Le Chef de l’Etat, Abdelmadjid Tebboune, a présidé, ce dimanche, à Alger une réunion du Conseil des ministres.
Lors de la réunion Abdelmadjid Tebboune a annoncé les mesures suivantes qui seront mises en œuvre immédiatement: Réduire la valeur de la facture d’importation de 41 à 31 milliards de dollars.
Réduire les dépenses du budget de gestion de 30%, sans préjudice des charges salariales. Arrêter la conclusion des contrats d’études et de services avec les bureaux étrangers, ce qui permettra à l’Algérie d’économiser environ 7 milliards de dollars par an.
Report du lancement de projets enregistrés, ou en cours d’enregistrement, qui n’ont pas été achevés, sauf dans les zones d’ombre, ainsi que le projet lié à l’étude de l’Hôpital de lutte contre le cancer à Djelfa.
Maintenir sans préjudice des dépenses liées au secteur de la santé et renforcer les moyens de lutte contre la flambée du virus Coronavirus et les maladies épidémiques en général.
Conserver sans préjudice du niveau des dépenses associées au secteur de l’éducation.
En vertu de la loi de finances complémentaire, lors de sa préparation, les pertes des concessionnaires touchés par l’épidémie.
Confier à la société nationale Sonatrach une réduction de la charge d’exploitation et des dépenses d’investissement de 14 à 7 milliards de dollars afin de maintenir les réserves de change.
Encourager une plus grande inclusion financière en facilitant l’octroi de prêts et en se concentrant sur la numérisation et les produits innovants.
Encourager les produits financés par la banque islamique et travailler à l’émission de textes réglementaires s’y rapportant par la Banque d’Algérie.
Accélérer le processus de collecte des impôts et taxes et récupérer les prêts accordés par les banques publiques.
Orienter les priorités du secteur agricole vers l’investissement dans les matières agricoles qui assurent la sécurité alimentaire du pays. Il s’agit ici d’encourager les filières céréalières, notamment le maïs, et celles qui couvrent les besoins nationaux en sucre, pétrole et céréales. Dans ce contexte, le Président de la République a mandaté le Ministre de l’agriculture et du développement rural pour mettre en place un mécanisme sous forme de bureau ou autre à court terme et avant la fin de l’année en cours afin d’activer et de promouvoir les investissements agricoles, qu’ils soient nationaux, étrangers ou mixtes.
El Watan
Lors de la réunion Abdelmadjid Tebboune a annoncé les mesures suivantes qui seront mises en œuvre immédiatement: Réduire la valeur de la facture d’importation de 41 à 31 milliards de dollars.
Réduire les dépenses du budget de gestion de 30%, sans préjudice des charges salariales. Arrêter la conclusion des contrats d’études et de services avec les bureaux étrangers, ce qui permettra à l’Algérie d’économiser environ 7 milliards de dollars par an.
Report du lancement de projets enregistrés, ou en cours d’enregistrement, qui n’ont pas été achevés, sauf dans les zones d’ombre, ainsi que le projet lié à l’étude de l’Hôpital de lutte contre le cancer à Djelfa.
Maintenir sans préjudice des dépenses liées au secteur de la santé et renforcer les moyens de lutte contre la flambée du virus Coronavirus et les maladies épidémiques en général.
Conserver sans préjudice du niveau des dépenses associées au secteur de l’éducation.
En vertu de la loi de finances complémentaire, lors de sa préparation, les pertes des concessionnaires touchés par l’épidémie.
Confier à la société nationale Sonatrach une réduction de la charge d’exploitation et des dépenses d’investissement de 14 à 7 milliards de dollars afin de maintenir les réserves de change.
Encourager une plus grande inclusion financière en facilitant l’octroi de prêts et en se concentrant sur la numérisation et les produits innovants.
Encourager les produits financés par la banque islamique et travailler à l’émission de textes réglementaires s’y rapportant par la Banque d’Algérie.
Accélérer le processus de collecte des impôts et taxes et récupérer les prêts accordés par les banques publiques.
Orienter les priorités du secteur agricole vers l’investissement dans les matières agricoles qui assurent la sécurité alimentaire du pays. Il s’agit ici d’encourager les filières céréalières, notamment le maïs, et celles qui couvrent les besoins nationaux en sucre, pétrole et céréales. Dans ce contexte, le Président de la République a mandaté le Ministre de l’agriculture et du développement rural pour mettre en place un mécanisme sous forme de bureau ou autre à court terme et avant la fin de l’année en cours afin d’activer et de promouvoir les investissements agricoles, qu’ils soient nationaux, étrangers ou mixtes.
El Watan
Commentaire