finir, il est peut être utile de mentionner ici cette liste des unités zouaves avant la conquête de la Kabylie.
          Unités de zouaves
          · 1830 : création du Corps de Zouaves, en Algérie, à deux bataillons
          · décembre 1832 : fusion en un seul bataillon à 12 compagnies (8 compagnies d'indigènes, 4 de Français)
          · 1835 : dédoublement du bataillon ; les deux bataillons ont 6 compagnies (4 indigènes, 2 françaises)
          · 20 mars 1837 : création du 3e bataillon
          · août 1837 : un régiment de marche est formé temporairement, pour la deuxième expédition de Constantine ; c'est le premier régiment de zouaves
          · 1841 : création du régiment de zouaves, par la fusion des trois bataillons (désormais à neuf compagnies), plus une compagnie hors-rang
          · 1852 : chaque bataillon forme un nouveau régiment (un par département algérien). Création du 1er régiment de zouaves, cantonné à Alger
          · 1870 : dans la guerre franco-prussienne, les trois premiers régiment de zouaves forment des régiments de marche ; le 1er régiment de marche de zouaves intègre la 1re division du général Ducrot, au sein du 1er corps du maréchal de Mac-Mahon.
          · octobre 1870 : reconstitution du 1er régiment de marche de zouaves par le gouvernement de défense nationale. Le 1er régiment de marche de zouaves est interné en Suisse.
          Karim Achab, Ph.D en linguistique.
          Auteur
          Karim Achab, Ph.D en linguistique.

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          • #20
            @Pomaria

            Franchement regarde la cohérence des dates, en 1830 uniquement Alger a été conquise.
            Regarde l'histoire de la conquête coloniale de la Kabylie.

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            • #21
              La plupart des membres de l'état major depuis 1962 ont fait parti de l'armée des frontières.

              Ils n'ont donc jamais combattu contre le colon.

              Les colonnes de l'armée intérieure composée en grande partie par des algériens des zones montagneuses propices à la guérilla... ont été decimées par l'armée française.

              Les membres de l'armée des frontières ont achevé ce qu'il restait de l'armée intérieure qui avait réellement combattu.

              Il leur fallait absolument effacer et cacher cette forfaiture de non combattants.

              Et pour cacher leur traitrise, ils essayent de faire porter leurs peaux de traitres aux vrais combattants algériens.

              Petit à petit pour que la communication soit plus facile, ils essayent d'orienter leur doigt accusateur vers la kabylie.

              L'école benbouzidienne a fait son travail d'abrutisation des masses.

              L'histoire parle pour les kabyles et il fallait la falsifier.

              Entrée des colons : 1830.
              La kabylie résiste 27 ans.

              + révoltes nombreuses (1870 etc.. )

              1954 : la révolution est déclenchée essentiellement par des kabyles et des chaouis.

              Les combats se déroulent de la même manière essentiellement en kabylie et en pays chaouis.

              Ce sont des faits historiques. Même si cela donne des urticaires, c'est comme ça.

              D'ailleurs la france a favorisé les néo-harkis de l'armée des frontières car elle préférait avoir des interlocuteurs trainant des casseroles.

              C'est mieux pour les négociations...

              Aujourd'hui encore, la france refuse de sortir les archives concernant ses protégés.

              Elle le fera bientôt lorsque les derniers néo-harkis seront décédés.

              Et elle le fera pour ses intérêts (realpolitik que nos compatriotes refuse de comprendre) et pas pour les beaux yeux des algériens.

              "Zouave" sera la dernière cartouche subversive des néo-harkis mourrants contre TOUS les algériens.
              Dernière modification par Chif, 31 décembre 2019, 11h08.
              “Les mensonges sont nécessaires quand la vérité est très difficile à croire”
              Pablo Escobar après avoir brûlé le tribunal qui devait le juger.

              Commentaire


              • #22
                @Chif

                Finalement c'est plus mal ce genre de polémiques, ça permet de revisiter l'histoire.
                Ce système fait à la Kabylie ce que le système colonial a fait.
                Des néo-colons le mensonge et l'ignorance faisant le reste.

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                • #23
                  le sujet à propos des zouaffs n'est inventé par l'officine des tagarins que pour faire perdre l'esprit de cohésion ou de tentative d'union des algériens via les réseaux sociaux qui alimentent l'essentiel des débats entre algériens, et la culture mâchée et recracher comme un vomie par ses utilisateurs
                  quand on lis un livre d'histoire, on devient sage et un peu plus éveillé, quand on écrit sur farcebook, on devient au mieux hystérique ou alors fatalement zombie

                  gaid salah a pu empoisonner les débats avec le concept foireux de zouaff et autres farchitta, c'est assurément l'homme de l'année 2019 loooooooooooool

                  Commentaire


                  • #24
                    Les zouaves tels que les francais ont trouvé dans l'armée de la régence d'Alger, était des janissaires, des kouloghlis et des indigènes.
                    Lorsque vous changez votre manière de voir les choses, les choses que vous voyez changent !

                    Ne cédez donc plus à la tentation de victimisation, si vous voulez êtes l’acteur principal de votre vie.

                    Commentaire


                    • #25
                      Tizi, ce que tu dis est très juste.

                      Mais doit-on se taire et laisser faire leur propagande sur le déguisement de l'histoire ?

                      Ou dénoncer leur propagande ridicule ?

                      Se taire est le meilleur moyen ?
                      “Les mensonges sont nécessaires quand la vérité est très difficile à croire”
                      Pablo Escobar après avoir brûlé le tribunal qui devait le juger.

                      Commentaire


                      • #26
                        @Chif

                        Il ne faut pas se taire, il faut dénoncer en permanence le mensonge et la falsification.
                        Ce sont les armes de ce régime mafieux, il faut le désarmer.

                        Commentaire


                        • #27
                          Var sur une mouche des marie des eau

                          dz(0000/1111)dz

                          Commentaire


                          • #28
                            @Chiff

                            il faut voir le problème autrement, il se s'agit pas de se taire, bien au contraire
                            comme ça à la louche sans trop de reflexion je dirais ceci :

                            - garder au bien au chaud la question posée ( zouaffs et farchitta ) ne surtout pas déblaterer dessus, laisser la question à la seule élite y compris vivant en exil ( l'éventail , la qualité et la qualité existe machallah ) entre juristes, avocats, et éventuellement historiens mais on a pas spécialement besoin de ces derniers à cette occasion, tout cela pour faire du chantage à ceux qui ont émis l'idée, vous ne retirez pas fissa de vos discours votre truc à la noix ( et donc une forme d'ultimatum ) on bien on peux aller trop troin dans les procédures

                            évidement, cette solution suppose d'avoir une élite, ou du moins, une élite solidaire et surtout réactive de façon intelligente et non pas pavlovienne, populiste et à la limite égale à la rue tout simplement


                            moralité, je reviens au post que j'ai écrit sur l'ennemi du Hirak numero 1


                            ce n'est pas ceux qui sortent des stupitidés contre la cohésion du peuple, mais la partie haute de ce peuple, son élite et ses intellectuels qui sont fautifs,
                            le peuple comme on peux le constater n'ont besoin qu'un os à ronger pour s'occuper, il y 'a même qui ont été jusqu'à remettre en cause l'intégrité de quelques symboles de notre révolution..........encore vivants par dessus le marché, style Jamila Bouhired, Bouragaa et meme Ben m'hidi j'ai cru lire quelque part !!
                            alors, la co_nne de salhi, franchement, elle pèse pas lourd dans la balance, mais le peuple en entier qui la porte aux cimes pour ses sorties....facturées looooooooooooool

                            ps,
                            je viens à l'instant m'apercevoir que la famille bouragaa a attaqué en justice naima salhi, je ne veux meme pas aller voir la depeche, rien que le titre je suis absolument contre le principe, il est dérisoire, et à la limite ridicule
                            s'il y a procès, c'est pas à cette idiote qu'on doit adresser les grieffs mais aux officiels à coup de procédures qui peuvent devenir contraignantes au plus hauts dirigeants et non pas à une lampiste télécommandée, vite cadrée

                            elle ne compte rien dans l'affaire, mais à ses commanditaires connus, et donc GAID salah en personne, procès post mortel ( j'ai oublié le nom juridique ) ce n'est pas plus idiot que s'en prendre à cette naima de mes deux
                            Dernière modification par tizi oualou, 31 décembre 2019, 13h50.

                            Commentaire


                            • #29
                              Chif, entièrement d'accord avec tes propos. Je vais tenter d'aller au fond de cette question pour démontrer que c'est une intox. On ne peut pas leurrer l'histoire parce que les faits sont ce qu'ils sont. Et ils reviennent toujours pour enterrer le mon songe. Il s'agit en fait d'un endoctrinement idéologique arabo-Islamistes visant t à modifier l'identité amazigh de presque tous les Algeriens. Rappelons d'abord l'origine et l'usage du mot "ZWAWA" chez les populations arabophone dans l'histoire de L'Algérie. Selon les historiens et voyageurs, tels que Ibn hawquel (980),Ibn Khal8kan (1274),Ibn Battuta (1356),et Ibn khaldoun (1406),le mot Zwawa est la déformation par les arabophones de IGAWAWEN, une région de la petite kabylie (pas loin de bord bou arreridj arabophone). Plus tard, les Français ont commencé à recruter des soldats indigènes arabophone s pour former deux sortes de bataillons qu'ils appelaient Zouaves et Spahis. Le premier bataillon de zouaves ayant servi l'armée Française fût formé par le Général Clauzel en 1831.c'est à dire, bien avant la conquête de la kabylie par la France d'où le recrutement exclu sif d'indigenes arabophone. Pour conclure et éviter une lourdeur de mon texte, les soldats ZOUAVES dont s'était servie l'armée Française pour vaincre la resistence de Fatma N'Soummer lors de la bataille d'Icherridhen (fort national) en 1857 et la révolte d'el Mokrani et Cheikh À Haddad en 1871 étaient Arabophones. Les faits historiques parlent d'eux-mêmes, ni les fantasmé des arabo-Islamistes, ni le charlatanisme, produits de l' École Algérienne, ne réussiront à altérer.
                              Pour rappel:
                              Unités zouaves qui ont participé à la conquête de la kabylie:
                              1830:2 bataillons zouaves composés exclusivement d'arabophones,
                              1832:fusion en un seul bataillon d'indigenes arabophone appelés "ZOUAVES",
                              1837:Creation d'un 3e bataillon de zouaves français pour l'expédition Constantine,
                              1841:Creation du regiment de zouaves arabes-français.
                              Les kabyles n'ont jamais été recrutés par les français dans les bataillons zouaves pour leur hostilité à l'armée Française.
                              Dernière modification par xaval, 31 décembre 2019, 16h13.
                              "Para alcanzar lo imposible, uno debe intentar lo más absurdo".
                              Miguel de Cervantes.

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                              • #30
                                Merci Xaval pour être allé plus loin.

                                Les maréchaux ont favorisé L'arabisation pour les mêmes raisons.

                                Dans leur vision raciste des indigènes, l'arabisé est soit un sultan et tape sur ses sujets, soit c'est un esclave et il se soumet car "allah ghaleb".

                                Aujourd'hui encore les régions bérbérophones restent en pointe.

                                Les colons et aujourd'hui les néo-harkis utilisent les mêmes techniques pour briser TOUS les algériens.

                                Du nord au sud, de l'est à l'ouest.

                                Les mafieux viennent de toutes ces régions sans exception.
                                “Les mensonges sont nécessaires quand la vérité est très difficile à croire”
                                Pablo Escobar après avoir brûlé le tribunal qui devait le juger.

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