oui même tsa et el watan qui étaient épargnés sont tombés sous le joug de généraux...
Annonce
Réduire
Aucune annonce.
Projet de loi anti "fake news" en Algérie : comment museler un peu plus la liberté de la presse
Réduire
X
-
Absolument. L'exemple d'El Moujahid est bien édifiant !
On mettra El Bieroi comme juge de la qualité de l'information
mdrrrr
Tu parles du moudjahid, si ce journal existe toujours, les algériens d’aujourd’hui ne le connaissent même pas, L’ENTV, les gens ne la regardent que lorsqu’il y a un match de foot de l’équipe nationale, et encore, seulement s’il n’est pas transmis sur Bein. Tu as déjà jeté un coup d’œil sur Echourouk, Ennahar, Elhaddaf … Essayes d’ouvrir et de parcourir ces journaux et tu vas comprendre. Ce sont ces journaux et ces TV que les algériens regardent le plus. La médiocrité des reportages, des interviews fictives, des nouvelles que le concerné lui-meme découvert en lisant l’article sur lui, la promotion des charlatans…
toutes les chaines et tout les journaux ne sont pas credible ,tous sont au ordres
Commentaire
-
elle doit aussi être tenu responsable sur la qualité de l’infomration qu’elle rapporte.
Est-ce qu'on jugera par exemple l'ENTV lorsque elle reportera des Fake News comme celles-ci sur Bouregaa ?
Le bon sens est la chose la mieux partagée du monde... La connerie aussi - Proverbe shadokien
Commentaire
-
Qui jugera qu'une information est vraie ou fausse ? Le pouvoir avec sa justice aux ordres ?Souviens toi le jour où tu es né tout le monde riait mais toi, tu pleurais, la vie est éphémère
alors œuvre de telle façon… à ce qu’au jour ou tu mourras, tout le monde pleurera… mais toi… tu riras
Commentaire
-
Ne vous en faites pas pour ça...
Ils vont trouver quelques colonels, de préférence ex drs, dans une belle agence de régulation, qui vont nous dire quoi est bon et quoi est mauvais pour nous comme info.ce qui se conçoit bien s'énonce clairement et les mots pour le dire arrivent aisément
Commentaire
-
C'est déjà plus qu'en pratique depuis bien longtemps.
La main de l'étranger sans cesse affichée par le pouvoir et sa presse depuis 1962, c'est plus grand fake news. Cela nuit beaucoup au pays.
Le pouvoir mafieux ne connait que la loi anti-opposition et il a besoin de faux prétextes ridicules pour intimider la presse. Les prisons seront remplies d'otages et de détenus d'opinion, ce qui ridiculisera encore plus le pouvoir mafieux.
Ce pouvoir n'arrive plus à se cacher. derrière une fausse démocratie. C'est une dictature mafieuse qui s'affiche à la tête du pays face à un peuple déterminé pacifique qui a pour seule arme et défense l'humour.
Commentaire
-
Salam,
Je pense qu’il y a un avant et après Toufik. C’est lui l’artisan de la presse dite indépendante.. depuis les années 90, jusqu’à la fin de l’ère Toufik. La presse algérienne osait ce qu’aucune presse dans le monde arabe n’imaginait. Bouteflika président ne pouvait rien changer.. d’ailleurs, il était sans cesse la cible de cette presse. Mais avec la chute du Clan Boutef, et la neutralisation de Toufik.. tout va changer.
Gaid Salah ayant profité du hirak, n’avait pas le temps de museler la presse.. c’était clair qu’il voulait d’abord passer à la légalité présidentielle. Une fois fait, ses successeurs terminent progressivement la besogne.. Le démantèlement du système de financement via l’ANEP est un épisode clé. Je pense qu’on se dirige vers l’avant 88 : ni liberté, ni argent..
Commentaire
-
@Mohamed_Rédha
Je pense qu’on se dirige vers l’avant 88 : ni liberté, ni argent..Le bon sens est la chose la mieux partagée du monde... La connerie aussi - Proverbe shadokien
Commentaire
-
Saha shadok.. je m'était trompé de topic.. mais pour le vote du 12/12, je n’ai pas dit que c’était une erreur..
La cause à effet sera différente si les conditions initiales étaient différentes.. la situation vers laquelle on se dirige risquerait d’engendrer un nouvel octobre 88.. la réussite d’octobre 88 était un engagement populaire vers des élections libres ayant engendré ce qu’elles ont engendré.
Le nouvel élément qui n’existait pas avant 88, c’est l’expérience. Nos nouveaux dirigeants et d’autres forces occultes, appréhendent ces élections..
Le Vote du 12/12 était une opportunité rare qu’on a manqué.. Maintenant ils vont se réorganiser, se préparer.. et ce n’est pas bon.
Commentaire
-
Mohamed_RédhaJe pense qu’il y a un avant et après Toufik.
BOUTEF et avec l'aide de TOUFiK avait ainsi réussit :
- à bien arroser tous ces militaires,
- à créer une certaine oligarchie mafieuse clientéliste
- à noyauter tous les partis oppositions et détruire les récalcitrants
- à créer une sorte de presse libre complètement à sa solde.
Ainsi les quelques journalistes à peu près libres ne constituaient plus de danger pour le système.
C'est pire qu'une démocratie de facade.
C'était un système qui permettait aux tenants du pouvoir de tous profiter du partage de la rente suivant son niveau hiérarchique.
Et à des acteurs poltiques, des journaleux et des médias de nous jouer des pièces de théatres de temps en temps, juste pour nous occuper, nous détourner de notre réalité, et nous cacher leurs failles.
Actuellement, la Facade politique TEBBOUNIENNE est illégitime, et les partis politiques sont complètement dicrédités, ces Généraux Mafieux se sont retrouvé trop à découvert. Il mleur trouver de bons acteurs avec des mises en scènes qui soient crédibles.
Dans l'urgence, ils ont décidé de CASSER et INTERDIRE toute cette fronde contre eux, contre LES GENERAUX MAFIEUX !
Pour cela, ils ont décidé de clouer le bec à ce peuple et le terroriser.
Puis, ils essayerront de construire petit à petit :
- de nouveaux partis fantoches
- de nouvelles directions syndicales
- et de nouvelles clientèles du régime.
C'est pour ca que les EXPERTS du CLAN TOUFIK reviennent à la rescousse pour définir les stratégies et sélectionner les hommes qui contrôlent tout ce schmilblick.
Dernière modification par Pomaria, 23 avril 2020, 20h12.Lorsque vous changez votre manière de voir les choses, les choses que vous voyez changent !
Ne cédez donc plus à la tentation de victimisation, si vous voulez êtes l’acteur principal de votre vie.
Commentaire
-
Financement étranger des Médias : « il s’agit d’une forme d’ingérence étrangère », selon Belhimer
Le ministre de la Communication, Porte-parole du Gouvernement, Ammar Belhimer, a affirmé que le dossier du financement étranger des médias sera ouvert « avec fermeté et sans exception aucune, car il s’agit d’une forme d’ingérence étrangère ».
Dans un entretien accordé au quotidien saoudien « Al-Riyadh », repris par l’agence officielle APS, Belhimer a évoqué la question du financement étranger des médias nationaux soulignant que l’ouverture de ce dossier intervenait « sur injonction présidentielle ».
Il a soutenu qu’« il sera ouvert avec fermeté et sans exception aucune car, il s’agit pour nous d’une forme d’ingérence étrangère et de connivences internes qu’aucun Etat souverain ne peut tolérer ou accepter ».
« Les financements étrangers de la presse nationale, tous supports confondus, sont strictement interdits, quelles que soient leur nature et provenance », a-t-il rappelé.
« Le capital social doit être exclusivement national et les fonds investis justifiés », a-t-il ajouté, citant l’article 29 du Code de l’information qui stipule explicitement que « toute aide matérielle directe ou indirecte de toute partie étrangère est interdite » en plus de la loi relative à l’activité audiovisuelle.
A ce propos, le ministère de la Communication avait publié plusieurs communiqués à travers lesquels il a appelé tous les acteurs de la presse nationale au « strict respect des lois en vigueur en cette phase transitoire », a encore rappelé M. Belhimer.
Dernière modification par katiaret, 24 avril 2020, 22h57.dz(0000/1111)dz
Commentaire
-
Envoyé par PomariaActuellement, la Facade politique TEBBOUNIENNE est illégitime
Envoyé par katiaretFinancement étranger des Médias : « il s’agit d’une forme d’ingérence étrangère », selon Belhimer
Envoyé par katiaret« Le capital social doit être exclusivement national et les fonds investis justifiés », a-t-il ajouté, citant l’article 29 du Code de l’information qui stipule explicitement que « toute aide matérielle directe ou indirecte de toute partie étrangère est interdite » en plus de la loi relative à l’activité audiovisuelle.
Commentaire
Commentaire